Doly (Épisode 3)

-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --

(…)

Mat : je suis sur que l’on sera très fier de toi, demain soir au bois et que Marjorie appréciera son cadeau de remerciement. Tu sais c’est surtout pour moi que ce sera difficile. Te voir te faire saillir par des hommes c’est te perdre un peu ! Mais j’ai vu tout le bien que cela avait fait à Myrtille lorsque je l’ais amenée à l’élevage. Après, Son poil était plus soyeux et elle respirait la joie de vivre.

Je n’enregistrais plus rien des paroles de Mathilde. J’étais épuisé, plongé dans un état second. Alors quand Mathilde me claqua les fesses pour que je regagne mon panier, je ne me fis pas prier.

Marj : Tu y est aller vraiment fort Mathilde !
Suz : ouai mais elle a accepté ! C’est pas croyable comme elle te bouffe dans la main !
Marj : j’ai quand même hâte d’être à demain !
Suz : m’en parle pas !
Mat : Oui je suis assez contente de moi. Je ne pensais pas y parvenir aussi facilement. Mais dites moi le filles, comment on va l’habiller ? Il faut qu’on lui trouve une tenue sexy pour demain !
Suz : Je pense qu’il nous faut partir de ce que l’on a. Quelle partie de son corps on souhaite mettre en avant pour attirer le chaland !
Marj : Oui tu as raison c’est de la vente à l’étalage !
Mat : Elle a de belles jambes lisses et aussi un beau cul. Pour ce qui est de la bite c’est pas top …
Suz : oui mais çà attire ment les gens. Cà leur montre qu’il n’est pas timide. Cà annonce la couleur quoi !
Marj : ben biensûr on ne peux pas faire l’impasse de la bite. Surtout qu’elle est parfaitement lisse elle aussi.
Mat : Bon ben autant rien lui mettre alors.
Marj : A non je suis pas d’accord, sans rien il fera nudiste et pas pute !
Les trois filles partirent dans un fou-rire magistral.
Mat : Bon alors reprenons : il faut qu’on voit sa bite, son cul et ses jambes mais qu’il ne soit pas à poil ! C’est pas facile notre histoire.


Suz : finalement, peut être qu’avec un simple teeshirt qui s’arrête juste au dessus de sa bite et son colier de chien sa suffit. Qu’en pensez vous ?
Mat : Oui je lui ai acheté un marcel très décolleté pour le promener au parc, je pense que ce sera parfait.
Marj : et qu’est-ce qu’on lui met aux pieds, les talons-aiguille, des mocassins, des baskets ?
Mat : Non je pense que pieds nu c’est mieux. Comme çà on pourra le rattr facilement au cas où. On a réglé notre petite histoire ! Il se fait tard et demain il faut que l’on soit en forme. On se donne rendez-vous ici vers 23h ? Je vous appelle un taxi.
Les trois filles s’embrassèrent et Marjorie et Suzanne s’engouffrèrent dans le taxi.

J’avais excessivement mal dormi. Mon corps me faisait mal mais surtout ma tête n’avait pas arrêté de gamberger, me gardant éveillé une bonne partie de la nuit. Nous étions dimanche et Mathilde et moi nous étions accorder une vrai grâce matinée. Il était midi. Mathilde dormait encore lorsque je décidais de quitter l’appartement pour mon atelier. Bien sûr je ne pouvais pas travailler mais je devais prendre un peu de distance pour mettre de l’ordre dans mes idées et intégrer les derniers événements qui s’étaient succédés à une vitesse vertigineuse.
J’ai vite fait le point. Mon amour pour Mathilde s’était mué en une véritable dépendance et je ne pouvais pas me concevoir sans elle. Pour la garder, il me fallait lui obéir et ses arguments étaient implacables. Depuis des mois, je n’avais pas éjaculé autrement qu’en me faisant sodomiser. Certes je ne pouvais pas parler de jouissance. Je ne pouvais pas dire, non plus, que j’aimais çà. Mais si je l’acceptais avec autant de facilité et surtout, comme le disait Mathilde, si le fait de pénétrer une femme ne me manquait pas plus que çà, c’est bien que j’étais fait pour ce type de relation et que ce n’était qu’une question de dressage. J’avais bien évolué entre les premières douleurs déchirantes lorsque Mathilde m’engrossait et hier soir où Marjorie m’a fait couler avec une vrai facilité.
C’était vrai également que depuis des semaines, je ne pensais plus à moi en terme masculin mais que naturellement je me définissais plutôt comme « elle ». Mathilde m’avait expliqué que les hommes, les amants, les « ils » avaient un sexe normalement constitué pour la conquête alors que les sous-hommes, les femelles comme moi, les « elles » perdaient l’usage de leur sexe conquérant au profit d’un nouveau sexe anal, qui était un sexe de l’accueil. Elle avait précisé qu’à la différence du sexe féminin, le sexe d’une lope était plus vulgaire et malgré mes lavements quotidien je ne pouvais me débarrasser de cette vulgarité anale mais que bien des hommes s’en contentaient.
Depuis ma rencontre avec Mathilde, j’avais aussi appris le goût du foutre et chaque sécrétion de mon zizi finissait inexorablement dans ma bouche. Et vérification bouche ouverte devant Mathilde que tout avait bien disparu, bien sûr ! J’avais appris à prendre un gode en bouche et le limer convenablement lors que Mathilde jouait les Rocco et que je devais jouer la pucelle.
Aussi, lorsque je repartais le soir, pour l’appartement de Mathilde, j’étais prêt, pour garder mon Amour près de moi, à accepter le destin quelle m’avait choisi. Il était 20h et c’est une fois nu sur son palier alors que je venais de frapper à la porte, que je réalisais que j’étais sale à l‘intérieur ! Mathilde m’ouvrit prestement et je la sentais enjouée mais à ma mine défaite, elle m’engueula :
Mat : qu’est-ce qui t’arrive ?
Moi : Mathilde j’ai un problème.
Mat : Oh tu ne vas pas me lâcher alors que les copines arrivent dans deux heures !
Moi : Non, mais est-ce que je peux rentrer ?
Mat : Non explique toi là, maintenant !
Moi (penaud): je suis sale.
Mat : Quoi ?
Moi (plus distinctement) : je suis sale.
Mat : Qu’est ce que tu veux dire ? Sale où ?
Moi : à l’intérieur
Mat (rouge de colère) : Putain, non pas aujourd’hui ! Tu te fouts de ma gueule ! Je vais avoir l’air de quoi si je te refourgue à des mecs et que tu leur salopes la queue.
Tu veux me foutre la honte et devant mes copine en plus !
Moi : je suis désolé
Mat : Désolé mon cul ! File sous la douche et on verra ton problème plus tard.
Mathilde était à la fois énervé par mon laxisme mais en même temps elle jubilait à l’idée que j’avais définitivement accepté l’idée que ce soir je serais une pute.
A 23 h tapantes, Suzanne et Marjorie sonnaient à la porte. Elles s’installèrent dans le canapé et se mirent à papoter avec Mathilde.
Suz : Alors où en est notre prostitué favorite ?
Mat : il faut que je vous dise, ce con n’a pas fait son lavement !
Marj : Non c’est comme passer à table sans laver les assiettes ! C’est dégueulasse !
Suz (s’adressant à moi) : Alors on fait sa cochonne !
Mat : La première fois que je lui ai montrer comment faire, je lui ai bien dit que si elle oubliait de faire çà chez elle, je l’emmènerais se vider dehors. Le bruit est vraiment insupportable !
Marj : Bon dans le fond ce n’est pas trop grave, on a qu’à faire çà !
Mat : Biensûr qu’on va faire çà mais tu penses pas qu’on a autre chose à foutre que d’attendre que doly ait fait ses besoins !
Moi (osant intervenir) : je suis désolé Mesdames de devoir vous importuner avec çà ! Mais comment voulez-vous que je sorte avec les intestins remplis d’eau. Je vais me répandre avant d’arriver au parc.
Mat : Ecoute doly, tu ne vas pas commencer. La soirée devait être à la fête et mais si tu nous énerves comme çà, on peut aussi te la rendre beaucoup moins agréable !
Moi : Je ne voulais pas …
Mat : C’est çà tu ne veux pas, c’est moi qui veux ! A partir de maintenant je ne veux plus entendre un mot de ta part. Tu acquiesces, tu obéis et c’est tout. Compris ?
Moi : oui Mathilde
Mat : bon il est bientôt minuit il faut se mettre en route. Vous êtes prêtes les filles.
Marj et Suz (à l’unisson) : Ouiiii !
Mat : on la prépare et c’est parti !
Mathilde passe à son bureau récupère mon marcel qu’elle jette sur la table basse puis repart en direction de la sale de bain.
Marjorie me le tend et face à mon regard appuyé témoignant de mon incrédulité, Suzane ajoute :
Suz : Oui c’est tout ce qu’elle a prévu pour toi. Tu comprends les clients doivent voir la marchandise !
Elle donne un coup de coude complice à Marjorie alors que mon regards plonge à nouveau au sol. Mathilde revient avec la poire et m’ordonne de coller mon visage sur le sol. Debout au dessus de moi, elle me soulève les fesses en m’agrippant le bassin. J’ai la croupe à la verticale au dessus de la tête. « Voilà !» et Mathilde enfonce la poire et la vide dans mes entrailles. Elle retourne à la salle de bain et recommence l’opération. Puis, elle récupère le gros Plug noir qu’elle avait dans sa poche et me le fiche dans l’anus. Elle l’avait acheté quelques mois auparavant afin, disait-elle, de m’assouplir le cul et de lui faciliter le travail de saillie.
Mat : Voilà avec çà tu devrait pouvoir attendre le bois ! Allez à la voiture tout le monde.
Suz (s’adressant à Marj) : T’a vu comme il marche avec son truc dans le cul, on dirait un manchot empereur ! Bfff !
Arrivées au sous-sol, Mathilde m’ouvrit le coffre et me fit monter.
Mat : T’as pas intérêt à saloper ma caisse !
Le voyage de quelques minute pour le bois de Vincennes me parut une éternité et mes entrailles se contorsionnaient pour tenter de faire évacuer toute cette eau. A la fin, je retenais le plug avec mes mains de peur que je ne l’expulse.
Le filles me firent descendre de voiture. Nous étions sur un parking à peu prêt désert et je me demandais comment j’allais survire à cette épreuve. Je n’avais que pour seul vêtement, un marcel indécent dont les bretelles ne couvraient même pas mes tétons et dont le décolleté mettait parfaitement en valeur mon collier d’appartenance. Il s’arrêtait juste au dessous de mon nombril. Et sans chaussures j’avais le sentiment d’avoir des fers aux pieds. Ma démarche ressemblait à celle de ses femmes japonaises à qui l’on bande les pieds dès le plus jeune âge. Je retenais toujours mon plug anal des deux mains, ce qui ne manquait pas d’amuser les filles.
Mat : Allez trouve toi un petit coin et va faire tes besoins. Mais pas trop loin doly, on veux pas te chercher !
J’avais tellement attendu et ma marche était tellement lente que je ne pu allez bien loin et c’est au milieu du parking à quelques mètres seulement des filles que je me vidais.
Mat ma hurla : T’es vraiment dégueulasse doly, t’aurais pu allez un peu plus loin.
A ce moment les phares de la voiture garée en contrebas m’éblouir.

(à suivre)


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