Un Stage Pas Si Tranquille (Récit Véridique)

Bonjour à toi qui as cliqué ! Ici, je vais te raconter des histoires mais ne t’inquiètes pas, je préciserais s’il s’agit d’histoires réelles ou inventées.
HISTOIRE VRAIE
Je m’appelle Paul, j’ai 21 ans mais à l’époque de cette histoire que tu vas lire, j’avais 19 ans et je commençais un stage en entreprise dans le cadre de mon BTS communication. L’entreprise dans laquelle j’allais effec ce stage s’occupait d’un site Internet pour les professionnels de la magie. Il s’agissait d’une jeune entreprise, je devais donc m’occuper de la communication du site, c’est-à-dire le faire connaître auprès des professionnels de la magie ainsi que du public.
Mon tuteur était un homme de 26 ans, crâne rasé, joueur de rugby donc assez baraqué. De plus, il était sympa et m’expliquait dès que je ne comprenais pas un terme technique. Je vous avoue qu’au bout de quelques semaines (mon stage durait huit semaines), son charme avait un petit effet sur moi. Evidemment, en tant que futur professionnel, je ne pouvais décemment pas lui avouer qu’il ne m’était pas totalement indifférent.
Ce coup de cœur ne s’atténuait pas quand il me questionnait sur ma vie au lycée (profs, camarades de classe, etc.) et personnelle. Il avait l’air de s’intéresser à ma vie et cela me faisait plaisir. Toutefois, je pense qu’il voulait savoir qui était vraiment la personne dans son bureau, celle avec laquelle il allait passait huit semaines. Mais bon, cela me faisait plaisir de penser que je pouvais être intéressant.
Bref, tu dois te dire que tout cela commence à ressembler à un livre acheté dans une gare, quand on annonce un retard de trois heures et cela, pile sur ta ligne ! Je comprends ton inquiétude et, peut-être, ton agacement, mais je me devais de poser le décor.
Il est 17 heures, ma journée de stage se termine, je pars pour rentrer dans mon studio situé à la sortie de la ville et dois donc prendre le tramway pendant trente minutes. C’est l’hiver, j’enfile mon manteau, mes gants et me dirige vers la station de tramway.

J’arrive dans mon studio et je m’aperçois que j’ai laissé mon portable au bureau. Mince ! En plus, il est mercredi, le jour où ma mère m’appelle. Je décide donc de braver, une fois encore, le froid pour récupérer ce maudit téléphone. Tram pendant trente minutes, serré contre des inconnus, et me voilà devant la porte de l’entreprise. Je sors mes clés et monte dans le bureau. Arrivé à l’étage, je vois une lumière dans le bureau. Il doit s’agir de l’ordinateur de mon tuteur, Marc, qu’il laisse toujours allumé. Je commence à m’approcher de la porte et entends la bande son d’un film pornographique, facilement reconnaissable par les cris lancés par la femme face au matos du beau plombier. Je m’approche encore plus et je vois Marc, derrière son bureau, jean baissé, en pleine séance de masturbation. Malheureusement, je ne distingue pas son sexe mais voit très nettement le mouvement rapide de va-et-vient de son bras. Sa tête est renversée contre le dossier de son fauteuil, bouche ouverte pour pousser quelques gémissements de plaisir, les yeux demi clos pour se délecter du film. Gêné mais terriblement excité, je sens d’ailleurs mon jean devenir de plus en plus étroit, je ne sais pas comment réagir. Dois-je me conduire comme le stéréotype du stagiaire soumis, entrer et me placer sagement sous le bureau ? J’hésite mais je n’ai pas envie d’agir sur un coup de tête qui pourrait se retourner contre moi. Je décide de jouer la prudence et tape à la porte…