Damien 81 - La Deuxième Opération

Arriva enfin le moment de repartir pour la Thaïlande pour ma deuxième intervention.
Pierre ne pouvait pas m’accompagner et le cœur un peu lourd je pris seul l’avion pour Bangkok.
Comme j’en avais l’habitude maintenant, je fus pris en charge par le chauffeur du centre chirurgical qui me conduisit directement au Dusit Princess Srinakarin Hotel.
J’avais rendez-vous à la clinique le lendemain à 10 heures du matin à jeun.
Le personnel médical qui me prit en charge était le même que la première fois toujours avec une extrême gentillesse.
A 10h30 je rentrai au bloc où je fus endormi.
Cette deuxième étape concernait une chirurgie de lifting du front et des sourcils ainsi que la chirurgie de la trachée, Pomme d’Adam.
Je me réveillai quelques heures après.
J’étais complètement entubé et cela me fit peur.
Le professeur vint me voir et me dit voyant mon air inquiet "Ne vous en faites pas, les tubes c’est normal, nous allons vous les enlever dans quelques heures. Pas trop douloureux ?".
Ne pouvant pas parler je fis signe que je n’avais pas mal.
Le professeur reprit "Tout s’est bien déroulé, une fois les tubes enlevés tout à l’heure, vous allez rester parmi nous comme l’autre fois pendant 3 jours puis vous irez suivre votre convalescence pendant une semaine à l’hôtel. Vous viendrez tous les jours ici afin que l’on refasse les pansements et que je vérifie l’avancée de votre guérison. Pour vous maintenant c’est de la routine".
Effectivement on m’enleva les tubes deux heures après et au bout de trois jours on me donna un miroir pour que je puisse me voir.
Concernant le front et les sourcils, ce qui était frappant, c’était la féminité de mon regard, effet mes yeux semblaient plus allongés, ce qui donnait à mon regard une touche de grâce gommant la masculinité des traits.
Pour ce qui est de la trachée, Pomme d’Adam, mon cou était maintenant lisse, on ne voyait plus la bosse formée par la pomme d’Adam, ce qui donnait à mon visage une féminité totale.


Je me souris dans le miroir et fus émerveillé de voir une jolie femme.
Le jour de mon départ de la clinique, je vis le professeur, il me demanda "Dites-moi Line, ça vous plait ?
- Oh oui docteur, c’est génial, superbe travail.
- Merci.
- Docteur, j’ai quelque chose à vous demander.
- Allez-y.
- Voilà, c’est un peu délicat mais depuis que je prends mon traitement hormonal, j’ai toujours, excusez-moi d’être directe, envie de baiser, je deviens une vraie nympho.
- AH ! Ah ! AH ! C’est complètement normal, en ce moment votre métabolisme est en train de changer, mais ne vous inquiétez pas, tout va rentrer dans l’ordre. Vous avez encore combien de temps ce traitement ?
- Encore deux mois.
- D’abord êtes-vous satisfaite ?
- Oui très, regardez ma poitrine, elle est comme nous le voulions avec Pierre et mes fesses sont magnifiques, quand aux poils il n’y en a plus et ma voix est bien féminine comme je le voulais.
- Bien, vous dites deux mois de traitement alors attendez- vous à rester nymphomane pendant deux mois après avoir terminée. Une question êtes-vous une chaude de nature ?
- Oui j’adore faire l’amour, pour moi le sexe d’un homme est un véritable objet de dévotion.
- Donc vous serez plus nymphomane mais vous resterez chaude, une braise et je ne crois pas que cela déplaira à Monsieur Pierre.
- C’est vrai.
- Pouvez-vous vous déshabiller totalement ?
- Bien sur docteur".
Je me dévêtis, le professeur examina mes seins, il les soupesa, caressa mes tétons qui s’allongèrent puis inspecta mes fesses.
Quand il termina j’étais en feu et je lui dis "Docteur, vous m’avez mis en feu.
- Je l’ai vu, c’est vrai que vous êtes une chaude. Allez rhabillez-vous, tout est parfait, vous êtes magnifique.
- Merci docteur".
Je partis à l’hôtel où je pris une longue douche fraiche pour supprimer l’excitation qui était en moi.
Au bout d’une semaine, je repris l’avion pour la France et me disant que la prochaine fois que je viendrai ici, ce sera une autre paire de manche.

Pierre m’attendait à l’aéroport, dès que nous fûmes dans la voiture, il m'attira contre lui et ses lèvres s'écrasèrent sur les miennes, j'ouvris la bouche, la langue inquisitrice de mon mec vint caresser la mienne, je fermai les yeux et m'abandonnai totalement à ce baiser fougueux.
Arrivés à la maison, nous entrâmes et Pierre m’amena de suite dans notre chambre.
Une fois entrés, mon amant me dévêtit totalement puis se déshabilla.
Je vis son magnifique phallus pointé vers le plafond et il me dit en souriant "Comme tu vois j'ai déjà une grosse envie.
- Je le vois mais que veux-tu que j'y fasse ?
- Comment ça ?
- Eh oui tu n'as qu'à te branler.
- Salope, au lieu que je me branle, tu vas me sucer oui.
- Hors de question.
- Et pourquoi ça ?
- Ma maman m'a toujours dit de ne pas sucer les bites que je ne connaissais pas, même si elle est aussi belle que celle- là.
- AH AH AH !! La seul chose, c’est que celle-là tu la connais et bien et elle aussi te connait
- ….
- Alors tu me suces oui ou non ?
- Et bien….
- Quoi encore ?
- Mais bien sur que je vais te la pomper ta grosse biroute mon chou.
- Alors au travail femelle, viens prendre ton biberon, tu vas avoir ta gorgée de lait.
- J'espère que ce sera une bonne gorgée.
- Suces et tu verras.
- Va t'asseoir dans le fauteuil, j'arrive".
Pierre se mit dans le fauteuil et écarta les jambes, son long et lourd phallus pointait vers le plafond, je m'agenouillai devant lui et entrepris de caresser l'intérieur des cuisses de mon amant tout en soufflant sur la puissante verge violacée, ce traitement eut pour effet de faire grandir et grossir le membre masculin.
Déplaçant ma caresse je me mis à caresser légèrement les bourses duveteuses gorgées de sève, mon homme se cambra pour s'offrir plus encore à cet attouchement, sur le bout du gland turgescent perlait une goutte de sperme translucide, du bout de la langue je la recueillis puis je posai une de mes mains à la base de la pine érigé et commençai à la masturber lentement.

Pierre gémit quand je me mis à le traire de la sorte, pendant plusieurs minutes je continuai mon branle, mon mec avait fermé les yeux et rejeté la tête en arrière s'abandonnant totalement au désir qui montait en lui.
Ce fut Pierre qui d'une voix suppliante me demanda "Suces-moi, je veux sentir tes lèvres sur ma bite, prends-moi dans ta bouche, suces oui suces-moi à fond ahhhh".
Sourd à ce qu'il me demandait je continuais mes caresses jusqu'à ce qu'il fut tendu comme un arc, alors je stoppai et baissai mon visage vers l'objet de ma dévotion et me mis à lécher la hampe bandée à l'extrême m'arrêtant sur le frein que je mordillai.
Au bout de quelques instants de ce traitement Pierre se tordait de plaisir, c'est alors qu'ouvrant grand la bouche j'avalai lentement le magnifique pénis érigé, tout d'abord je m'attachai à sucer le gland tuméfié comme un esquimau puis peu à peu j'engloutis totalement l'énorme sexe dressé qui s'offrait à moi tout en l'entourant de ma langue et en le mordillant doucement, le corps de mon amant était cambré au maximum et il se donnait à fond à ma caresse buccale.
Je commençai à monter et descendre sur le phallus démesuré, Pierre posa sa main sur ma nuque et rythma le tempo auquel il voulait être sucé.
Pendant plus d'une demi-heure je pratiquai que mon homme cette lente fellation, quand mon mec prenant mon visage entre ses mains se mit à aller et venir entre mes lèvres à une vitesse folle utilisant ma bouche comme un cul, je ne sais pendant combien de temps il me pina la bouche, je voyais le membre sortir et entrer entre mes lèvres violemment pour venir buter sur mon arrière gorge.
Soudain plaquant ma figure contre son pubis, Pierre éjacula en feulant, un énorme flot de semence fusa dans ma bouche, je l'avalai avec délice tout en cajolant de ma langue la queue qui tressautait tout en continuant à se vider, quand enfin le calme fut revenu, mon amant me relâcha.
Je me redressai abandonnant le priape toujours bandé et luisant de salive et de sperme.

Je regardai Pierre et lui souris, il me dit "Quelle pipe, je crois bien que jamais je ne me suis fais sucer comme ça, tu es vraiment une perle, la reine que dis-je la déesse des suceuses, ça a été presque aussi bon que dans ton cul, tu es fantastique, j'ai cru devenir dingue tellement c'était bon.
- Je te remercie, mais tu sais j'ai aussi pris beaucoup de plaisir à te pomper le dard.
- Je n'en doute pas car si tu n'avais pas aimé, je crois que tu ne m'aurais pas donné autant de plaisir
- Tu sais cette bite m’a manquée et j’ai adoré te sucer, par contre maintenant espèce de mâle profiteur il va falloir que tu penses à mon cul car tu ne crois pas que tu es le seul à avoir le droit de jouir, ça non.
- Ne te casses pas la tête, ton petit trou je vais m'en occuper et bien, je vais bien te défoncer la pastille mais avant on va prendre une bonne douche car pour bien baiser il faut être propre.
- Je suis d'accord mais tout à l'heure pour tirer ta crampe tu n'as pas attendu d'être propre, il a fallu que ce soit tout de suite. Hein grand cochon ?
- C'est vrai mais j'en avais trop envie".
Tour à tour nous partîmes sous la douche pour ôter toutes les toxines de notre corps afin de profiter pleinement de nos chauds ébats à venir.
Quand je sortis de la salle de bains je retrouvai Pierre dans la chambre en train de se caresser le sexe qui arborait une magnifique érection il me dit "Viens près de moi petite salope, je fais bien faire jouir ton petit cul, je vais complètement le casser.
- Je l'espère bien, parce que moi j’ai vraiment très que tu me démolisses la rondelle.
- Tu vas voir, ton cul ne sera plus qu'une énorme ouverture à la fin.
- Super, et peut-être qu'on pourra faire quelques trucs spéciaux.
- Si tu me le demandes.
- On verra".
Pierre m'enlaça et écrasa ses lèvres sur les miennes, j'ouvris la bouche, nos dents s'entrechoquèrent, nos langue se nouèrent et nous échangeâmes un baiser enflammé.
Quand Pierre abandonna ma bouche, j'avais le rouge aux joues et ma respiration s'était accélérée.
Mon amant me prit dans ses bras et me déposa délicatement sur le dos sur la moquette, il s'allongea à mes côtés et commença à me caresser le corps, ses mains se posèrent sur ma poitrine et il se mit à me pincer les tétons à me faire mal, sous ces attouchements les pointes de mes seins s'érigèrent et durcirent, je sentais contre mon flanc le dur pénis humide de mon homme.
Abandonnant mes seins, mon mec se mit à me lécher le nombril tout en me caressant les cuisses, je me cambrai légèrement, je sentais le désir commencer à prendre possession de mon corps, mes fesses devenais de plus en plus chaudes, m'ayant effeuillé le côté pile mon mec me retourna et se mit à me masser la nuque, ce doux massage me décontracta complètement et je frémis chaque qu'il portait ses mains sur mon corps, tout mon être était maintenant habité par un violent désir, je voulais que sa queue dure me défonce, je voulais la sentir fouiller mes entrailles.
Du bout de la langue, Pierre se mit à me lécher tout le long de la colonne vertébrale, commençant sur mon cou et terminant à la naissance du sillon de mes fesses, j'étais totalement en feu, et je tendais mon postérieur vers lui.
Délaissant mon dos mon amant posa ses mains sur mon fessier brûlant et me massa légèrement, cette douce caresse me fit monter d'un cran dans le plaisir et je me mis à gémir, il écarta mes miches et une langue inquisitrice vint darder mon anneau enfiévré qui s'ouvrit aussitôt sous cette caresse, Pierre se mit à me saliver sur toute la longueur de la raie du cul, entre ses mains je me sentais perdre de plus en plus pied chaque fois que sa langue rappeuse touchait à mon intimité.
Mon homme plongea son visage entre mes fesses en feu et échangea un baiser lingué avec mon anus, sa langue me pénétrait comme un petit pénis et je me tordais de bonheur, je planais littéralement sous ses coups de langue, puis il m'enfonça un doigt dans le fondement et se mit à aller et venir en moi, un deuxième puis un troisième doigt vinrent rejoindre le premier, m'ouvrant de plus en plus le sphincter, mon bas ventre était en fusion, je râlais en me tordant sur le sol la bouche grande ouverte, je ne sais combien de temps Pierre pratiqua sur moi ces doux sévices, je n'était plus qu'un objet rempli de désir, tout en moi appelait le mâle, je voulais qu'une queue non que sa queue bien raide me prenne pour éteindre l'incendie qui couvait en moi.
A présent quatre doigts coulissaient dans mon rectum bouillant, de ma bouche ne sortait plus qu'un "aaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhh" continu.
A bout de plusieurs minutes, alors que je n'étais plus qu'un corps exacerbé par le désir, Pierre arrêta ses caresse, je lui dis dans un soupir "Pourquoi ?
- Maintenant je vais te baiser".
Il prit mes jambes et replia sur mon corps de telle sorte que je me retrouvai le visage dans la moquette et le cul en l'air quémandant sa pitance, alors que je m'attendais à ce qu'il me pénètre mon homme se remit à exciter ma corolle de sa bouche avide, je me mis à onduler au rythme de sa caresse, je ne sais combien de temps dura ce baiser qu'il échangeait avec mon antre en ébullition, N'y tenant plus je me mis à le supplier de me prendre "Ahhhhh aaaahh arrête ahhhh je veux aahh tahhh queue dans mon cul, je veux que tu me baises, je veux ta jute en moi, je t'en supplie ahhhh encules-moi ahhhhh baises-moi ahhhh oui oui ahhh défonces-moi la raie ahhhh".
Soudain quelque chose d'énorme, de chaud et de dur et doux en même temps remplaça sa bouche et se posta face à mon canal affamé.
Je reconnus son gland turgescent, bien que je fus bien ouvert par toute les prémices, comme à chaque première fois je fus pris de panique vu les dimensions de l'engin et j'essayais de me dérober.
Mais me maintenant solidement aux hanches Pierre commença à peser sur mon anus, quand son fabuleux bout durci écarta mes chairs je poussai un hurlement de douleur, Pierre s'arrêta et se mit à m'assouplir la pastille entrant et sortant lentement la monstrueuse tête de son membre distendu, de petits cris s'échappaient de ma gorge chaque fois qu'il me déflorait le tunnel, puis mon fondement céda et je dis à mon mec "Vas-y défonces-moi".
Mon amant me pénétra avec une lenteur calculée, quand je sentis contre mes fesses les poils follets de son pubis je sus qu'il était en moi entièrement, j'avais le trou complètement écartelé par la monstrueuse présence qui m'obstruait, Pierre s'immobilisa me laissant m’habi à son énorme calibre et mon cul se décontracta complètement.
Alors Pierre commença à aller et venir lentement dans ma grotte enfiévrée, je fermai les yeux et râlant sous ses lents coups de pine je m'abandonnai totalement.
Sous les coups de boutoirs répétés je ne fus pas long à sombrer, mon homme me possédait de toute la longueur de son sexe m'ouvrant plus le cul chaque fois que la puissante bite s'enfonçait jusqu'à la garde, j'avais l'impression que de la lave en fusion coulait de mon intimité, je ne vivais plus que par le membre qui me ramonait le prose jusqu'à plus jouir, des vagues de désir, partant de mon bas ventre, affluaient vers mon visage m'éclaboussant, j'avais totalement perdu les sens des réalités et bramais sous les assauts que mon mec me portait, Pierre me besognait toujours avec une régularité de métronome me faisant de plus en plus plonger dans le plaisir, il avais lâché mes hanches et me tenant aux épaules il me fendait me cul en de larges et puissants coups de bite, la fabuleuse pine coulissait maintenant sans gène aucune en moi, j'avais atteint le point de non-retour et je me mis à délirer "ahhhhhhhhhhhhhh ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ahhhhhhhhh ahhhhhhhhhh ooooooooohh ahhhhhhhhhhhh ahhhhhhhhhhhhh aaaaaaaaaaaaaahhhh.
Mais sourd à mes supplications, Pierre continuai à me posséder avec une régularité de métronome, je sentis une boule monter vers ma gorge, l'air me manqua et un sublime orgasme me balaya, j'ouvris la bouche et un hurlement strident pulsa de ma gorge "aaaaaaaaaaaahhhh", mon corps se tendit comme un arc, je griffai la moquette et tendis mon cul vers cette merveilleuse pine qui me donnai autant de plaisir me ramonant le rectum puis je retombai lourdement sur le sol perdant connaissance.
Quand je revins à moi, Pierre me besognai toujours en de larges coups de bite.
Peu à peu, sous les assauts répétés de cette hampe virile, le désir remonta en moi, mon amant, sans défaire notre étreinte, me retourna sur le dos puis se baissa et me prenant aux aisselles me ramena vers son torse.
Il se leva et je nouai mes bras autour de son cou ainsi que mes jambes autour de sa taille.
S'appuyant contre le mur, mon homme se mit à me pilonner l'anus à grands coups de reins tout en me faisant monter et descendre sur son phallus gorgé de sang.
J'avais le trou complètement éclaté, j'avais l'impression que s'il continuait à me tringler de la sorte, il allait me déchirer le cul mais que c'était bon, dans les bras de mon mec, j'étais tel un pantin désarticulé, mes ongles plantés dans ses épaules musclées, je hurlai mon plaisir sans discontinuer "aaaaaahhhhh ahhhhhhhhh aaaaaaahhh ahhh".
Pierre allai me reposer sur le fauteuil et me ramena les jambes vers la tête, de la sorte à faire ressortir plus encore mon sphincter de manière à avoir un angle de pénétration encore plus grand, là il se mit à me défoncer à une vitesse folle.
Mon intimité s'était encore agrandie, je voyais entre mes jambes le priape violacé sortir et se planter au plus profond de mes entrailles, le ventre musclé de Pierre claquait contre mon arrière-train en fusion à me faire mal, sous ses coups de boutoirs violents, je me tordais comme un damné sous mon amant la tête ballottant de droite à gauche, en cet instant seul comptait pour moi cette bite roide qui me démolissait la corolle, j'avais atteint le point de non-retour et je me remis à délirer "aaaaaaaaaaaahhhhhhh ahhhhhhhhhhhhhhh aaaaaaaaahhhhh".
Pierre s'enfonçant au fond de mon cul éjacula en feulant, une formidable giclée de foutre crémeux m'inonda le fondement me déclenchant un orgasme dévastateur, je hurlai de jouissance et sombrai dans l'univers cotonneux du plaisir, je sentis le pénis encore dur de Pierre quitter mon antre et je restai, le dos reposant sur le fauteuil et les jambes sur le sol les yeux clos, cuisses écartées, écoutant les dernières contractions du bonheur autour de ma corolle ravagée.
Quand je rouvris les yeux, Pierre me regardai en souriant, son sexe était toujours dressé, je lui dis "Merci, quelle baise, j'ai cru mourir tellement tu m'as fait jouir.
- Je le sais tu m'as complètement labouré le dos avec tes ongles.
- Pardon mais c'était si bon que je ne savais plus ce que je faisais
- J'ai vu. Alors ça t'a plu ?
- C'est plus que ça, il n'y a pas de mots pour traduire ce que j'ai ressenti, tu m'as baisé comme un dieu.
- Et toi comme une déesse ma salope.
- Oui je sais je suis une bonne salope.
- Comment bonne, tu es une sublime salope, tu as faite pour la baise, ton univers c'est la bite, tu ne vis que pour ça, tu jouis merveilleusement, même les gonzesses ne jouissent pas comme toi, tu es la reine.
- Merci et tu verras quand je serai une vraie gonzesse.
- J’attends ça avec impatience mais c'est moi qui te remercie de m'avoir donné ce que tu m'as donné avec ton cul.
- N'exagère pas.
- Non c'est la vérité, je sais que je me répète mais je t’assure quand on te baise on est dans un autre monde, ton cul est une vraie fournaise, c'est fou.
- Je suis content que ça te plaise.
- Regarde si tu ne me crois pas, je viens de te tirer et je bande encore.
- C'est bien, comme tu vas pouvoir me tirer encore.
- Ca tu peux y compter, si tu me disais non maintenant, je te violerais.
- Tu n'en auras pas besoin, c'est oui oui oui et ouuiii.
- Merveilleux, ce cul est un joyau, viens je vais t'en remettre un coup.
- Seulement un ?
- Mais non beaucoup.
- Je préfère, allonges-toi, je veux te monter dessus, cette fois je veux me la mettre moi-même.
- Tes désirs sont des ordres ma salope".
Pierre s'assit sur le sol, le dos reposant contre le mur, les jambes écartées à plat et attendit, je voyais son sexe dressé pointer vers le plafond, je m'approchai de mon homme et lui tournai le dos, il me caressa légèrement les fesses.
Me mettant entre ses jambes je m'accroupis, pris le phallus érigé entres mes mains et le promenai tout le long de ma raie, le contact du gland turgescent contre mon intimité me fit frémir, puis le positionnant contre mon œillet béant je m'empalai sur la bite roide, je restai quelques instant immobiles savourant les palpitements de la fabuleuse verge entre mes reins puis je me mis à monter et descendre lentement sur la virile hampe violacée, je voyais devant moi dans la glace la pine entrer et sortir de mon trou en fusion, cette vision me mit tout le corps en ébullition et je me mis à aller et venir sur le phallus démesuré à une vitesse folle, les assauts que je me procuraient me firent perdre totalement pied, j'avais atteint le point de non-retour et je me mis à râler.
C'est à cet instant que, d'un coup de reins, Pierre me fit basculer, je me retrouvai à quatre pattes, il me prit aux hanches et se mit à me besogner en de violent coups de boutoir qui me faisaient avancer sur la moquette chaque fois que le long et dur pénis se plantait au plus profond de mon rectum en feu, j'avais rejeté la tête en arrière et les yeux clos je savourais le plaisir qui prenait totalement possession de mon être, je ne savais plus depuis combien de temps mon amant me pinait le cul de toute la longueur de sa fabuleuse bite, les bruits de succion que faisaient mon cul en avalant entièrement le priape tuméfié me portaient au paroxysme de la jouissance, j'avais perdu toute notion des réalités et ne vivait plus que pour et par l'énorme membre qui me forait les reins, m'ouvrant plus chaque fois qu'il plongeait au fond de mes entrailles ravagées.
Pierre accroché à ma taille me possédait avec des "HANS" de bûcheron, son ventre plat claquait contre mon postérieur bouillant à me faire mal, j'avais atteint la plénitude rectale, je voulais qu'il me défonce plus encore, qu'il pénètre plus loin en moi, qu'il me casse plus encore le cul, je voulais qu'il me baise ainsi indéfiniment, mes râles s'étaient transformés en hurlement de plaisir, la bouche grande ouverte je bramais sans discontinuer tout en roulant des hanches en cadence.
Pierre me décula et me mit sur le dos, il prit mes jambes et les replia vers mon torse de sorte à ce que mon œillet sorte plus accentuant de ce fait l'angle de pénétration puis il s'enfonça jusqu'à la garde dans ma grotte chauffée à blanc d'un violent coup de reins qui me fit gémir et se mit à me limer à une vitesse folle, ces violents assauts me firent perdre totalement pied, je planais sous les coups de boutoirs redoublés et je me mis à délirer "Aaaaaaaahhhhh aaaaaaaahhhhhhahhhh ".
Un orgasme foudroyant me balaya, mon corps s'arqua, je hurlai mon plaisir et je retombai lourdement sur la moquette, Pierre me possédait toujours à une vitesse folle, m'assenant des coups de boutoirs violents, de ma bouche ne sortait plus qu'un "aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhh" continu, je n'étais plus que jouissance je ne fus pas long à atteindre de nouveau le septième ciel, je recommençai à délirer "ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhh".
C'est à cet instant que s'enfonçant au plus profond de mon ventre, Pierre éjacula en feulant, sa formidable giclée de foutre inonda mes parois surchauffées, cela me déclencha un spasme foudroyant, mon corps s'arqua sous mon amant et je tendis mes fesses vers lui pour accen la pénétration, un hurlement de jouissance pulsa de mes lèvres, mes jambes battirent l'air et je retombai lourdement sur le sol, cuisses écartées, yeux clos, l'anus comblé, savourant le merveilleux moment que je venais de vivre.
Quand je rouvris les yeux Pierre était allongé à mes côtés et me regardai, son sexe à demi flaccide, souillé de foutre et de merde, reposai sur sa cuisse je lui souris et il me dit "Alors contente ?
- Oh oui qu'est-ce que tu m'as, j'ai cru que tu allais me démolir complètement le cul.
- Dans un certain sens c'est ce que j'ai fait.
- Oui mais que c'était bon, j'ai vu les étoiles, ta bite est géniale.
- Peut-être, mais crois-moi, ton cul est un vrai bijou et toi aussi, car tu es une vraie jouisseuse, il n'y a pas que ton cul c'est tout ton corps qui respire le plaisir, ça en est incroyable, baiser avec toi c'est mieux qu'avoir un harem. J’ai une chance extraordinaire d’être ton mec.
- N'exagère pas.
- Pas du tout, je crois qu'il est impossible de baiser mieux que toi, c'est fou.
- Merci.
- Non c'est vrai.
- Alors j'espère que tu n'es pas encore à plat car moi j'ai encore envie de sentir ta queue me défoncer la raie.
- Je ne suis pas encore à plat, mais avant j'ai soif et envie de prendre une douche.
- C'est une bonne idée, ça va me permettre de me laver le fion et les cuisses, je suis rempli de sperme.
- Oui, on y va ?
- D'accord".

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