Une Journée Ordinaire (Suite)

Le soir, quand tu rentres, je te remercie comme prévu, seins nus, tétons déjà durs, à genou devant la porte d’entrée, je te souris, gourmande...

Dès que tu passes la porte, tu t’arrêtes, à deux mètres de moi, tu me souris, carnassier. Tu me fais attendre quelques secondes, le temps de poser sa sacoche d’ordi, poser ta veste, déboucler tranquillement ta ceinture, tu déboutonnes un par un des boutons de ton jean, tu dégages ta queue qui ne demandait que çà, je l’admire et j’en salive d’avance…

« Allez viens, viens vers moi, à quatre pattes, bouge bien ton beau p’tit cul… viens t’occuper de moi. »

J’avance très lentement vers toi, une main après l’autre, ne quittant pas ma cible des yeux, je sais que tu regardes mes seins qui tanguent, mon cul qui se balance de gauche à droite, serré dans le jean. Quand j’arrive près de toi, je me redresse, à genou, je caresse mon visage sur ton membre dressé, palpitant, je l’embrasse, le respire, le titille du bout de la langue, ma main droite caresse tes boules si douces, pleines de promesses, j’att ta verge de la gauche, la guide vers ma bouche humide.

Tu me caresses les cheveux, me dit comme tu aimes, comme tu m’aimes, comment c’est bon d’être aussi bien accueilli chez soi… je sais que tu te rends compte de la chance que tu a, comme je sais la chance que j’ai… Je m’occupe de ton gland, pose mes lèvres fermées dessus, un petit coup de langue pour déguster la première goutte de ton jus, je resserre les lèvres et me pénètre de ton dard, doucement, fermement, comme tu aimes… tout doucement jusqu’au fond de ma gorge, ton sexe me remplit… puis… Ai-je besoin de me perdre en détail ? Je te fais une bonne pipe comme tu aimes… assez vite tout de même parce qu’à genoux sur le carrelage, c’est pas terrible pour le confort… donc j’accélère le mouvement, ma bouche, ta queue, mes mains, tes couilles, j’accélère jusqu’à ce que tu viennes, je te sors de ma bouche, tu prends ta queue en main et dirige tes longs jets sur ma poitrine offerte…

Et toi lecteur, j’espère qu’à cette lecture, tu donnes un dernier coup de poignet et que tu balances la sauce, ma bouche ouverte attend…

Et toi, lectrice, tes doigts qui s’agitent entre tes jambes, poussent-les un peu pour que ma langue se glisse dans ta belle fente humide, je glisse un doigt dans ton petit trou serré, deux ?

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!