Education De Virginie

Comme souvent le samedi matin, je vais faire mes courses dans une grande surface. J’avais fini de remplir mon caddie et je me dirigeais vers la caisse et j’arrive vers un jeune couple en train de se disputer sur le choix des courses :
« tu me fais chier, tu n’es jamais d’accord, tu veux toujours bouffer la même chose » lui dit-elle
Et l’autre de répondre avec un simple sourire très niais. Je m’approche donc un peu plus d’eux, regarde la fille dans les yeux et lui dit « toi, suis moi, laisse tomber ce naze » et je reprends ma route vers la caisse.
Ah, j’oubliais, je me présente, j’ai 52 ans, ni beau, ni moche et je vis seul depuis quelques années, depuis mon divorce.
Arrivé à la caisse, je dépose mes achats sur le tapis roulant et je m’aperçois que la fille m’a suivi et au loin que le gamin est resté pantois dans l’allée. Je lui ai fait mon plus grand sourire qu’elle m’a rendu immédiatement. Après avoir payé, chargé les commissions dans le coffre, j’ai dit à la gamine que je l’emmenais chez moi et je l’ai invitée à monter dans la voiture.
Quelques minutes plus tard, nous étions installés dans le salon, assis face à face dans les fauteuils. J’avais besoin de la connaître davantage et ce fut le départ d’un petit interrogatoire :
« Comment t’appelles-tu »
« Virginie »
« Quel âge as-tu ? »
« 20 ans »
« Tu as eu beaucoup de copains ? »
« Un seul, celui qui m’accompagnait tout à l’heure »
« Tu as été dépucelée à quel âge ? »
Son visage s’est empourpré et comme elle hésitait à répondre, j’ai renouvelé la question. Elle a baissé la tête et m’a répondu en balbutiant :
« La semaine dernière »
Comment cette jolie fille, 1m65, blonde, aussi bien foutue, un petit cul tout rond et une poitrine qui semblait généreuse avait-elle pu attendre si longtemps pour perdre son pucelage ?
Je me suis dit qu’il était temps de la bousculer un peu.
« Virginie, je te propose de faire ton éducation.

Tu es libre d’accepter ou de refuser. Si tu acceptes, tu devras m’appeler maître, larguer ton copain et accepter sans discussion tout ce que je te demanderai. Tu seras toute entière à mon plaisir. Je te laisse quelques minutes de réflexion, le temps d’aller nous chercher à boire. »
Je me lève et me dirige vers la cuisine. Je sens son regard dans mon dos. Je prends 2 verres, une bouteille de champagne et je retourne au salon. Elle n’a pas bougé, la tête baissée et les yeux rivés sur ses genoux. Je pose les 2 verres, ouvre la bouteille et rempli les 2 verres. Je me rassois et la questionne :
« Alors, ta décision »
« Je suis d’accord, maître »
« Appelle ton copain et dis lui que c’est fini avec lui, que c’est un connard et que tu as décidé de vivre avec ton maître ».
Elle prend son portable et l’appelle. C’est avec une voix un peu chevrotante qu’elle lui répète les mots. A peine a-t-elle raccroché que je lui dis :
« Lève toi et fous toi à poil, je veux voir comment tu es foutue »
Elle se lève et commence son effeuillage. Son T shirt est vite enlevé et me laisse découvrir un joli soutien gorge rouge qui ne demande qu’à libérer ses deux jolis seins qui semblent un peu à l’étroit. Elle choisit néanmoins d’enlever ses chaussures, puis de déboutonner son jean et de le faire glisser le long de ses jambes. Je découvre alors une jolie petite culotte rouge. Je sens que je ne vais pas m’ennuyer. Elle semble hésiter pour la suite et je la rappelle immédiatement à l’ordre :
« Allez, à poil, dépêche toi ».
Elle devient pivoine, son visage est assorti à se sous vêtements. Elle dégrafe son soutien gorge et le laisse tomber à terre.
« Approche que je tête tes mamelles ». Elle s’approche et se penche un peu pour que je puisse les prendre à pleines mains. Ils sont fermes, avec de jolis tétons que je fais rouler entre mes doigts pour les faire bander. Après quelques mouvements de doigts, ils ont doublé de longueur.
« Allez, la suite, maintenant »
Elle glisse les doigts dans sa culotte et la fais glisser le long de ses jambes.
Je découvre un joli petit minou, avec quelques poils qui cachant à peine ses grandes lèvres, bien serrées.
« Ecarte un peu les jambes, tu devras toujours avoir les jambes un peu écartées pour montrer ta disponibilité. Retournes toi maintenant pour que je vois ton cul ».
Elle se retourne et je vois deux superbes jolies fesses toutes rondes. Je les caresse, elles sont bien fermes et je me dis qu’elles seront agréables à fesser.
« Maintenant, tu vas te pencher et écarter tes fesses que je vois ton trou du cul »
Comme elle semble hésiter, je lui donne une grande claque sur une fesse qui devient immédiatement rouge. Elle se penche, et de ses 2 mains écarte ses fesses.
« Mieux que ça que je vois mieux »
Elle tira donc un peu fort sur ses 2 fesses et j’avais devant moi son petit trou foncé et bien froncé. Quel spectacle, j’adore voir une femme se montrer ainsi.
« Ne bouge pas, je veux garder un souvenir et je vais prendre quelques photos »
Je me lève, prends l’appareil et commence à la mitrailler. De loin, pour la position et de près pour immortaliser ce petit trou du cul encore vierge. Je lui demande se relever et je la prends de face, quelques gros plans de sa chatte et de ses seins.
« Tu peux te rasseoir, nous allons trinquer au début de ton éducation »
« Oui, maître » et elle se rassoit.
Nous trinquons et je lui dis :
« Il va falloir faire quelques efforts pour tes prochains effeuillages. Rappelle toi que tu es là pour mon plaisir et qu’un déshabillage style médecin n’est pas très excitant. Maintenant, pendant que nous vidons nos verres, comme tu n’as besoin que d’une main pour boire, tu vas te branler avec l’autre. Ecarte bien les jambes, apprends à te montrer ».
« Oui, maître » et sa main gauche se pose sur son ventre et descend vers sa chatte.
« Active toi, je veux t’entendre couiner avant que tu n’aies fini ton verre, enfonce tes doigts dans ta petite chatte, fais toi mouiller »
Je la sens très gênée.
Aussi, je m’approche d’elle, enlève sa main et la remplace par la mienne. Je m’occupe un moment de son clito, que je titille et pince entre mes doigts puis lui enfonce 2 doigts. Je me rends compte que ce début d’éducation ne l’a pas laissée insensible, elle est trempée. Je retire mes 2 doigts et les approche de sa bouche.
« Nettoies mes doigts, suce les, goûte ta mouille », ce qu’elle fait immédiatement.
« Reprends ta masturbation, ton verre est presque vide et je ne t’ai pas encore entendue ». Et sa main de reprendre avec beaucoup plus d’envie.
Je sens sa respiration changer et vois de nouveau son visage rougir. Je sais que le plaisir est en train de monter.
« Vas y ma jolie, lâche toi, dis moi que tu veux devenir ma salope, ma petite pute, que ton corps m’appartient, que tu veux mon plaisir »
Et c’est dans un mélange de râle qu’elle s’est enfin lâchée :
« Oui, maître, je suis ta salope, ta pute et je t’appartiens, faites de moi tout ce que vous voulez ».
Sa seule main ne suffisant plus, elle chercha à poser à son verre mais elle le renversa sur la table. Elle avait tellement besoin et envie de sa deuxième main sur son minou qu’elle ne prit pas le temps de relever son verre et elle se caressait maintenant de ses 2 mains pour se faire jouir davantage.
Quelques râles plus tard, les 2 jambes sur les accoudoirs du fauteuil, la chatte grande ouverte, elle laissa tomber la tête sur le côté, les yeux fermés, semblant perdu dans un rêve de plaisir.
Je ne lui laissai que peu de temps de répit.
« Petite salope, tu as renversé ton verre, tu as salopé la table. Va chercher une éponge et nettoies tes conneries. Puis, tu viendras en travers de mes genoux pour recevoir la fessée que tu mérites pour ta faute. Tu seras punie à chaque fois que tu te comporteras mal »
« Oui, maître, pardonnez moi, je ferai attention de ne plus vous décevoir »
Elle se lève et je suis des yeux son petit cul que je vais bientôt faire rougir »
La suite prochainement

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