Le Périple Rose - 2

Fraichement débarquée dans la ville rose, je ne pensais pas que j’allais m’éveiller autant au plaisir sexuel, à la rencontre de mon intimité et de ma sensualité. J’ai vécu quelques expériences mémorables que j’ai choisi de compter au travers des récits que je vous présente. N’hésitez pas à me faire un retour sur ma lecture afin d’améliorer la qualité de mes récits. Merci, et agréable lecture.
Suite de « Périple Rose – 1 » ….
Après l’avoir branlé pendant un temps, il m’invite à me relever. Perchée sur mes talons, il m’observe avec énormément d’intérêt. Du bas vers le haut, il caresse du regard la coupe échancrée de mon tanga sur mes hanches, la dentelle noire de mon soutien-gorge sous la lumière de la bougie, et enfin mon regard en amande qui le fixe dans l’attente de la suite des évènements.
Il passe ses mains sous mon déshabillé blanc, et se saisit de mes fesses avec fermeté. Le frisson qui accompagne chacune de ses caresses vide mon esprit de toutes pensées. Toute chaude, je ne ressens que de l’excitation et un désir ardent pour cet homme. Il est assez grand, une morphologie fine et sportive, et des abdos à se damner. Ces cheveux noirs et denses qui lui arrivent à hauteur d’épaules caressent ma poitrine lorsqu’il se saisit de mes tétons avec ses dents. Il y imprime son rythme : des suçotements, des mordillements, une caresse, un souffle …Littéralement, le chaud et le froid sur mes seins. Des fantasmes inavoués mais à chacun de ces changements de rythme, je mouille encore plus. Et le souffle court, je l’implore de ne pas s’arrêter, d’y aller plus fort…je lâche prise petit à petit… huumm non…ce n’était pas un orgasme mais tout proche, juste une sensation de bien-être diffus dans le bas de mon ventre.
Proche mais pourtant si loin, il m’embrasse à pleine bouche et m’invite à m’allonger sur le dos. Il embrasse le creux entre mes seins et descend petit à petit par une succession de baiser jusqu’à l’aine. Il est patient, et sait exactement ce qu’il fait.

C’est ce que j’apprécie avec lui, il maîtrise la situation, et fait monter la tension à merveille. Il embrasse le creux de mes cuisses, mais ne me libère pas encore de la tension qui m’habite.
Il fait monter la tension, et après des minutes qui semblaient durer des heures… il daigne finalement embrasser mon mont de vénus…mon pubis… mon antre secret, bref, choisissez le mot que vous voulez. Il m’installe confortablement, et écarte mes grandes lèvres avec ces doigts. Le chemin frayé, il passe sa langue de toute sa largeur dans ma fente, et m’arrache un râle de satisfaction au passage. Il suçote mon clitoris, pénètre mon vagin en douceur et mordille l’intérieur de mes petites lèvres. La combinaison de tout cela fait monter la tension, comme un vase qui se remplit petit à petit. Le souffle court, la chaleur se diffuse de nouveau dans mon bas-ventre mais cette fois mon corps vibre, et se tord de manière saccadée. Quand le vase est presque à débordement, je sens mon corps s’alléger petit à petit. Et d’une main posée entre mes petites lèvres, je jouis par une longue onomatopée : - « Oooh ooouuuiii ! »
A suivre…