Travaux D'Hercule - 7 -

Minos, le roi de la Crète, avait promis à Poséidon qu'il sacrifierait ce que le dieu de la mer ferait jaillir des flots ; plus vite qu'il ne faut pour le dire la divinité au trident fît émerger des eaux un merveilleux taureau noir. Emerveillé par l'apparition du splendide bovidé, le souverain de l'île ne pût résister à la tentation de s'en emparer et il ordonna à ses serviteurs d'emmener l'énorme herbivore jusqu'à ses propres établi.
Voilà le début de l’histoire du 7° travail de… devinez, bande de naze : d’Hercule bien sur ! Bien content de se débarrasser de lui L’Elysée charge Hercule d’aller dégager ce taureau (olé). Muni de son arc, ses flèches (non pas de castagnette cette fois) Il le trouve crachant sa fureur. Il arrive à le d’un seul coup au passage, derrière la tête, il le charge sur ses épaules pour le jeter à Poséidon. Qui, colère fait une tempête. Petite tempête quand même
Pas grave se dit hercule, ça lui passera vite, alors que je vois une belle donzelle qui se dore la pilule, toute nue, offerte aux rayons du soleil. La malheureuse, elle n’en connait pas les dangers : coup de soleil, cancer de la peau (pas encore découvert, elle a des excuses), lui non plus. Mais elle est nue, devant lui grand amateur de chair fraiche. Cette fois il veut être très, très poli :
-Bonjour, mademoiselle. Vous êtes mignonne. A Olympe nous n’en avons pas de si belle, de si désirable de si baisable, de si…..
Une beigne le fait arrêter sans qu’il comprenne trop pourquoi. La prochaine fois il sera moins direct : une main au cul et roulez jeunesse.
Mais il est lancé avec cette mortelle, il continue à la désirer. Il fait lever sa tunique en bandant.
Il y a un léger décalage entre ce qu’il voit et la réalité : il s’agit d’Aphrodite, la déesse de l’amour physique.
D’accord elle aime baiser, mais pas avec des rustauds comme ce zèbre qui voudrait la chauffer avec ses réflexions à la con. Elle le laisse approcher, elle saisit la grosse queue d’Hercule.

Lui se laisse caresser la queue. La main est la plus agile pour ce jeu. Elle amène Hercule à deux doigts de l’éjaculation et au moment pile, elle le projette en l’air à dix pas.
Hercule un peu sonné regarde la déesse qu’il ne reconnait toujours pas s’évanouir dans une fumée rose.
Il ne lui reste, comme souvent qu’à se masturber. Il le fait en levant sa tunique, sa main autour de la pine. Il jouit enfin : son sperme est devenu rouge, il brule les herbes au sol.
Hercule reste sur sa faim : une branlette ne vaut pas un con. Il rêve qu’il baise une naïade, pour ça il faudrait qu’il soit proche de l’eau. Il y était au début de son travail. Il y retourne hèle les belles naïades. Une seule vient le voir, elle n’est pas belle de visage, elle louche, elle a les seins qui tombent, les fesses en goutte d’eau. Son pied bot se voir de loin. Hercule a envie, que dis-je besoin de tirer un coup. Pour lui c’est comme boire : qu’importe le flacon pourvu qu’on ait l’ivresse, pourvu qu’on ait l’amour qu’importe la maitresse.
Ils sont allongés mollement sur le sable fin de la plage. Elle est amoureuse : c’est sa première fois. Elle ne se donne pas, elle s’offre. Mais quand même la grosseur de la bite d’Hercule lui pose un problème. Pour sa première fois elle préfèrerait un modèle courant, standard.
Elle n’a pas le choix. Il l’écrase de son corps d’obèse. Sa queue bande sous son ventre. Il la prend dans sa main, la pose approximativement à l’emplacement. Heureusement que la Naïade le retient, le temps de la placer là où il faut. Il entre sans tambour ni trompette au fond, contre la matrice. La femelle prend son pied.
Il rentre chez lui après avoir tirer enfin un coup.

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