Solange

- Chéri, fais-moi l’amour, demande Solange
- Tu as vu l’heure ?
- Oui, il est à peine 9 heures.
- C’est tôt, non ?
- Pas pour moi, je veux jouir longtemps, jusqu’à demain ou tard cette nuit. Et regarde ce que j’ai acheté : c’est pour que tu bandes encore plus, je te le mets dans le cul, tu rebandes encore.
- Salope, d’où tu as sorti ce machin.
- C’est une copine qui me le prête pour savoir comment ça fait avec toi : son mari adore.
Ce que femmes veut…………Elle est sur mes genoux. Ses lèvres sur ma bouche, sa langue qui cherche la mienne. Elle caresse mes épaules, passe sous les aisselles. Sans que rien ne le laisse paraître, elle pose sa bouche sur mes tétons, une nouveauté. Solange défait toute la chemise, l’enlève du pantalon. Elle ouvre la fermeture éclair pour sortir la queue qui bande depuis un moment : elle me laisse ensuite sans me toucher d’avantage.
Et elle voulait baiser……..
Elle m’a carrément laissé seul. Je veux me rhabiller un peu quand elle revient cette fois avec seulement un string mini qui laisse voir la moitié de sa minette. Quand elle se tourne je ne devine que la ficelle dans la raie des fesses. Elle cache avec ses mains les deux seins. Comme si je ne les connaissais pas. Solange me pousse sur le fauteuil. Je dois avoir un drôle d’air avec le pantalon aux chevilles, la queue exposée à tous vents.
Elle m’embrasse encore, cette fois plus longuement. Ses mains lâchent ses seins, viennent autour de ma tête, la force à venir sur ses tétons. Je les aspire avec plaisir, ils sont tout durs. Je voudrais bien jouer mon rôle de mari, d’amant : c’est elle qui dirige tout. Elle se met à genoux : je pense qu’elle va sucer la queue. Elle prend bien la bite, la tient à deux mains. Une main descend vers mes joyeuses qu’elle masse doucement. L’autre ne bouge plus du tour de la queue. Elle descend encore la main vers le périnée. Habituellement elle ne me touche jamais là. Qu’est qu’elle a bouffé ? Elle arrive sur un endroit où elle refuse toujours d’y mettre seulement le début d’un doigt.


Elle est parti pour un long massage délicat, harmonieux, érotique qui m’excite encore plus que ce qu’elle vient de faire. Elle me masse le cul, elle le lâche, y revient, elle recommence sans fin. Pour inaugurer cette innovation je suis prêt à la laisser entrer le doigt au fond du cul. Je suis à sa place quand elle me demande une sodomie, sauf que là, je ne demande rien de particulier.
Elle hésite un moment avant d’entrer doucement le doigt. Elle le passe dans la bouche, l’enduit de salive. Elle revient, la pose à nouveau. Rien ne se passe jusqu’au moment où je le sens forcer un peu ; elle écarte mes chairs, certainement comme je lui fais avec la queue. Je ne me rendait pas compte de la suite : elle me fait mal en entrant, je ressens un drôle de plaisir quant elle bouge en moi. Quand elle a mis tout son doigt elle en passe un autre. Elle me sodomise lentement moins vite que je lui fais. En tout cas je sens monter un plaisir inconnu. Je me fais enculer par ma bien aimée.
Elle décide enfin de s’occuper de la pine. Sa bouche tapote doucement sur le haut du gland. Elle mouille bien ses lèvres, retourne avaler le gland en entier. Ses lèvres font un va-et-vient infernal. Entre sa langue qui lèche, ses lèvres qui frottent et ses doigts, je pars dans un immense orgasme. Je lui donne toute ma réserve de sperme.
Je me sens totalement vidé, de la transpiration coule dans la raie de fesses. Et Solange n’a pas prit son pied. Elle vient poser sa chatte juste sur le genou. C’est bien la première fois qu’elle se pose ainsi. Elle remue le bas ventre en frottant son minou sur moi. Elle est indécente au possible. Je sens ses poils se hérisser sur ma jambe. Elle se masturbe seule en ayant brusquement son plaisir qui arrive. Je suis toujours en berne, même après ce que je viens de voir, pourtant j’aime quand elle se branle devant moi, comme tous les maris je pense.
Elle met en route se nouvelle méthode. Elle me colle dans la bouche le gode spécial. Je le sens vibrer.
Je ne vois pas comment elle compte me faire encore bander ainsi. Je l’avale en partir, je le lèche un bon moment. Elle le retire, le passe dans sa bouche pour compléter la lubrification nécessaire.
Elle revient sur la bite la lèche à nouveau. Je ne le crois pas : elle m’a fait bander, pas dur dur, mais suffisamment pour une petite introduction vaginale. Elle me veut parfaitement dur. Je ne crois pas à son miracle. Elle commence à entrer le gode dans l’anus. Il entre plus facilement que ses doigts. Elle m’oblige à regarder ce qu’elle fait. Je reconnais que le voir m’enculer est excitant, même si je préfère autre chose. Pour assurer une bonne pénétration elle crache sur l’anus. Elle ose me cracher dans le cul ! Elle l’entre facilement profondément. Ma bite relativement calme se relève.
Solange vient sur mes genoux, continue à me sodomiser, se fait éclater la pastille quand elle est entièrement sur moi. Nous jouissons presque ensemble du cul, elle sur moi, moi en partie puisque son cul me sert également.
Elle a jouit plusieurs fois avec moi au fond de son anus. Elle en a oublié le gode dans mon anus. IL y est bien. Elle profite de ses instants pour se caresser ses bijoux entre ses jambes. Sa main droite de chôme pas un instant.
Elle nous accorde un instant de relax. Elle me fait coucher sur le lit, vient en 69, sur le coté. Ma queue est dans sa bouche : elle me lèche doucement pour arriver à me faire bander. Elle tient le gode dans sa main, elle lève une jambe, pose le gode sur son trou plissé ; elle s’encule sans problème en murmurant qu’elle est une grosse salope (je suis d’accord pour salope, pas pour grosse), qu’elle est une pute qu’elle va se vendre dans la rue à qui la voudra, qu’elle va baiser dans la boulangerie avec la patronne, qu’elle deviendra lesbienne. Elle ne se calme qu’après presque une heure de délire qui me fait bander. Je suis sur elle qui conserve le gode dans le cul. Je la baise sans douceur. Même si je sens le conçurent à coté, je vais et viens en elle : elle part dans de multiples orgasmes ;
Finalement elle avait raison, nous avons baisé et joui jusqu’à 5 heures du matin, crevés mais satisfait de notre record personnel.

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