L'Eau Qui Dort - 1

Il est parfois des moments où l’on croit rêver.
Par exemple, il y a trois semaines, je suis parti avec ma compagne pour quelques jours de vacances à Budapest. Nous avions retenu un petit appartement, pour pouvoir nous faire à diner tranquillement le soir après une journée à courir les rues, à visiter les monuments, les musées.
Quand on est « en amoureux » hors de tout quotidien, les corps se rapprochent, les envies se libèrent, les occasions de faire l’amour sont plus nombreuses.
Au cours de ces quelques jours, j’ai enfin pu filmer ma compagne en train de se masturber, et c’était si beau de la voir se masser son pubis, puis passer un doigt sur son petit sillon qui s’ouvrait sous la caresse, puis de voir ce doigt s’enfoncer dans sa chatte, puis deux, puis ressortir titiller son clito et le faire sortir de son capuchon.
Ensuite, j’ai réussi à la convaincre de me laisser la prendre dans des positions inhabituelles : sur le dossier d’un gros fauteuil, les fesses en l’air et la tête dans un coussin ; accrochée à la barre du four, le cul tendu vers ma queue qui lui défonçait le minou ; sur la table de la salle à manger, après avoir glissé quelques coussins sous son dos, les jambes écartées posées sur mes épaules, une vue plongeante sur sa vulve mouillée.
Bref, tout cela était gentiment coquin, et ma compagne si souvent prude commençait à se lâcher un peu, et même à me solliciter avant même que je le fasse.
Lors d’une de nos promenades, nous avions rencontré dans un café un couple de français en vacances comme nous. Nous avions spontanément sympathisé. Ils avaient notre âge, des préoccupations rejoignant les nôtres, une vision du monde que nous partagions.
Nous les avons invités à boire un verre le soir dans notre appartement, en pensant même que nous pourrions dîner ensemble si la sympathie perdurait.
Laurent et Patricia sont arrivés vers 19h30, après être passés se reposer et se rafraîchir à leur hôtel.

Ils avaient apporté une bouteille de vin local réputé de qualité.
Nous avons commencé à boire en devisant tranquillement, puis nous avons attaqué une deuxième bouteille. L’ambiance était très détendue. Au cours de la conversation, Patricia a fait quelques allusions à son goût pour la bagatelle, l’air de rien. Elle était assise à côté de Louise, ma compagne, et ne perdait pas une occasion de lui toucher l’épaule, le bras, la cuisse. Mais rien de tendancieux, juste quelqu’un qui aime bien palper l’autre quand elle parle. Mais je voyais que Louise se mettait aussi à répondre à ces gestes, ce qui était inhabituel chez elle.
La fin de la deuxième bouteille approchant, j’invitais nos nouveaux amis à dîner et proposait à Laurent d’aller acheter quelques victuailles chez un épicier dans la rue.
Nous sommes partis, laissant les femmes qui riaient en se racontant des histoires, certaines un peu coquines.
Avec Laurent, nous avons bien ri aussi, l’alcool aidant, et le choix pour les mets du dîner a été l’occasion de quelques remarques une peu graveleuses « de mec » (du genre, courgette ? mmmmm…. Boîte de moule ? On en a déjà à la maison… ). Bref, on commençait à bien s’entendre !
Au retour de chez l’épicier j’ai ouvert sans bruit la porte de l’appartement et nous avons déposé nos achats dans la cuisine qui était juste à gauche en entrant.
Et là, avec Laurent, nous nous sommes regardés. Un sourire nous a rassemblés. Le bruit que nous entendions venir du salon ne nous trompait pas. Et moi j’avais reconnu les gémissements de Louise quand je la lèche tendrement. Nous nous sommes avancés à pas de loup, avons passé une tête dans le salon pour découvrir une scène totalement imprévue :
Les deux filles étaient totalement nues, Louise était allongée dans le canapé, sur le dos, une jambe sur le dossier et l’autre pendant vers le sol. Patricia était penchée par-dessus l’accoudoir du canapé, les pieds par terre, le cul en l’air, et la tête enfouie entre les jambes de Louise, en train de lui brouter la chatte de belle manière !
On s’est regardé avec Laurent, qui m’a chuchoté : « elle est infernale, elle n’arrête pas, j’aurais peut-être dû te prévenir ? »
- Non, la surprise est tellement belle ! Déshabillons-nous à notre tour et rejoignons-les.

- Pas tout de suite, je connais Patricia, elle n’aime pas être dérangée en train de goûter une nouvelle camarade. Déshabillons-nous mais restons à l’écart, elles ne nous ont pas entendu rentrer.
On s’est mis à poil, et nos queues étaient déjà à moitié raides. On matait ces filles, leurs corps en train de prendre du plaisir, de se découvrir. Je savais que Louise n’avait jamais baisé avec une fille, et j’étais ébahi de la voir si détendue sous les assauts de la langue de Patricia. Celle-ci d’ailleurs avait commencé à introduire un ou deux doigts dans la chatte de Louise, dont les gémissements croissaient.
- Aaaaaaaaaaah Patricia, que c’est bon l’ai-je entendu chuchoter
Laurent me retenait d’avancer. A un moment, il s’est mis devant moi, s’est approché, la bite tendue, et m’a comme défié dans un combat de bites, comme un combat d’épée.
J’étais surpris, mais on était déjà bien chauds avec tout cet alcool, et je suis entré dans son jeu.
- Celui qui touche le nombril de l’autre avec sa queue aura gagné, et donnera un gage à l’autre m’a-t-il glissé en tentant de m’atteindre.
J’ai reculé et nous avons entamé une joute incroyable, nos queues se touchant régulièrement pour parer les coups de l’autre. Mais moins expérimenté que lui, j’ai fini par perdre.
Il m’a dit : on peut rejoindre les filles, mais sans les toucher pour l’instant, et tu me dois un gage.
On s’est rapproché des filles, qui tout à leurs jeux nous ont fait un grand sourire et continué leur butinage. C’était maintenant Louise qui broutait Patricia, et je voyais qu’elle s’appliquait à lécher cette première chatte de sa vie.
Laurent s’est mis à genou devant moi, et avant que j’ai pu réagir, il a enfourné ma queue dans sa bouche et me disant juste avant : c’est ton gage.
Je n’avais jamais été sucé par un mec. Mais je n’ai pas reculé, emporté par l’ambiance érotique du moment. Et je dois dire que j’ai très vite bandé comme un âne, à voir cet homme presque inconnu me prendre lentement dans sa bouche, me suçoter le gland, en lécher les contours, puis avaler tout mon membre.
Il a commencé à me caresser les couilles en même temps, et je sentais bien que son massage avait une légère tendance à aller vers mon cul, et qu’un de ses doigts massait au passage ma rondelle vierge.
J’ai toujours pensé qu’un jour je demanderais à Louise de m’enculer, et j’avais déjà repéré sur le net quelques godes-ceinture. Mais je n’avais pas osé encore lui en parler.
Et là, j’avais un mec visiblement expérimenté, plutôt beau gosse, en train de me malaxer les burnes en me faisant une fellation très agréable.
J’ai écarté un peu mes jambes, pour lui montrer que j’étais ouvert à ses caresses, et j’ai ajouté :
- Tu as le droit de me mettre un doigt dans le cul si tu veux.
Il a levé les yeux, m’a souri, et ce sourire avec ma bite entre ses lèvres restera un souvenir unique.
Il a craché sur ses doigts, et a approché son index de mon cul. Très lentement, il m’a massé l’œillet, tournant autour du pot, puis positionnant son doigt au centre, et a commencé à me pénétrer tout doucement.
Les filles avait arrêté de se lécher, et assises dans le canapé tout en se caressant mutuellement les seins, elles nous regardaient. Louise avait les yeux exorbités : jamais elle ne m’avait vu avec un mec, et visiblement, à voir sa main droite se caresser le minou, cela la faisait mouiller.
- Steve, m’a -t-elle susurré, tu sais que tu es beau quand un mec te suce ?
- Tu sais que tu étais belle aussi quand Patricia te mangeait la chatte ?
Visiblement, nos deux amis étaient aux anges, et se félicitaient de nous avoir amenés à des jeux inhabituels.
- Steve, je te remercie de m’avoir prêté Louise, et sachant que Laurent suce à merveille, je suis sûre que tu vas bientôt jouir a dit Patricia.
- Pas si vite, tous les deux, je veux pouvoir baiser un peu aussi !
- Ne t’inquiète pas, nous savons comment réactiver une queue qui a joui, même si tu n’es plus si jeune, comme nous !
- Mmmmmmmmmmm , Laurent, tu me fais bien bander, et j’aime ton doigt dans le cul, mais puisque nous y sommes, ne voudrais-tu pas m’enculer, je crois que j’y suis prêt ce soir.

- Toi, Steve, tu vas te faire enculer ? Mais tu ne m’as jamais fait part de cette envie ! a lâché Louise
- Je n’ai jamais osé te demander de me le faire, mais puisque la queue de Laurent m’attire, je me lance !
Laurent s’est relevé, et m’a invité à me mettre à genoux.
- Non, avant, je veux te sucer moi aussi, pour te rendre bien raide, lui ai-je répondu
Et à mon tour je me suis agenouillé.
Cette queue a quelques centimètres de ma bouche, l’odeur de son gland en m’approchant, sa texture quand j’ai posé pour la première fois mes lèvres dessus, c’était merveilleux.
Alors, j’ai ouvert ma bouche, et je me suis avancé, enserrant son chibre, jusqu’au fond de ma gorge. Plaisir incroyable que cette première fois.
Sentir un membre chaud vous envahir, avoir les papilles qui découvrent le goût d’une queue, apprendre à respirer tout en allant et venant, bref, découvrir ce que c’est que de faire une fellation, c’est une belle aventure.
Et j’ai pu constater que la queue de Laurent se raidissait bien, qu’il gémissait même sous mes coups de langue autour de son gland. J’avais envie qu’il éjacule dans ma bouche, mais je voulais aussi qu’il me prenne le cul.
J’ai arrêté de le sucer, je me suis mis à quatre pattes.
- Louise, va quand même chercher un peu d’huile pour que ça glisse mieux, ai-je demandé.
- Je vais te la mettre moi-même, a dit Patricia quand Louise a apporté le flacon.
Elle m’a enduit l’anus d’huile, en profitant pour insérer un puis deux doigts dans mon cul pour le détendre.
- Vas-y Laurent, il est prêt à être enculé.
Laurent a posé son gland à l’orée de mon trou, et a testé la résistance. Voyant que cela allait bien se passer, il a l’anneau, puis a laissé son gland immobile quelques instants, pour voir si j’avais mal. Bien sûr, j’avais un peu mal, mais j’avais soudainement envie d’être envahi par sa queue.
- Vas-y doucement, mais vas-y à fond, d’un coup lui ai-je demandé.
Honnêtement, quand son chibre bien dur a écarté mes chairs, cela a pincé un peu et j’ai dû gémir. Il s’est arrêté au fond de mon cul, a attendu que je me détende.
- Tu peux y aller, c’est bon, ai-je couiné.
Et il a commencé son enculade de maître, et moi, je ne ressentais plus que du plaisir.
- Encore, défonce-moi bien, ai-je supplié, ressentant pour la première fois ce plaisir si particulier.
- Steve, tu as l’air d’une chienne en rut, a rigolé Louise
- Attends, je vais te sucer pendant qu’il t’encule m’ a dit Patricia, tu es d’accord Louise ?
- Bien sûr, et moi je vais caresser les fesses de mon homme et la queue qui s’enfonce dedans a gloussé Louise
Je ne me reconnaissais plus. Enculé d’un côté, lançant mon cul au-devant de la queue qui me pilonnait, ma queue engloutie par Patricia, j’en voulais encore et encore.
- Plus fort, plus fort, je suis ta chienne, je veux être votre salope ce soir, lime-moi, déchire mon cul, aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah oui, c’est bon.
J’ai senti monter le plaisir, et j’ai déversé ma semence dans la bouche de Patricia, qui a tout avalé.
- Regardez-moi ce cochon, il m’a inondée, il aime vraiment la sodomie.
- Encule-moi encore, Laurent, ah, ah, que c’est bon une queue dans les boyaux, mmmmmmm
Laurent s’est déchaîné, me tenant les hanches pour s’enfoncer profondément à chaque coup, puis il a fini par éjaculer lui aussi : sortant sa queue de mon trou béant, il s’est tourné vers Louise et a balancé son jus sur ses seins.
Je me suis effondré sur le sol, repus de jouissance. Louise est venue m’embrasser.
- Je n’aurais jamais imaginé cela de toi, mon amour, et je vais aujourd’hui te donner ce que je t’ai toujours refusé. Dès que nos amis t’auront remis en forme, tu pourras m’enculer à ton tour.
- Et si c’était Laurent qui te déflorait le cul pour ta première fois, comme il a fait pour moi ?
- Mmmm, je dois dire que sa queue est appétissante. Si tu veux, je vais le laisser m’enculer, ainsi, nous aurons partagé ensemble cette queue. Et nous aurons l’occasion de le faire ensemble plus tard. Patricia, il va falloir rendre dur ton gars, et le mien.
- Avec plaisir, et si tu n’y vois pas d’inconvénient, Steve m’enculera pendant que Laurent te prendra, es-tu d’accord ?
- Quelle bonne idée, a souri Louise. Je propose que nous dînions, et après on repart pour des ébats ensemble.
Epanouis, émoustillés par le programme, nous avons rejoint la cuisine pour préparer le dîner.
Je regardais Louise, je regardais cette compagne que je connaissais si bien, et si mal en même temps, je regardais cette femme qui m’avait fait découvrir que sous l’eau qui dort couve parfois un volcan, et que son passage à l’acte m’avait moi aussi entraîné dans son débordement de lave sensuelle. Je rêvais.
Et je me demandais ou cela s’arrêterait maintenant….
A suivre

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