Chapitre 38 : Éric, Mon Mari, Homo Et Cocu Humilié. Episode 3/3.

Bonjour, c’est Caroline, je vous propose de vous narrer la suite de nos aventures, et en particulier l’épisode 3/3 des chapitres : Éric, mon mari, homo et cocu humilié. C’est notre dixième rendez-vous ensemble… Mais vous devez lire impérativement l’épisode 1 (chapitre 36) et l’épisode 2 (chapitre 37) avant celui-ci.
Éric m’a fait part de son besoin d’être excité, d’avoir d’autres besoins à satisfaire, comme être humilié et dominé, pour augmenter son désir et sa nature soumise…Je ne suis pas surprise, en fin de compte, les relations cocues sont à relier à la bisexualité, un intérêt à être soumis, à vouloir contrôler, à vouloir céder le contrôle, à être masochiste…
Suite de notre rencontre…
Baptiste nous propose d’ouvrir une nouvelle bouteille de champagne pour fêter cet instant, car c’est pas tous les jours qu’il croise une belle salope comme moi et un bon cocu comme Éric, il est très content de notre rencontre.
- Alors le cocu, ça va, pas de regret, toujours partant pour la suite ?
- Pas de regret, et toujours partant, répond Éric
- Tu es impatient, n’est-pas mon petit cocu ? dis-je à mon tour.
L’ambiance est joyeuse, certainement dû aux nombreuses coupes de champagne et ses effets « bienfaisants ».
Ensuite Baptiste, demande à Éric de se préparer, de se déshabiller complètement, il le laisse souffler peu de temps, puis revient vite à la charge. Il lui demande de se coucher sur le ventre, sur son lit « improvisé ». Il se met derrière lui et commence à lui pétrir les fesses en douceur. Instinctivement, il écarte les cuisses, comme pour lui demander d’aller le caresser par derrière. Baptiste ne s’en prive pas. Il appuie sur le matelas qui s’abaisse et il peut ainsi venir lui malaxer les couilles, avec le pouce et l'index, il lui roule chaque testicule sans précaution, c'est pourtant un endroit sensible !!!
Mon pauvre petit cocu est bien maltraité. Éric est déjà très excité. Son bas-ventre se soulève, de même que sa croupe, pour lui faciliter le passage.

Baptiste se charge de recadrer la situation. C’est ensuite que les choses sérieuses commencent.
Il entre et sort à plusieurs reprises sa main d’entre les cuisses d’Éric. À chaque fois, il prend un peu de lubrifiant naturel pour aller en déposer dans la raie de son cul. Avec le tranchant de sa main, il écarte les globes de ses fesses et lui badigeonne son cul, toujours plus au fond. A la fin, il fait même un peu tourner sa main comme s’il voulait évaser son trou. La tête enfouie dans l’oreiller, Éric pousse déjà de petits gémissements. Ensuite, Baptiste se recule et prend Éric par les jambes. Il tire dessus, jusqu’à ce qu’elles pendent du lit. Éric a presque les genoux au sol. Son sexe est sur le bord du matelas. Baptiste tire encore un peu. Dans cette position, la croupe d’Éric ressort parfaitement. Baptiste vient s’agenouiller derrière lui et il doit sentir son souffle sur ses fesses. Puis, son nez se glisse dans sa raie, suivi de près par sa langue.
Baptiste lui lèche le cul un bon moment. Il est très doux et prévenant avec Éric. J’observe la scène avec envie, mais c’est au tour de mon petit cocu de pouvoir prendre du plaisir.
Au début, sa langue tourne autour de son anus puis, peu à peu, il force dessus pour commencer à l’ouvrir. Éric est excité comme une puce. Pendant ce temps-là, Baptiste branle mon cocu de mari, pour maintenir intact son désir d’être enfilé. À un moment donné, il se penche vers Éric et lui demande vulgairement à l’oreille de pousser comme s’il voulait « ….. », puis lui remet la langue sur sa pastille violacée. Le fait de l’entendre lui parler comme ça, excite encore plus Éric qui lui déclare :
- Je suis heureux de t’obéir, j’aime ce que tu fais à mon petit anneau !!!
- Tu aimes ça, petit pédé !!! Lui répond Baptiste.
Je suis bien placée en observatrice privilégiée, Baptiste en profite pour faire entrer sa langue d’un bon centimètre dans son fondement et commencer à lui ramoner le rectum. Il le fait encore deux ou trois fois, toujours avec l’aide intéressée d’Éric et, la quatrième, c’est son index qui remplace sa langue.
Je suis surprise de la facilité avec laquelle son doigt s’engouffre dans la rosette de mon petit cocu. Il l’enfile jusqu’à la garde et l’agite un petit moment dans le conduit anal. Il le fait d’abord coulisser sagement puis se met rapidement à le faire tourner dans son derrière, pour lui assouplir le cul. Quand il juge que ce traitement a atteint ses limites, il enfile alors un deuxième doigt et reprend son manège. Finalement, Éric lui demande lui-même d’y mettre enfin sa queue.
- Vas-y Baptiste, encules moi !!!
- T’inquiètes la lopette, tu vas te faire enculer !!! Lui répond Baptiste.
Il lui taraude encore l’anus un petit moment, histoire de bien s’assurer de la dilatation optimale de son anus. Il ne peut guère faire plus avec sa main. Puis, il se recule une dernière fois et pose ses paumes sur ses fesses. Il les écarte tant qu’il peut.
Assise sur le bord du lit, je mets un peu de gel dans l’anus d’Éric et je demande à Baptiste de venir le prendre.
- Le prendre, me dit-il ? Quelle expression !!! Tu ne peux pas trouver mieux pour ton cocu ? Je suis certain que tu connais des mots plus précis, bien plus vulgaires…Ma petite salope…Me dit Baptiste.
Le champagne doit faire son effet, sans doute, car aussitôt je réponds avec une voix que je ne reconnais pas :
- Excuse-moi, je veux dire : mets ta grosse bite dans le trou du cul de mon cocu de mari et pédé en plus et encule-le bien à fond, défonce le bien et surtout que tes couilles claquent sur ses fesses de tapettes.
Surpris par mon ton (moi aussi d’ailleurs !), Éric se retourne, rouge comme une pivoine et l’œil brillant.
David me regarde en rigolant :
- Tu vois, salope, tu apprends très vite, tu fais des progrès foudroyants en à peine deux heures !!! Je vais m’occuper de ton petit cul après celui d’Éric.
Je vois la bite de Baptiste s’approcher du trou de mon Éric, jusqu’à ce que le gland vienne buter tout contre. Il le fait passer tout autour du puits, comme il l’a fait un peu plus tôt avec sa langue, puis son doigt.
Enfin, il se met à appuyer au centre, très doucement, mais fermement.
Le maître Baptiste profite de la bonne ouverture de l’orifice anal d’Éric, pour accen la pression et la tête de son braquemart rentre presque sans forcer dans son fondement. Baptiste s’est enduit la tige d’un corps gras, avant de le pénétrer, car son manche est très gros et fort. Instantanément, Éric est comblé comme jamais, il gémit comme une chienne.
Baptiste parvient pourtant à le calmer. Dès qu’il est bien en place dans son cul, il se met à aller et venir très lentement. Il n’y a pas la moindre violence dans ses gestes.
- C’est bon, Baptiste, tu me fais du bien, j’ai l’anus qui chauffe et le ventre qui fourmille !!! Dit Éric !
- Tu es bien enculé mon pédé, c’est ce que tu veux !!! Répond Baptiste.
Éric prend un plaisir qui me fait envie, mon petit cocu se fait enculer devant moi. Son plaisir doit grandir, au fur et à mesure que son corps s’adapte à l’intromission du membre de son amant. Heureusement celui-ci continue de se montrer attentionné à son égard. Il passe une main sous ses cuisses et la dirige vers son entrejambe pour le branler. Il le force à relever légèrement le bassin. Il le branle pendant tout le temps qu’il passe dans ses fesses. C’est plus qu’il n’en faut pour le satisfaire. Au fil des minutes, il devient de plus en plus réactif. Éric balance ses hanches d’avant en arrière pour bien coulisser, tant sur la main que sur la pine de Baptiste qui n’a presque plus à remuer, tellement Éric est agité. Survolté, Éric fait tout son possible pour se sentir encore mieux rempli. A la fin, Baptiste se met tout de même à accélérer la cadence. Maintenant il défonce vraiment mon petit mari cocu. Il le pilonne violement et lui dit :
- Alors pédé, tu as ce que tu veux, je vais t’exploser la rondelle, lopette !!!
Le pauvre Éric est bien malmené, il se fait littéralement déboiter le cul, même s’il a un bon potentiel d’absorption, il va certainement avoir mal au cul et quelques difficultés à marcher sans douleurs.

La brutalité et la violence de Baptiste ne faiblit pas. Je crois qu’il veut jouir. Il doit être très excité par le spectacle que lui donne Éric, celui d’un homme bisexuel passif ivre de sexe et assoiffé de plaisir.
Je suis toujours observatrice, assise sur le bord du lit, mais pas inactive, car le spectacle m’excite également et je me caresse vigoureusement ma chatte toute mouillée. Je me mets un doigt, puis deux, dans le vagin. Je ressens le plaisir qu’Éric peut éprouver car il a l’habitude de me prendre ainsi.
Je ne sais pas vous dire qui des deux a joui en premier. Ce que je sais par contre, car Éric me l’a avoué après, c’est que la jouissance qu’il a eu n’a rien de commun avec celles qu’il ressent habituellement. Lui d’habitude plutôt discret, il a crié, il a gueulé que Baptiste lui faisait du bien…
Ensuite, Baptiste s’affale sur Éric et ils sont restés ainsi quelques minutes, jusqu’à ce que sa verge débande et finisse par sortir d’elle-même de son anus.
Pendant ce temps, je savoure une énième coupe de champagne en attendant… Je découvre également que j’apprécie les mots crus, vulgaires et les insultes. J’apprécie d’être traitée de salope, de garage à bites et de bonne à baiser. Je n’ai certainement pas à le dire à haute voix, à charge de mes nombreux partenaires de le découvrir, ce n’est pas très compliqué pour eux à deviner. Baptiste a déjà compris car il me déclare :
- Alors la salope, tu attends un client ? Me demande-t-il puis il ajoute :
- J’ai apprécié ton cul tout à l’heure !!!
- Eh bien oui, j’attends un beau jeune homme !!!
- C’est bien la pute, alors tu te mets à quatre pattes et tu offres ton cul de salope à ton pédé pour qu’il te suce afin de te préparer à une nouvelle sodomie.
Je crois bien que je mouille à nouveau. Je prends la bite de mon cocu pour le branler un peu. Mais Baptiste intervient :
- Mais il tremble le pédé !!!
Effectivement Éric tremble face à moi, il est à point : les choses sérieuses peuvent commencer, il doit vraiment avoir envie de me pénétrer. A la demande de Baptiste, je commence à me masser tout doucement le corps, dont ma petite chatte qui est toujours en feu. Mes lèvres rougies par le désir et les rapports précédents sont gonflées sous mes doigts.
Je ferme les yeux et je savoure l’instant pendant quelques secondes. Quand je les ouvre, ils sont toujours nus, face à moi, mais je les vois déjà bien bander. Ils ne peuvent me cacher leurs queues, qui ont acquis une rigidité certaine.
Donc à la demande de Baptiste, je me suis allongée sur le canapé, jambes bien tendues en l’air, puis je me suis retournée en levrette — pour qu’il puisse mater ma jolie croupe.
Voyant que je fais ma star, Baptiste me dit :
- Tiens, petite salope, je te donne un petit instrument pour te préparer.
Et là, il me tend un gros gode tout noir, dans une matière assez douce. Je le caresse du bout des doigts. Il me met un tube entre les mains et je badigeonne copieusement le jouet sexuel. J’en mets jusqu’à la base, histoire que tout glisse facilement en moi. Je m’allonge ensuite à mon aise sur le canapé, sous le regard interrogateur d’Éric, jambes relevées bien haut pour qu’ils puissent l’un et l’autre voir la scène. Je titille un peu le pourtour de mon anus, puis j’enfonce l’objet noir au fond de mes profondeurs. Ça rentre comme dans du beurre.
Baptiste demande à Éric de passer sa main doucement et délicatement sur mon petit clito bien gonflé. C’était agréable d’avoir cette sensation clitoridienne combinée à ce qui me rentre dans le cul (ce qui n’est pas tout à fait orgasmique, bien que pas vraiment déplaisant non plus).Je suis pleinement concentrée sur les sensations que je ressens au plus profond de mes entrailles.
Je joue un peu avec l’énorme gode, pour voir ce que je ressens quand je le mets plus à droite, plus à gauche. Éric me caresse toujours.
Baptiste m’aide en poussant fort sur l’engin. Il est manifestement impressionné que tout se passe si bien pour absorber un diamètre si important, que je le prenne aussi naturellement dans le cul.
- Bah !!! Ma salope, tu as l’air d’aimer ça en fait. Tu as vu ? Tu es toute mouillée. T’imagines tous les mecs qui vont se branler en voyant cette vidéo, ça va vraiment les exciter.
- Tu es fou Baptiste, je veux bien que tu filmes, mais pour Éric et moi simplement !!! Je veux que ça fasse plaisir à mon petit cocu !!! Répondis-je.
- Eh bien, je crois que je vais faire comme eux, je vais me branler. Tu es super-excitante !!! Et en disant ça, il s’astique le sexe, en l’empoignant bien fort.
Je suis assez fière de lui provoquer ce « trop-plein d’excitation », d’être cet objet de fantasme si sexy. Il m’avoue, le souffle court, qu’il a trop hâte de me sodomiser. De remplacer le gros objet noir pas sa grosse queue. Mais taquine, je lui dis :
- Tu ne veux pas que je vous suce, tous les deux d’abord ?
Il joue les étonnés mais est ravi de ma prise d’initiative. À force de me narguer avec sa belle queue bien bandante, et celle d’Éric qui est bien en forme. Ça me donne envie de les engloutir à pleine bouche, d’en sentir le goût plein les papilles.
Je repousse mon plug, que j’apprécie de plus en plus, puis je m’agenouille, à leurs pieds. Je leur lance un regard digne d’une actrice porno, toujours pour exciter mon audience, et mieux, mon petit chéri, et je titille leurs glands de la pointe de ma langue de façon alternative. Baptiste me flatte sur mes techniques de suceuse :
- Ah bah dis-donc  !!! Ma salope, même avec deux bites tu te débrouilles très bien !!!
Il faut dire que j’ai beaucoup de savoir-faire, je connais la technique où leurs sexes glissent sur ma joue, celle où je serre fort les lèvres juste à la base de leurs glands, et celle où je les branle en même temps.
- Elle te plaît cette queue ? Petite pute !!! Me demande-t-il, inquiet.
Je ne peux m’empêcher de lui balancer un gros :
- J’adore !!! Venant du fond du cœur.
Je m’attèle même à lui lécher les couilles, qu’il a bien rasées, ainsi qu’à m’amuser à les gober toutes entières dans ma bouche.
- T’aime bien mes couilles ? Salope !!! Elles sont encore pleines !!!
Son bavardage est parfait et me fait « grave » mouiller.
C’est tout aussi excitant que le gros gode noir que je me suis foutu dans le cul. Il appuie ensuite un peu sur ma tête pour que je le prenne en gorge profonde. Pas de souci !!! J’ai l’habitude avec mon cocu et mes autres amants, et je le prends bien profondément sous le regard attendri d’Éric. Il me demande si on passe à la suite des opérations et je lui demande une petite vaginale avant de commencer la sodomie. Juste pour bien m’exciter.
Il me pénètre avec plaisir, en demandant à Éric de me caresser les seins !!! Aucun souci !!!
Nous entrons ensuite dans le vif du sujet : la sodomie.
Je m’allonge sur les genoux et j’ouvre bien mon petit cul. L’endroit a été bien godé, je sens que mes sphincters sont bien plus ouverts, bien plus détendus qu’à la normale.
Je sens que Baptiste commence à frotter son gland tout contre mon anus. Il a à peine enfoncé quelques centimètres qu’il me dit :
- hum, une belle entrée de métro !!!
Il enfonce sa bite dans mon cul !!! Je le sens me limer bien profondément.
- T’aime salope ?
- C’est bon, j’adore !!!
C’est en effet très bon, mais surtout très intense. Baptiste, habitué à ramoner du cul, y va à un rythme soutenu. Je me masturbe alors en même temps, pour détendre mes muscles et me faire du bien. Baptiste, en me regardant bien dans les yeux, recommence son petit jeu de bavardage :
- Alors, salope, ça te fait du bien de te branler et en même temps d’avoir une queue dans le cul !!!
- C’est le paradis !!! Lui répondis-je.
- Et toi le cocu, tu te branles bien en regardant ta salope !!!
Pas de réponse de la part d’Éric qui continue de se branler énergiquement. Je sens le sexe de Baptiste se contracter, le frottement de son gland jusque dans mes profondeurs.
En regardant Éric, je l’aide gentiment à pousser un peu plus loin en écartant mon cul de mes deux mains. Je n’oublie pas mes regards de petite cochonne, c’est important pour la vidéo. Nous changeons ensuite de position, Baptiste donne à Éric sa caméra deux minutes, et il me demande de venir m’empaler sur lui. Comme si je m’assois sur un trône imposant.
De cette façon, le poids de mon corps me contraint à allonger la profondeur de notre emboîtement. C’est une sensation complètement dingue, hyper intense, j’ai l’impression que tous mes os ressentent le moindre coup de sa bite. Je me caresse vivement le clito en même temps et hystérique je déclare :
- Vas-y, allez, au fond, au fond !!! Défonce-moi !!! Regarde-le, ça le fait bander ce con.
En effet, Éric, se masturbe énergiquement, excité aussi par mes paroles. Baptiste me rappelle ma condition de femme docile et obéissante au maître du moment. J’aime son regard dur et autoritaire.
- Dis donc salope, tu ne parles pas comme ça à un homme, même si c’est un pédé comme ton cocu…
- Allonge-toi, salope !!!
Je me retrouve très vite les fesses en l’air, sur ses genoux, à recevoir une fessée magistrale comme je n’en ai jamais eu. Je crie, mais je pense que personne n’est dupe. J’y prends du plaisir. J’adore même, je sais que mes fesses sont rouges, oui mais rouge de plaisir, soumise à la volonté de mon fesseur. Depuis c’est une pratique que je réclame à tous mes amants !!!
Nous sommes tous les trois très excités, électriques, et Baptiste m’ordonne de me positionner de nouveau à quatre pattes, j’obéis sans réfléchir, puis il me reprend en levrette :
- Alors, petite salope, tu aimes toujours te faire défoncer le cul ? Me dit Baptiste.
- Oh, oui…Vas-y défonce moi, fais-moi mal…
C’est vraiment la réponse bête et surtout inappropriée, car Baptiste me sodomise de nouveau, mais cette fois-ci de façon très violente, il me fait mal, très mal, toujours sous le regard amoureux d’Éric. Mais j’ai vraiment joui, je pense de voir le regard de mon petit mari cocu m’accompagner dans ma jouissance.
Je suis submergée du plaisir de cette domination, quand, tout à coup :
- Visiblement, elle aime ça la dame !!! Tout ce qu’elle veut, c’est se faire copieusement enculer par une bonne bite qui va jouir sans son cul ouvert de salope….Me dit Baptiste.
- Tu peux y aller, tires lui les cheveux, elle aime ça !!! Lui répond Éric.
C’est une sensation bizarre. Je mouille et je commence réellement à sentir un orgasme arriver, malgré le déchainement de violence, Baptiste devient incontrôlable…
Puis, soudainement, Baptiste se retire, pour enfourner son sexe dans la bouche d’Éric et répandre son nectar en ne manquant pas de l’insulter copieusement.
- Avales ça, petite fiotte, t’es vraiment qu’une lopette, une pédale, et surtout un beau cocu, il faut vraiment que tu sois malade pour me prêter ta belle femme…
- Applique-toi, tantouse !!! Lui dit-il encore en le giflant.
Tout en me regardant, comme un bon cocu docile, Éric a tout avalé.
Je dois vous avouer que je suis un peu gênée par les paroles et les gifles de Baptiste, et je suis prête à intervenir lorsqu’Éric le remercie et lui dit qu’il adore ça, et que c’est comme cela qu’il aime être pris, cela lui rappelle ses premières relations avec Denis son premier amant…
Puis quelques minutes plus tard, sous le regard de Baptiste, Éric décharge en se masturbant lui aussi submergé par le plaisir d’être humilié, bafoué, offensé et soumis et surtout cocu. En bonne « bonniche », il nettoie tout avec sa langue, satisfait et heureux.
Pour mon cher Éric, que j’adore, cocu, humilié, enculé, giflé, fessé…C’est la première fois qu’il est violenté devant moi !!! Mon cocu est ravi. Baptiste lui demande sèchement :
- Tu es content le pédé ? Je me suis bien occupé de ta pouf !!!
- J’ai adoré. Lui répond Éric.
Puis nous débriefons sur ce moment de pure folie, avec une nouvelle coupe de champagne, Baptiste veut savoir :
- Alors, ça va ?
- Ça t’a excitée la caméra ?
- Je ne t’ai pas fait trop mal au cul ?
Je lui ai dit que tout s’était bien passé, que la caméra avait été un vrai plus dans mon excitation et que je n’avais pas du tout eu mal !!!
Je me calme et je regarde Éric avec un certain malaise, je suis allée trop loin. Je prends son visage entre mes mains et je l’embrasse très tendrement, pour me faire pardonner et lui prouver que ce n’est qu’un jeu sexuel. Éric me déclare doucement à l’oreille :
- Tu sais Caroline, continue à te donner ainsi, c’est ça qui me plaît, c’est ce que je veux, t’offrir ne me suffit plus, alors Chérie, si ça te plaît, ne te gênes pas, au contraire, plus je serai cocu et humilié et plus je serai heureux avec toi, la seule femme que j’aime. Tu comprends Chérie ?
Cette phrase prononcée ce jour-là allait être déterminante pour notre couple pour de longues années.
Après une douche collective assez animée, Baptiste nous propose d’ouvrir une nouvelle bouteille de champagne pour continuer à bavarder. Mais les nombreuses coupes de cette boisson que j’affectionne particulièrement commencent à faire leurs effets, je suis bien gaie et excitée.
- Alors les amoureux, ça va, toujours partant pour la suite, pas de regrets ? Nous demande Baptiste.
- Non, répondis-je, au contraire, n’est-ce pas mon petit cocu ? Tu es impatient de proposer des choses à Baptiste avant que nous partions !!!
- Eh oui, enfin il faut voir…Balbutie Éric.
Mais naturellement Baptiste nous propose de nous revoir très rapidement, je ne suis pas opposée à cette éventualité, bien au contraire, cet homme a un pouvoir sur moi, mais bizarrement Éric est plus réticent malgré ses déclarations précédentes, il a des difficultés à assumer sa vraie nature révélée lors de cette rencontre avec Baptiste.
Je lui rappelle pour plaisanter son nouveau « grade » de cocu soumis :
- Tu aimes m’offrir, mon chéri, tu aimes être cocu, tu aimes être humilié, tu aimes être "escorné", et tes cornes maintenant doivent être bien gênantes mon petit cornard adoré !!!
Je mime sur sa tête les cornes qui poussent et nous partons tous les trois dans un grand éclat de rire.
- Non, Chérie, avoir des « cornes » signifie non seulement "être cocu", mais surtout "ne pas le savoir", alors que tout le village est au courant et en profite le cas échéant...Donc ce n’est pas mon cas !!! Enfin j’espère…Me répond Éric en rigolant.
- Je t’admire Éric, sincèrement, car pour moi, le mâle véritable ne connait rien de plus déshonorant que d'être cocu, surtout quand on la chance d’avoir une femme comme Caroline, mais je suis très heureux d’en profiter !!! C’est ton choix. Répond Baptiste.
Bien sûr Éric accepte que nous organisions d’autres rencontres.
Nous nous sommes revus cinq ou six fois, avec une escalade dans les rapports, la soumission et l’humiliation devenant de plus en plus dégradante pour Éric, et surtout très gênante pour moi. Éric ayant même accepté de se travestir pour satisfaire les désirs de Baptiste, et ce jour-là Baptiste n’était pas seul. Il nous attendait avec deux amis tout aussi violents nous entrainant après une relation bien consommée ce jour-là à dire un stop définitif.
La conclusion de cette histoire, enfin de cette journée, nous rentrons chez nous et comme Éric a prévu que la soirée n’est pas terminée », nous faisons l’amour de façon plus « conventionnelle », confirmant notre amour réciproque, toute notre tendresse et le respect l’un pour l’autre.
Petit message à un lecteur « particulier » : J’ai bien compris, Madame ou Monsieur, que vous n’aimiez pas mes récits, je ne peux pas vous en vouloir, et je peux le comprendre aisément, chacun est libre d’apprécier où pas…Mais alors, pourquoi venir sur ce site ? Et pourquoi lire mes aventures ? Pour ensuite m’envoyer un mail anonyme ? Enfin après chaque parution. Je vous rappelle que nous écrivons tous, nos aventures pour le plaisir, pour le plaisir de donner du plaisir à d’autres personnes, simplement. Tous mes récits sont réels et non fictifs, si cela peut vous effrayer un peu plus !!! Ce n’est pas un business, nous ne gagnons rien. Simplement le plaisir d’écrire. Donc, si cela peut vous faire plaisir : je vous avoue que : « Je suis la reine des salopes et une vulgaire vide-couilles ». Je reprends simplement une partie de votre correspondance, en espérant que cela vous provoque une belle excitation… Puisque vous semblez bien me connaître, j’ai des circonstances atténuantes. Car avec le nom de jeune fille que je porte…En effet je porte le même nom qu’un ex-ministre de Jacques Chirac, double champion olympique d’escrime…Vous avez reconnu ce grand sportif devenu un homme politique…
Ce nom, inconsciemment m’a peut être encouragé à ne pas être aussi sage que vous le souhaitez.
Pour terminer, et pour vous Madame où Monsieur, une citation de Georges Wolinski que j’apprécie particulièrement, surtout avec mon nom de jeune fille !!!
« Le sexe sans amour n'est pas toujours drôle... Mais c'est plus drôle que l'amour sans le sexe ».

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