De L'Épistolaire Au Réel...&Quot;Tu M'Appartiens Désormais&Quot;
Quels bouillonnements !!!
En deux rencontres, nous avions déjà franchit bien des étapes intéressantes
Le plus beau restait à venir pourtant .
La fois suivante, javais envie dessayer daller encore un peu plus loin dans la découverte de nos limites. Explorer, partager les arcades de la soumission avec ma belle.
Elle qui ne se met que rarement en jupe ou en robe, je lui avais demandé de faire une exception et de venir en jupe ou robe et de mettre des jolis dessous.
Lorsque je la vis, je su quelle avait fait envie de me plaire et voulais également pousser mon avantage le plus possible.
Je décidais de diriger les débats et de minstaller dans la peau du maître de celui qui dicte. Mayant avoué quelle aimais que je joues à « lamant »
cest à dire au maître dans son langage, je ne lui laissais pas le temps de sinstaller dans la chambre prenant linitiative dentrée, je lembrassais à pleine bouche, heureux de retrouver son parfum et la douceur de ses lèvres. Sans avertissement, je lui agrippais les cheveux et tirais sa tête vers larrière en lui disant :
-« Aujourdhui tu mobéis. Tu te laisses faire ok ? »
-« Oui daccord ».
Sans la laisser me déshabiller, je lui enlevais ses vêtements un a un et lui caressais tendrement les seins en lembrassant, alternant quelques morsures douces de sa bouche. Je me mis à lui presser les seins puis à lui vriller les pointes
ces pointes, toujours dressées, gorgées de sang, prêtes aux baisers, aux morsures
Elle grimaça un peu puis cria
-« AÏE !»
-« TAIS TOI !, laisse moi faire ! Tu es a moi aujourdhui tu mas compris ? »
-« oui jai compris tu vas obéir ok ? »
-« Oui »
-« DIS LE !!! »
-« Je vais tobéir »
-« bien alors mets toi à genoux et défais mon jean. »
Elle sactiva sur ma ceinture, mes boutons pour sortir mon sexe, qui prenait déjà de belles proportions.
Elle voulu le prendre dans sa bouche sans attendre. Je la retins en la regardant dans les yeux :
-« Ne touches à rien laisse toi faire. »
Je lui passais le gland sur le visage puis sur les lèvres ne la laissant pas me prendre.
-« Non ne mets pas les mains, juste la langue, lèche moi ! »
Elle sorti la langue et suivi toute la longueur de ma tige jusquau gland.
Je savourais la douceur de cette caresse que je guidais doucement et me réjouissais de sa docilité. Je voulais savoir si elle me suivrait sur ce chemin
Je ne fus pas déçu.
Elle se contentait de faire ce que je lui demandais.
-« Laisse tes mains tranquille, met les dans ton dos. »
Elle sexécuta immédiatement et continua à me lécher.
-« Tu as envie de me sucer la bitte ? »
-« Oui »
-« Dis le moi, fais des phrases. »
En rougissant, elle osa répéter :
-« Jai envie de te sucer »
-« de me sucer quoi ? le doigt ? »
-« non le sexe »
-« Tu as envie de me sucer la quoi ? »
rouge de confusion elle dit doucement :
-« La bitte »
-« Bien tu veux aussi être ma soumise ? »
-« Oui »
-« FAIS DES PHRASES !!! »
-« Oui jai envie dêtre ta soumise »
-« Et ? »
-« Et de te sucer la bitte »
-« Voila qui est beaucoup mieux. »
Je pris ma bitte dans la main droite et lui pris la nuque dans lautre.
Je lattirais doucement vers cette tige impatiente de franchir lentrée de ses lèvres pulpeuses. Elle ouvrit la bouche .
-« tire la langue ! »
Elle fit ce que je demandais et je posais mon gland sur sa langue sortie. Elle referma ses lèvres sur ma queue et commença à aller et venir sur ma tige. Je menfonçais doucement dans cette bouche consentante. Soudain, jeus envie de la sentir moins volontaire. Jeus aimé la forcer un peu, bien que je naime pas du tout les viols. Je me trouvais en position de maître avec cette si belle femme agenouillée, soumise.
Jenfonçais un peu plus ma queue. Elle eut un hoquet de surprise cherchant à se retirer. Je la maintins avec mes deux mains derrière sa tête mais sans aller trop loin car javais vu quelle naimait pas prendre ma bitte au fond de la bouche près de la gorge. Je la forçais tout de même un peu et vis quelle se laissait tout de même un peu faire.
Elle parvint à sortir mon sexe de sa bouche, mais ne fit aucun commentaire et repris sa fellation essayant de ne pas aller trop loin.
Ayant longtemps profité de ses prestations buccales, je décidais quil était temps pour moi, daller visiter lintérieur douillet de son corps.
-« Mets toi en levrette je vais te prendre »
Sans un mot, elle sinstalla à quatre pattes sur le lit. Je vins derrière elle et fis courir ma bitte le long de sa raie .
-« Ouvre tes fesses avec les mains ».
Sans attendre, elle pris une fesse dans chaque main et mouvris son cul.
Jadmirais sa chatte qui suintait déjà et son petit trou plus si vierge. Elle était à ma disposition silencieuse attendant la suite. Pensant que jallais entrer dans sa chatte, elle semblait sereine.
Javais eut, dans un premier temps envie de lui prendre la chatte mais devant ce spectacle dabandon, je pris le parti de la surprendre un peu en lui prenant le cul sans le lui dire pour voir si elle allait accepter sans broncher que je dispose de son corps à ma guise.
Je fis glisser mon engin, le long de ses fesses faisant mine de vouloir pénétrer son sexe ouvert et qui palpitait doucement dans lattente de cet hommage quelle semblait tant apprécier.
Je glissais le bout de mon gland entre les petites lèvres. Elle soupira doucement. Je ressorti complètement avant de le remettre exactement à la même place.
Elle voyait que je voulais jouer de ses sens et lagacer un peu et elle se laissa aller.
Je refis le même manège plusieurs fois comme pour la mettre en confiance, tester sa patience et sa docilité.
Je lembrassais tendrement sur le dos et décidais de glisser doucement vers sa chatte ouverte et luisante de désirs puis de descendre encore vers cet illet sombre qui se serrait maintenant comme pour échapper à cette caresse si inhabituelle pour elle.
Devant cette réaction de recul, je lui claquais les fesses à plusieurs reprises, elle sursauta et cria mais ne elle restait en position. Je repris ma caresse linguale vers son trou serré et jy posais ma langue tournoyant autour de lanneau. Jouvris un peu plus les fesses déjà écartées par ses mains
quelle navait pas ôtées
et jentrais ma langue en elle. Elle soupira longuement.
-« Tu aime ?
« Jai pas lhabitude »
-« laisse toi faire »
Je repris les lubriques avancées de ma langue dans son cul et senti quelle se détendait peu à peu. Avec mes doigts, je caressais les contours de ses lèvres refusant à mes doigts laccès de son intérieur trempé qui pourtant nattendait que ça !!!
Après un long moment, je me redressais et posais mon gland sur son cul sans plus de cérémonie. Je navais pas voulu de leffet de surprise, mais de son consentement tacite et donc silencieux. Elle me laissa diriger les choses, mais je voulais quelle me donne son consentement verbal avant.
-« Tu veux que je te prenne le cul ? »
-« Oui
si tu veux. »
-« Non, tu ne mas pas compris dis moi si tu en as envie toi ! »
Elle ne répondit pas tout de suite alors je lui claquais de nouveau les fesses.
-« HE BEN, DIS MOI TU EN AS ENVIE ? »
-« Oui ! »
-« DIS LE !!! »
-« jen ai envie »
-« ENVIE DE QUOI ???? »
-«
envie que tu me prennes comme tu veux «
-« c-à-d ? par le cul ? »
-« oui »
-« ALORS DEMANDE LE MOI !!! »
-« Prend moi par le cul »
Je ne voyais pas son visage, mais je savais quelle devait être rouge de confusion.
Je décidais de la faire rougir encore un peu :
-« Tu es sure que tu en as envie ? dis le moi !!!! »
-« Oui, jen suis sure, prend moi par le cul »
Je lui re-claquais les fesses une paire de fois
-« Cest bien ma soumise ».
Je poussais doucement contre son cul qui souvrit comme la fois précédente
Lentement, sans résistance. Elle soufflait de plus en plus fort sous lintrusion de ma bitte qui avançait inexorablement jusquau fond de cet orifice quelle noffrait quà moi et pour la deuxième fois seulement.
Jimprimais un rythme dabord lent, puis de plus en plus rapide pour voir si elle allait me laisser faire comme je lentendais.
Elle se laissait faire complètement, jétais aux anges et lembrassais sur le dos, caressant ses seins ou le côté de son corps.
Je me retins de jouir voulant comme la dernière fois quelle jouisse avant moi. Je me retirais donc avant daller me nettoyer et de la contourner avant de lui présenter ma bitte à sucer
ce quelle fit immédiatement le visage détendu et avec cette excitante expression de soumission qui lui va si bien
je la trouvais extrêmement belle et désirable.
Je refis le tour pour me poster dans son dos et la prendre, cette foi-ci sans ménagement, par surprise et par la chatte.
Elle sursauta et émis un petit cri de surprise en se laissant aller à cette intromission vigoureuse et presque brutale.
-« HOOOOOOOOOOOOOOO putain mais que cest bon !!!! »
-« Tu veux que je continue ? »
-« OUIIIIIIIIIIIIIII »
-« Comme je veux ? »
-« OUIIIIIIIIII »
Je me retirais de cette chatte si douce et remontais pour de nouveau lenculer.
-« HUMMMM » fit-elle.
Je sentais quelle sabandonnait mais quelle était un peu déçu que je pris le parti de changer dorifice.
-« Dis moi que tu mappartiens ma tendre »
-«
»
-« ALLEZ DIS LE !!! »
-«
»
-« DIS QUE TU ES TOUTE A MOI
QUE TU MAPPARTIENS !!! »
-« Oui, je tappartiens »
-« Tu es toute à moi ? »
-« Oui, je suis toute à toi, je tappartiens. »
Mon cur fit un bond dans ma poitrine et je me délectais de ce moment dintense abandon.
Je lui claquais de nouveau les fesses.
-« Cest bien ma chérie, tu es à moi désormais. »
Je me retirais pour aller me laver un peu et je revenais mallonger sur le lit
.-« viens tempaler sur moi, tu las bien mérité ma douce »
Elle vint me chevaucher et se mit ma bite dans la chatte sans attendre. Je savourais cet instant dimpatience et denvie dont elle faisait preuve.
Elle pris le rythme quelle voulait pour prendre son pied comme elle en avait envie et elle se remit à miauler et vouloir me griffer.
Je lui pris les poignets.
-« Ne mors pas laisse toi aller sans me mordre ou me griffer »
Elle ne mécoutait plus, elle nétait déjà plus en mesure de se contrôler et voulait quand même me griffer et me mordre. Je ne parvins quà limiter les dégâts dans cette furie dévastatrice qui la prenait lorsque le plaisir lenvahissait
Jadore la voir dans cet état et je me délectais de ses yeux fous et cette jouissance dont nous étions les maîtres duvre.
Son plaisir séteignit tout doucement, mais je navais pas encore jouis.
Je la mis sur le dos lui mis les jambes sur mes épaules et entrepris de lui reprendre
le cul pour y jouir encore une fois.
Ma bitte bien callée dans les chairs ouvertes et consentante, sactivait pour laisser monter ce plaisir de mes jambes à mon dos et qui redescendait si vite vers mon sexe avant dexploser dans un râle rauque
extatique
amoureux
Elle maccompagnait dans mes mouvements et membrassa lorsque jeus fini de jouir en elle.
-« Tu sais que jaimerais beaucoup jouir dans ta bouche maintenant que tu mas donné ta chatte et ton cul ? »
-« Houla
je sais pas si je pourrais, je ne lai jamais fais
jai peur de pas aimer »
-« En venant aujourdhui, tu savais très bien que je jouirais dans ton cul non ? »
-« Oui, je le savais »
-«
Et tu sais très bien que la prochaine fois, je vais jouir dans ta bouche »
-« Je crois que ça va être difficile, je ny arriverais pas »
-« Tais toi, je ne suis pas en train de te demander ton avis. Je suis en train de tinformer que la prochaine fois, je jouirais dans ta bouche et tu accepteras parce que tu
??? »
-« Parce que je tappartiens ? »
-« Oui cest exactement ça, tu es à moi, tu mappartiens. »
Je savais que cette séance en appelait dautres encore plus chaudes, et qui nous entraineraient vers dautre contrées inexplorées
Je vous en dirais plus la prochaine fois
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