Trois Histoires D'Emilie

Trois histoire d’Emilie

Comme promis dans sa lettre Emile me raconta un peu plus son été lors de nos retrouvailles.

«J’avais demandé à Sandra de me raser la chatte comme elle. Nous nous sommes installées dans la salle de bain de ma grand-mère. Je me suis mise a poil. Sandra a pris des ciseaux pour commencer l’élagage puis étala de ma mousse à raser. Je mouillais déjà d’excitation et me massage de Sandra augmenta mon désir. Elle s’amusa a m’en mettre partout, à bien me caresser pour m’exciter à fond. Elle sorti un rasoir et commença. La lame glissait tout autour de ma chatte. Enlevant ma toison, rendant à mon sexe la douceur d’une pèche. Ayant dégagé le tour de mes lèvres, Sandra glissa un doigt entre elle me branla. J’avais encore de la mousse partout et il restait une belle touffe de poil mais mon amante préféra s’amuser un peu avec moi avant de poursuivre. Elle me masturba jusqu’à me faire jouir et satisfaite repris son oeuvre. Elle me demanda si je voulais garder quelques poils comme elle, mais je préférais qu’elle m’enlève tout, que j’ai une chatte lisse de partout. Elle donna quelques coup de rasoir supplémentaire, essuya le reste de mousse et me laissa voir le résultat. C’était tout propre, tout lisse. J’adorais. Je me caressais et ne pouvais pas retirer ma main de mon minou. Sandra se pencha et l’embrassa.
— Il est temps de l'étrenner dit-elle avant de me bouffer.
Sans mes poils je sentais la peau de Sandra sur moi, sa langue glissais avec plus de douceur. Un bonheur»

«Sandra et moi avions déjà fait l’amour et jouit chacune notre tour, quand elle sorti son gode de son sac. C’était la première fois que j’en voyais un en vrai. Elle rigola en m’agitant ce pénis rose sous le nez.
— Ca te dis d’essayer, me demanda-t-elle, c’est pas une bite mais c’est pas mal quand même.
Elle me montra. Elle s’allongea écarta les cuisses et se glissa son jouet dans la chatte. Elle le fit aller et venir en elle, le tenant à deux mains, je me caressais en la regardant se donner du plaisir avec son bout de plastique.

Elle se laissa aller et poussa un cri de plaisir.
J’étais prête, bien chaude, bien mouillée. Sandra me caressa de sa langue avant de me pénétrer de son gode. Je retrouvais le plaisir de me faire emplir même si l’objet était froid et loin de valoir un vrai sexe d’homme, entre sa langue qui me chatouillait le clito et le gode qui me baisait je ne fut pas longue à jouir.
L’objet reposa entre nous, objet de nos plaisir. Il nous servi souvent, pas à chaque mais souvent.»

«Nous avions pris l’habitude de faire l’amour chez ma grand-mère. Cet été ma mère n’était pas là, ma grand-mère était presque sourde et dormait au rez de chaussée, seul mon frère était là, mais nos chambre étaient suffisamment séparée pour que nous soyons tranquille. De plus il sortait souvent avec ses potes et ne rentrait pas tous les soirs.
Sauf cette fois là.
Sandra était sur moi, sa chatte au dessus de mon visage je la léchais pendant qu’elle me godait. Elle poussait des petits cris. Nous étions bien, quand elle s'arrêta net, sauta du lit et ouvrit la porte. Je découvrais Erwann à genou, la bite à la main.
Il voulu se relever mais s’entrava dans son short. Sandra le prit par le col et le fit asseoir sur le lit. Je m’étais glissée sous les draps. Sandra elle était restée nue et toisait mon frère tout penaud. Il avait débandé.
— Tu aimes ça mater les filles par le trou de serrure. Tu aimes ça te branler sur ta soeur.
Si elle avait continué je crois qu’Erwann aurait pleuré. J’avais honte pour lui. Sandra éclata alors de rire et vint s’asseoir à côté de mon frère, passa un bras autour de ses épaules et prit sa bite en main. Je voulu protester, mais elle me fit taire.
— Il faut finir ce qu’il a commencé, me dit-elle en le branlant.
Erwann tomba à la renverse et lança un jet de sperme vers le plafond. Sandra lui déposa un baiser sur le front, essuya sa main sur le tee-shirt de mon frère et vint me rejoindre dans le lit.
— Maintenant mon grand deux choses.
D’abord tu n’as rien vu, sinon ça ira mal pour toi. Ensuite tu te branle dans ta chambre tant que tu veux, tu peux même fantasmer sur moi, mais plus jamais tu ne viens nous espionner, la prochaine fois je ne te branle pas mais je t’écrase les couilles entre mes doigts.
Erwann sorti heureux de sa branlette. Et aussi un peu inquiet de ce que pourrait lui faire Sandra à l’avenir»

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