Travaux D'Hercule - 6 -

Eurysthée, via Coprée, ordonne au héros d’exterminer la nuée d’oiseaux qui terrorise la cité de Stymphale, voire toute l’Arcadie. Semblables à de gigantesques échassiers, les féroces volatiles possédaient d’étranges traits particuliers : leurs serres, leur bec et leurs ailes étaient faits d’airain ; quant à leurs plumes elles étaient en bronze ce qui provoquait d'infinis dégâts lorsque la multitude prenait son envol. Autrement dit, la mission ne s’apparenterait pas à une simple chasse à la perdrix.
Voilà ce qu'en dise les gazettes se l'époque.
Le 6° travail n'est pas de tout repos. Heureusement qu’Achille est muni d'un nombre incalculable de flèches. Et de plus Athéna lui remet pour ce combat un tambour en airain disent certain, d'autres affirment que ce sont des castagnette (olé)
Quoi qu'il en soit notre héros se dirige sur les lieux des crimes. Il voit bien où sont ces oiseaux de malheur. Pas moyen de traverser le marais qui les séparent avec ses eaux dures comme du métal en fusion. (Toujours à exagérer les rédacteurs de la mythologie)
Achille monte sa tente au bord du lac, près d’une jeune femme avenante.
Chic pense Achille je vais en profiter. En Grèce à ces époques plus qu’anciennes, les femmes étaient pour certaines de mœurs particulière. Il s'agit d'une copine d'Eurysthée. Écrit comme ça, ce n'est rien, mais en réalité les partisanes de ce monsieur avaient toutes des façons masculines. Si vous voyez ce que je veux dire.
Donc Achille toujours en rut quand il est avec des femmes à coté ne pense qu'à leur mettre. Il est maladroit de ce coté là, c'est pas de sa faute : personne ne le lui a appris convenablement. Pour lui une femme a de longs cheveux, un cul et son pendant par devant. Si aussi un bouche, moins agréable quand elle vous suce qu'un bon gros cul.
Donc Achille pense aussitôt à baiser. Seulement la femme en vue n’aime pas les hommes, mais pas du tout depuis que quand elle avait juste une quinzaine d'année, deux types l'ont un peu violé.

Son amour est une jeune femme fort belle, bien faites, admirablement bien faite. Elles forment ce qu'on appelait un ménage sérieux ; pas de tromperies visibles, de rares excès de toilette (comme presque toutes les femmes de l'époque. Non, je n'ai rien dit sur NOTRE époque, bande de chicaneurs ; et puis on est là pour surveiller les dépenses, non ?)
Bref il pouvait se tromper. Les filles l'ont gentiment flanqué dehors de chez elles. Il était étonné en les regardant pas la fenêtre de les voir s'embrasser, se caresser, se lécher entre les jambes, alors que lui...il bandait. Il s'est même soulagé en se branlant devant la maison, au vu et su de tous les passants. Les jets de sperme faisait même une entaille, un trou dans le crépis de la maison. On prétend qu'il est visible encore de nos jours, sans préciser où est la baraque.
Muni de son arc, ces flèches de ses castagnettes ? Achille arrive non pas à faire peur, mais grâce à sa cadence de tir, supérieure aux mitrailleuses modernes à coup de rafale de 500 coups/minutes à déglinguer les « oiseaux ». La foule du coin, débarrassée enfin fait une triomphe à notre héros.
Comme en Gaule plus tard, le tout se termine pas un banquet. Le barde de l’époque chante ses couplet style Mariano (grand chanteur de la mythologie), Achille un peu grisé se met à danser un sirtaki (déjà en vogue : c'est lui qui le met en coutume) accompagné d'une troublante femme. Elle aussi un peu, sinon beaucoup grise.
Elle tient à remercier Achille en se donnant à lui devant la foule : et un coup devant et un coup dans le cul et un coup dans la bouche et deux coups dans les mains. Ils offrent ainsi un premier live show. Les figures valent d'être par la suite nommées au grand prix du Kama-soutra, à la suite de nombreuses copies plus ou moins bien faites par des couples unis par une bite (ou plusieurs actuellement)

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