Marc Et Moi (1)

Avant de connaitre le plaisir avec une femme, comme beaucoup, je me suis longtemps masturbé. Plaisir solitaire que je pratiquais souvent sous la douche. Si je préférais le faire dans l’intimité d’une cabine de douche, c’est que interne il m’était difficile de le faire discrètement dans mon lit, avec un camarade de chambre dormant à moins de deux mètres de moi. Donc, sous le jet de la douche je me paluchais, en pensant être discret. Hélas, un soir, pas mégarde, je n’avais pas tiré le verrou de la porte, et Marc, mon camarade de chambre entra alors que j’avais ma queue à la main.
Il resta un moment a ma regarder, sans bouger, puis entra, tira la verrou et me proposa de m’aider, si en retour j’en faisais autant. Il ne me laissa d'échappatoire et avant que je lui réponde s’approcha de moi, nu, sexe dressé. Il prit ma bite en main et finit ce que j’avais commencé. J’éjaculais entre ses doigts. Me laissant le temps de reprendre un peu mes esprits, il guida ma main vers sa queue, et me fit le branler. Il joui à son tour. Nous nous douchâmes et je quittais la cabine à la fois satisfais du plaisir que je venais de me voir offrir et honteux des gestes que j’avais eu.
Marc, regagna notre chambre sans un mot. Je ne voulais pas qu’un malaise ne s’installe trop entre nous alors qu’il nous restais encore six mois à partager les quelques mètres carré de notre chambre d’internat.
Je le laissais enfiler un caleçon et un tee shirt avant d’évoquer ce qui venais de se passer. Il me sourit et sans la moindre gêne me dit que tout le monde se branlait, mais que ça pouvait être plus sympa à deux. «D’ailleurs me dit-il il avait adoré ma branlette».
Je pensais que nous en resterions là, et que cet «incident» resterait unique mais, quelques semaines plus tard, alors que nous étions couché depuis un bon moment et que je dormais, il s’approcha de mon lit, glissa sa main sous ma couette et commença à me branler. Je me réveillais, il me souris et continua jusqu’à ce que j’éjacule.

Cette masturbation surprise fut une des plus belle expérience de ma toute jeune vie sexuelle. Je n’eu pas à me faire prier pour rendre la pareille à Marc, découvrant le plaisir de faire plaisir. Pendant plusieurs semaines nous nous branlâmes mutuellement avant de passer à autre chose.
Marc m’invita à passer un week-end chez lui. Ses parents m’accueillirent avec une extrême gentillesse, mais furent déçu de m’annoncer qu’ils ne seraient pas là le lendemain soir, et devraient nous laisser seul. Au coup d’œil que m’envoyas Marc je compris que cela faisait parti de ses plans.
Je dormis dans la chambre de Marc. Contrairement à ce que je pensais, et espérais un peu, nous furent sages, et chastes. Fatigués de notre semaines nous nous endormîmes tôt.
Le lendemain, après avoir travaillé un peu le matin, il me proposa de visiter le village. Il me parla de ses parents, de sa sœur qui faisait des études de droit et qu’il ne voyait que pour les vacances, de ses amis. Il évoqua aussi une amie qui la première l’avait branlé dans les bois. Je savais qu’il me parlait de cela pour chasser l’idée qu’ils était homo; Même si nous en avions parlé, et que nous considérions que nos masturbations mutuelle ne faisait pas de nous des homos, il planait sur notre pratique cette idée. A l’époque je ne pouvais pas me dire bi, et si je ne me pensais pas gay, la relation que j’avais avec Marc me plaisais, au point d’avoir l’envie inavouée d’en vouloir plus.
Le soir venu, les parents de Marc nous laissèrent donc seul après que sa mère nous a préparé un diner. Nous mangeâmes devant la télé, et une fois la pizza avalée, Marc mit un DVD. Un film porno. Devant les images crues de couples baisant, il ne nous fallut pas longtemps pour nous retrouver caleçon aux chevilles, chacun avec la bite de l’autre dans la main. Marc jouit le premier. Il essuya le sperme de mes doigts et de sa queue. «Tu as vu comme elle suce bien» me dit-il en désignant la nana a l’écran. «ça te fais pas envie ?» ajouta-t-il.
Je lui répondis que oui, alors il se mit a genou et commença a me sucer.
Déjà bien excité par sa branlette il ne me fallut que quelques secondes pour jouir dans sa bouche. Surpris tout autant que moi il recracha tout sur le sol. «La prochaine fois je ferais comme elle et j’avalerais, me dit-il en souriant»
Le film se poursuivait et très vite nous fumes tous deux à nouveau en érection. Je me doutais qu’il avait envie que je le suce comme il l’avait fait pour moi, mais un dernier verrou refusait de sauter dans ma tête. Marc commença à sa branler. Je le regardais faire, je regardais sa queue dressée sur laquelle sa main glissait. A l’écran un nana se faisait prendre par un grand black. Elle poussait des cris. Ses seins ballotaient à chaque coup de rein du black. Je croisais le regard de Marc. Ses yeux pétillaient d’envie. Il posa sa main libre sur ma nuque et me guida vers son sexe. «J’ai envie de ta bouche, dit-il dans un murmure».
Je pris sa bite entre mes lèvres, découvrant la douceur de sa peau, son gout légèrement poivré. Je ne sais pas si cette première pipe fut bien exécutée, mais un flot de sperme jaillit sur ma langue. C’était chaud, gluant, âpre. J’avalais son foutre qui me brula la gorge, mais j’étais fier de ne pas avoir craché comme lui.
Nous laissâmes le film se dérouler sous nos yeux. Les scènes de baise s’enchainaient de façon hypnotique, mais nous restâmes sage devant ce spectacle à la fois excitant et glauque.
Marc nettoya le sol, ramassa les mouchoirs en papier souillés et nous allâmes nous coucher. De peur que ses parents ne nous trouvent, je ne me glissais pas avec lui dans son lit, mais j’en mourrais d’envie.
Le dimanche s’écoula doucement, dans cette ambiance unique des dimanches, mélange d’apathie et de mélancolie, de langueur et de tristesse. L’heure du départ sonna, je dis au revoir à mes hôtes et nous reprîmes le train vers notre internat. Le soir même, dans notre chambre, alors que la nuit était bien avancée, je sentis Marc se glisser dans mon lit.
Il était nu, glissa sa main dans mon caleçon. Je bandais ferme, et lui aussi. Il rejeta la couette sur le sol, se mit au dessus de moi, en position de 69 et nous nous suçâmes. Faisant attention à ne pas faire trop de bruit pour ne pas attirer l’attention des autres et des surveillant, nous nous fîmes jouir et chacun avala avec délectation le sperme de l’autre.
Chaque nuit désormais, une fois sûr que nous ne serions pas surpris par un surveillant, un peu excité aussi par cette idée, nous nous allongions sous la même couette. Même si nous nous disions que nous allions rester sage, il ne fallait que quelques minutes pour que l’envie monte en nous et que nous nous sucions.
Chaque fois, un peu plus, d’autres envie montaient en moi, en nous, mais nous hésitions encore à franchir ce cap. La peur de basculer dans un autre monde, et surtout celle de se faire surprendre....

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