Leslie La07

Leslie LA07 – Laure, le journal intime - Première fois

J’étais heureuse avec mon nouveau jouet et mes boules de geisha, mais maintenant je
rêvais d’avoir des dessous, alors j’en ai parlé à ma mère et l’ai convaincu de me
trouver un job d’été pour me faire un peu d’argent. Comme elle connaissait un
directeur de centre de vacances elle lui en a parlé et c’est comme cela, qu’après mon
bac, j’ai été prise pour faire la monitrice pour le mois de juillet dans un centre en
Haute-Savoie.

Nous étions installés dans un beau chalet de montagne et le directeur avait monté des
tentes dans les alpages, non loin d’un petit lac charmant, aux eaux bleues et vertes.
Avec Sylvie et Kamal, les deux animateurs avec lesquels je travaillais nous étions en
charge d’un groupe de quinze s, les conditions étaient un peu spartiates, mais
c’était très sympa.
Le premier soir autour du feu de camp, pour fêter notre arrivée nous avons fait la
veillée, avec des chants, Kamal jouait de la guitare comme un pro et chantait très
bien. Sylvie et moi étions sous le charme. Malheureusement, il semblait être
insensible à nos charmes et aux miens en particulier.
J’occupais la même tente que Sylvie, et Kamal en avait une pour lui seul, la première
nuit, après avoir couché nos loupiots, nous nous sommes, avec Sylvie, endormies comme
des masses, et je n’ai même pas eue la force de me donner un peu de plaisir, et puis
c’était la première nuit et je venais de rencontrer Sylvie le matin même.

Deux jours se sont passés, chacun de nous prenait ses marques et ses habitudes et nous
commencions à nous habi à notre équipe de gamins, tout allait pour le mieux.
Sylvie était une vraie grosse dormeuse, dernière levée et première couchée, cela
m’arrangeait bien car dès qu’elle était endormie, je pouvais me donner un peu de
plaisir.

Le matin je pouvais faire ma toilette tranquillement et déjeunais dans le
silence.
Le troisième jour, je me suis réveillée de bonne heure, Sylvie dormait encore. J’ai
pris mes affaires de toilette et je suis allée, vers le torrent à cinq minutes du
camp, le directeur nous en avait dit que nous avions la possibilité de nous laver à
cet endroit.
Juste avant d’y arriver, j’ai aperçu un garçon nu. Je m’apprêtais à faire demi-tour,
mais je m’aperçus qu’il s’agissait de Kamal, il était entré dans le torrent jusqu’aux
genoux et s’aspergeait d’eau pour se rincer.
Il avait un corps magnifique, professeur d’EPS, il était musclé et de le voir nu dans
ce torrent lui donnait un air sauvage qui le rendait irrésistible. Il était grand et
mesurait un mètre quatre-vingt.
Sans faire de bruit, je me suis dissimulée pour le regarder finir de faire sa toilette
et j’avoue que sa verge, qui mesurait une dizaine de centimètres au repos, me rendait
curieuse, il était circoncis et je pouvais voir son gland.
J’avais déjà vu des hommes nus, mon père et certains amants de ma mère et je dois
avouer qu’il n’avait rien à leur envier, j’avoue avoir un peu mouillé…
J’ai attendu qu’il parte, puis je suis allée me laver moi-même. Je pensais faire comme
lui, mais l’eau était vraiment trop glacée et je me suis juste lavée au bord du
torrent.

Toute la journée, dès que je le voyais, je me l’imaginais tout nu comme je l’avais vu
le matin et je ressentais des frissons qui me parcouraient le corps, hélas il ne
semblait pas du tout faire attention à moi.
Alors j’ai imaginé un scénario pour le lendemain matin afin d’attirer son attention.

Très tôt, le lendemain, je me suis levée, inutile de préciser que Sylvie dormait à
poings fermés, d’ailleurs elle devait redescendre ce soir, étant de congé le
lendemain.
J’ai gravi le raidillon qui séparait le torrent de notre camp.
Je me suis assise
derrière les fourrés et j’ai observé avec attention la tente où Kamal devait encore
dormir.
Je n’ai dû attendre qu’une dizaine de minutes pour l’en voir sortir. Mon cœur s’est
mis à battre la chamade. J’ai parcouru rapidement le trajet qui me séparait du
torrent. J’ai ôté rapidement ma culotte et mon long t-shirt blanc.
Nue, j’ai commencé à mettre un pied dans l’eau, elle était glacée, mais comment
faisait-il pour y entrer ?
Je me suis finalement décidée à y entrer jusqu’au chevilles, puis jusqu’aux genoux et
rapidement, j’ai pris du gel douche et je me suis mise à me savonner.
Venant du campement, par le chemin qui redescendait vers le torrent, on ne pouvait pas
me rater.
Je me suis savonnée entièrement le corps. Mes tétons étaient tout dressés, à cause de
l’eau froide, sans doute, mais aussi à cause de l’impudeur, toute nouvelle pour moi,
de la situation dans laquelle je me retrouvais.

Normalement si Kamal devait apparaître, il devait arriver dans les prochains instants.
Je continuais, comme de rien à me laver. Pas de Kamal. Soit il avait fait demi-tour en
me voyant nue, soit il m’observait comme je l’avais fait la veille. Je pris le parti
de penser que c’était le cas. Il devait me voir nue et dans les détails comme cela
avait été le cas pour moi, j’entrepris de me rincer et j’eus le souffle coupé par le
froid de l’eau coulant sur ma tête puis sur mes seins.
Je me suis tournée pour rincer mon intimité, histoire, s’il était là, de lui montrer
mes fesses et je me suis cambrée en avant en écartant les jambes pour rincer ma vulve
en y projetant de l’eau dessus. S’il était là, Kamal devait voir ma croupe et ma vulve
offerte par derrière.

Je suis sortie de l’eau, me suis séchée, rhabillée et j’ai pris le raidillon pour
franchir la petite butte qui nous séparait du camp.
Pas de Kamal, comme il est très
délicat avec les filles, de ce que j’ai pu en voir pendant les premiers jours de
collaboration, il avait dû redescendre en me voyant nue dans le torrent.
Je commençais à douter que mes efforts pour le charmer et à peine avais-je franchi la
butte, que je le vis grimper, ses affaires de toilette sous le bras.
- Bonjour, Laure.
- Ah, bonjour, Kamal, bien dormi ?
- Oui, à toute à l’heure…
Nous avons poursuivi chacun notre chemin. J’étais heureuse car j’étais persuadée qu’il
avait dû regagner le chemin à toute vitesse quand j’étais sortie de l’eau.
Il m’avait vue nue, j’avais dû lui faire de l’effet. J’en eus confirmation tout au
long de la journée par ses regards fugaces et détournés qu’il portait sur moi.
Le directeur arriva en fin d’après et Sylvie redescendit en voiture avec lui pour
prendre son jour de congé. Il nous annonça qu’il en profiterait pour aller chercher
Camille, une nouvelle animatrice qui allait se joindre à nous pour les prochains
jours.

Nous voici maintenant tous les deux seuls, avec les s, le diner du soir achever,
j’ai organisé quelques jeux de société tandis que Kamal est allé faire la vaisselle.
La nuit avait enveloppé le campement et nous avons couchés garçons et filles dans
leurs tentes.
Enfin nous avions terminé notre journée, nous n’étions plus que tous les deux, Kamal
et moi.
La nuit nous appartenait…

Mais je redoutais que toutes initiatives de ma pourraient être repoussées par Kamal,
alors je me suis lancée en espérant secrètement que je Kamal ne serait pas insensible
à ma demande.

A suivre…

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