1/4 D'Heure Avec Karim (2)

Je revis Karim la semaine suivante. Je lui avais communiqué mon numéro et mon adresse. Un samedi matin donc, je reçus un sms de Karim me demandant s’il pouvait passer dans une heure. Je lui répondis par l’affirmative. Je me lavai, m’habillai d’un tee-shirt et d’un short et attendis fébrilement son arrivée.
Je n’eus pas longtemps à entendre. Il sonna à l’interphone et je lui ouvris. Dix secondes plus tard, il tapait à ma porte. Quand la porte s’ouvrit, je vis qu’il n’avait plus que son short et ses baskets. Il avait retiré son tee-shirt et montrait à nouveau son torse viril et puissant. Je le fis entrer. Il me dit :
-Ca fera ça de moins à enlever, tu ne crois pas ?
- Et le bas, tu n’as pas voulu le retirer ?
- Non, comme même pas. Tu m’as manqué Grégoire tu sais depuis la dernière fois à la piscine ?
- Toi aussi Karim tu m’as manqué.

Il venait de terminer son footing et quelques gouttes de sueur tombaient sur son visage et son torse.
- Par contre, j’ai pas trop le temps là j’ai un rendez –vous ; un coup vite fait là un petit quart d’heure ça te dit ?
- Qu’un quart d’heure ?
-Oui je sais ça fait un peu court mais je peux partir si tu veux me dit-il en souriant.

Pour toute réponse, je m’approchai de lui et ma bouche rencontra la sienne. Nous nous embrassâmes fougueusement. Karim me retira me tee-shirt et regarda mon corps.
-Dis donc, t’es bien foutu ! C’est vrai que dans la cabine de la piscine, j’ai surtout vu ton dos.
Il plaqua mon torse contre le sien et Il enfonça sa langue dans ma bouche. Je sentis ma queue se gonfler dans mon short. Il ne sentait même pas la transpiration alors qu’il venait de courir. Mais il dégageait un charme presque animal.
-Emmène-moi dans ta chambre, j’ai envie de ton cul !
- Déjà !
- Je te l’ai dit je suis pressé.
Je l’entrainai dans ma chambre. Nous retirâmes le reste de nos affaires et Karim me poussa sur le lit.

Je cherchai à la hâte un préservatif dans le tiroir du meuble de chevet et le lui tendis. Il grimpa sur mon lit avec ses chaussures, enfila la capote. Il me fit mettre à quatre pattes sur le lit. Je sentis sa queue raide me caresser la raie. Sa bite d'engouffra d'un seul coup, ce qui ne me déplut pas. Je poussai un petit cri de plaisir.
— J’ai envie de te prendre de manière virile. T’as envie ?
-Oh oui! Défonce - moi le cul! hurlais-je.
Plus il enfonçait sa bite et plus j’en redemandais. Les mains entre mes reins, il commençait à me défoncer avec vigueur, me tirant les cheveux, Et je criais de plaisir.
— Oh oui! Comme ça! Pistonne-moi bien !

Il se retira, me fit descendre du lit et me retourna brusquement face au mur. Je cambrai encore plus mes fesses. Je le sentais bouger derrière moi, ses mains se promenant sur mes fesses et caressant mon anus. Karim tint son pénis d’une main et il en frotta le gland contre mon trou et sans avertissement, il l'enfonça profondément en moi d'un seul coup de rein. Son membre viril me pistonna à longs coups, je criais en poussant mes fesses contre son corps viril comme si mon cul voulait l'avaler en entier. Il ne fit plus du tout attention à ce que je voulais. Lui, il ne pensait qu'à me défoncer, à nous entendre hurler de plaisir. Il me pistonna, il me lima de toutes ses forces. À chaque nouveau coup, ses testicules frappaient contre les miennes. Je me donnai sans aucune retenue, j’avais envie de sentir sa verge en moi, je lui laissais faire tout ce qu'il désirait de moi. Il m'empoigna par les hanches et il me tira brusquement contre sa queue pour que je la sente bien vibrer en moi. Je sentis venir l’orgasme, il le sut lui aussi. Il me prit la queue dans sa main et me branla. Je n’en pouvais plus, ma jouissance était devenue trop forte. Son pénis me faisait un bien fou lorsqu'il cracha son sperme tout au fond de moi en criant son plaisir et que je giclai violemment à mon tour sur le sol. Nous gémîmes tous les deux encore quelques secondes tellement notre jouissance nous avait excités. Nous nous embrassâmes tendrement.
-Bah dis donc, me dit-il, ça valait le coup de venir même pour un quart d’heure.
- Tu étais complètement déchainé, c’est tout le temps comme ça avec toi ?
- Avec les mecs qui m’excitent, oui ! Et ça peut-être comme ça à chaque fois ou être un peu plus tendre, plus câlin. Qu’est-ce que tu préfères ?
-Je crois bien que je préférerais les deux, d’abord câlin puis après beaucoup plus viril.
-Ok, on fera ça la prochaine fois.Tu m’en veux pas trop d’être passé en coup de vent ?
- Non, même si j’aurais aimé que ça dure plus longtemps.
-La prochaine fois, si tu es d’accord, je resterai plus longtemps. Aujourd’hui, je ne pouvais pas.

Nous remîmes nos affaires et sur un dernier baiser et une promesse d’un nouveau rendez-vous, Karim me quitta.