Leslie Hs06

Leslie HS06 – Hors-série – Surprises au club, suite et fin

Elle me l’a demandé…
Le torse bombé, elle ouvre ses cuisses pour s’offrir à ma bouche, je suis debout au-dessus d’elle en train de la sucer pendant qu’elle se caresse les seins, cambrée et offerte à qui voudrait me prendre, quand soudain, la porte de la salle de bain claque, Hugo est de retour.
Angélique sourit en voyant son mec, nu le sexe dressé, et elle ne peut s’empêcher de dire :
- J’ai adoré quand tu l’as enculée tout à l’heure contre le bar, j’aimerais que tu recommence pendant qu’elle me suce, mais fait attention, ce n’est pas vraiment une femme.
Hugo s’agenouille derrière moi et de sa main constate que j’ai un membre, alors il dit :
- Ce n’est pas pour me déplaire !
Et il s’enfonce à nouveau en moi et commence à me limer comme un forcené, sa bite entre et sort de moi me faisant hurler pendant que je suce Angélique, ma salive dégouline le long de son sexe et son copain me déshabille sans cesser de m’enculer.
- Lèche-lui bien le petit trou, dit-il après quelques instants, que je puisse la sodomiser aussi.

Angélique, se détachant de mon étreinte, se redresse et va se placer à quatre pattes sur le lit, ses épaules reposant sur le matelas, le dos à quarante-cinq degrés, le cul tendu vers moi, de ses deux mains elle s’écarte les fesses, son vagin s’ouvre et son petit trou se découvre, il est entrouvert et le tour légèrement boursouflé, certainement par l’habitude de recevoir des queues.
- Viens ! Toi d’abord, me dit-elle.
Hugo me libère de sa pénétration et je grimpe sur le lit et je me penche vers Angélique pour commencer à lécher sa chatte offerte. Ma langue pénètre profondément à l’intérieur. Hugo vient s’agenouiller devant son visage et elle enfourne sa bite que je vois pour la première fois alors qu’elle a par deux fois investit mon intimité.
Elle est énorme, épaisse et longue, une vraie belle queue qui doit faire des envieuses et les faire hurler de bonheur, il est vrai que lors des deux sodomies je l’ai bien sentie…
Angélique, la fait disparaitre entre ses lèvres et Hugo gémit de plaisir.



Je lèche son clitoris, glisse deux doigts dans son sexe et je la sens tressaillir. Un troisième doigt et j’entame un va-et-vient
- Mets toute la main, murmure-t-elle.
Petit à petit je vois ma main disparaître dans son trou béant. Elle m’encourage de la voix tout en avalant le sexe de son homme par intermittence.
Les voyeurs, si ils y en a doivent se régaler.
Elle, en levrette, ses seins touchant pratiquement le matelas, ma main enfoncée jusqu’au poignet dans sa chatte et la queue de son copain engloutie au fond de sa gorge, la x
$scène doit être chaude.
Hugo se penche, écarte ses fesses pour que je puisse la pénétrer encore plus loin.
Son premier orgasme accompagné de longs cris est suivi de tremblements, puis elle retombe sur le matelas comme un animal blessé, sa peau brille de transpiration.
Puis d’une douce voie Angélique me dit :
- Encule-moi ! Je veux qu’il matte.
Les bras tendus, posés sur le lit, le dos droit, les fesses cambrées vers moi elle s’offre en levrette, je me positionne et entre d’une traite dans son cul, ma queue disparait au fond de son ventre, puis j’entame des coups de boutoir qui lui arrachent des cris.
Longtemps je l’ai sodomisé, elle aimait et elle a fait jouir son homme au fond de sa gorge, puis après avoir jouis à mon tour, nous avons fumé une cigarette.

Pendant ce temps à, sachant que nous étions regardé, Angélique s’est masturbé allongée sur le lit, elle s’est même enfilé un gode en disant à son homme :
- C’est bon, mais si tu savais comme une vraie queue c’est meilleur…
Je voyais la bite d’Hugo qui ne débandait pas, si bien que sans un mot il a pris sa femme sur le lit, sa bite luisante de mouille ressortant presque complètement pour replonger, jusqu’à la garde, au fond du sexe béant d’Angélique.
J’étais médusée, prêt à exploser devant le spectacle de ce couple qui faisait l’amour avec autant de plaisir.
Ils se donnaient sans pudeur, comme si plus rien n’existait qu’eux dans cet instant, il était beaux dans cette copulation, puis Angélique lui dit :
- Maintenant sodomise-moi !
À sa demande il vient placer son gland au creux de ses reins, puis commence à envahir son anus.
Petit à petit, il glisse dans son cul. Elle jouit de plus en plus fort et débite des obscénités d’un ton autoritaire :
- Ohhh, oui ! Défonce-moi le cul !

Il s’acharne sur sa nymphomane de compagne, qui adore sans nul doute la sodomie et le fist, profitant de sa bouche je me branle dedans, puis Hugo se retire et me fait signe de prendre sa place.
- T’inquiètes pas, me dit-il, elle adore cette pratique.
Je me place derrière Angélique et constate que son trou du cul est dilaté à l’extrême, elle l’écarte encore d’avantage de ses doigts voulant que je matte son anus béant avant que je le défonce à mon tour.
Je me positionne et appuie sur le bas de son dos pour qu’elle se cambre d’avantage, puis j’envahis son cul de toutes mes forces, non sans oublier de se masturber avec deux de ses doigts.
Hugo se place derrière moi et m’encule à son tour en me tenant fermement par les hanches, les sodomies durent un bon moment, faisant monter le plaisir dans nos corps enfiévrés.
Entre deux hurlements, Angélique ne peut dire :
- Ohhh, elle m’encule, comme c’est bon !

Elle tourne la tête vers moi et son bras att la mienne et elle colle ses lèvres contre les miennes pour m’embrasser. Je sors de son cul, vire la capote, repousse Angélique sur le lit et me vide sur ses seins.
Les yeux ouverts elle regarde mon sperme jaillir par saccades qui inondent sa poitrine, son compagnon vient au-dessus d’elle et en quelques secondes il éjacule une nouvelle fois, lui arrosant les seins à son tour.

Je finirais la nuit chez eux et regagnerais au petit matin mon appartement le cul en compote, le sexe d’Hugo ayant fait des ravages dans mon intimité anale.
Si bien que toute la semaine je me suis tenue tranquille, soignant longuement avec des crèmes mon petit trou douloureux qui aurait refusé de toute façon une pénétration…

Laure s’est inquiétée de ma soudaine tranquillité sexuelle, ne m’offrant pas à ses désirs et ne me contentant qu’à lui faire l’amour que de façon conventionnelle, mais je savais qu’elle devait se douter de quelque chose, mais elle eut le respect de ne pas me poser de questions.


A suivre…

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