La Première Journée De Soumission De Marie

-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --

Monsieur Henri repose alors le téléphone. Il att les mains de Marie et lui mets des menottes attachées dans le dos. Il a enlevé son préservatif :
- A genoux ! Suces ! lui dit-il en attrapant fermement ses cheveux. Il a un peu dégonflé mais il reprend vite de la vigueur. Longuement il va et vient dans la bouche de Marie en lui parlant :
- Tu as passé plusieurs étapes importantes du début de ton dressage. Il y en aura d’autres mais tu m’appartiens déjà.... Et tu m'appartiendra de plus en plus … Il faut que tu le comprennes bien. Alors l'as tu bien compris ?
Monsieur Henri s'est retiré de la bouche de Marie mais celle-ci qui reprend son soufle ne réponds pas immédiatement.
Monsieur Henri qui la tient toujours fermement par la masse de ces beaux cheveux lui tire brutalement la tête en arrière. As tu compris ? Dit il en la giflan. A nouveau Marie ne répond pas, elle commence à prendre peur en même temps qu'elle est excitée par la situation. Enfin excitée, n'est pas tout à fait le terme. Elle sent qu'elle vit quelque chose de hors normes. Il lui semble que le temps ralentis. Elle a une boule dans le ventre.
Monsieur Henri qui n'a toujours pas de réponse la gilfle maintenant méthodiquement.
- JE VEUX UNE REPONSE !
Marie qui a tenté de se débattre et maintenant tombée en arrière et son maître est installé sur son torse et continue à la gifler.
Tout à la fois pour faire cesser les gifles et parce qu'à nouveau elle vient de rendre un peu plus les armes : oui, oui j'ai compris ! Je veux être docile ! Je vais être obéîssante !
Bien maintenant je veux le fond de ta bouche dit Monsieur Henri en la relevant par les cheveux ce qui fait gémir Marie et lui fait venir les larmes aux yeux.
Monsieur Henri alterne les vas et vient rapides et les arrêts profonds. Marie a alors l’impression qu’elle va et se débat un peu. Monsieur Henri s’arrête, sort sa queue et la gifle à nouveau.


- Je veux aller au fond de ta bouche !
- Oui Maître… dit Marie avec les yeux pleins de larmes.
Enfin il accélère, Marie a du mal à suivre, à ne pas le griffer avec ses dents et à ne pas s’. Elle a mal à la machoire. Puis brutalement il s’arrête et s’enfonce au fond de sa bouche. Marie sent que la queue gonfle encore, elle essaye de se reculer un peu. Elle aimerait que le sperme parte sur ses seins ou sur sa bouche mais Monsieur Henri ne la laisse pas faire.
- Restes là, espèce de pute ! Et brutalement un flot de foutre lui envahit la bouche. Pour ne pas , elle est obligée d’en avaler pendant qu’une partie s’écoule sur le bord de ses lèvres. Monsieur Henri reprend ses vas et vient alors que son sexe dégonfle mais il va encore loin. Marie a les yeux qui pleurent en même temps qu’elle est extrêmement humiliée et excitée. Monsieur Henri a attrappé son appareil photo et photographie en gros plan son visage barbouillé de foutre. Il n'oublie de poser son sexe pour faire également des photos sans équivoque sur l'origine des trainées de sperme qui brillent sur son visage.

Puis il s’effondre dans le canapé tout en l’attirant vers lui : « nettoies ma bite putain ! ». Après quelques minutes quand Monsieur Henri s’estime satisfait du nettoyage, il décide d’aller prendre une douche avec sa soumise mais il refuse de lui enlever son plug.

Revenus au salon, Marie toujours nue, il l'installe face au canapé debout sur se genoux. Assis face à elle, il lui répéte à nouveau ce qu'il veut d'elle : une soumission totale. Exigeant qu'elle écarte bien ses fesses, il prend à nouveau des photos d'elle en lui expliquant qu'elle va prendre l'habitude de tenir des positions de docilité. Des positions qui sont sans doute humiliantes … ce qui est exactement l'objectif. Marie ne dit pas grand-chose à part detemps en temps : Oui maître, Oui monsieur Henri avec une petite voix et les yeux baissés. Elle a conscience que le jeu va beaucoup plus loin que ce qu'elle avait imaginé mais n'oses pas le faire cesser … Elle ne sais d'ailleurs même pas comment faire.
.. Elle est nue. Loin de chez elle. Son mari est repartit. Et toutes ses photos que son Maître a prises !
Pendant une heure, ils restent ainsi exposée dans le salon, changeant de temps à autres de position selon les caprices de Monsieur Henri. Il explique ce qu’il cherche, non ce qu'il veut dans cette relation. Se reprenant il lui affirme d'ailleurs : je ne cherche plus puisque je t'ai trouvé...

Ils mangent rapidement un déjeuner. L’heure suivante passe ainsi rapidement à nouveau de la même manière que la précédente : positions et photos. Marie écartant sa chatte. Enfilant un godmiché les jambes bien écartée enfin que l'on voit bien le plug qui est toujours dans son anus et le god qu'elle fait allers et venir dans sa chatte bien élargie par la baise du matin. Monsieur Henri prend soin de prendre des photos où le visage de Marie est toujours visible afin qu'il ne puisse pas y avoir de doute sur l'identité de la salope qui s'expose.

Le coup de fil de Michel n’apporte pas grand-chose de nouveau. A la fin du coup de fil, Monsieur Henri indique à Michel qu’ils vont sortir et donc qu’il rappellerait seulement à 19h 30. Cette nouvelle fait évidemment blanchir Marie d’inquiétude. Elle est en effet toujours totalement nue …

Une fois le téléphone raccroché :
- Maître puis je demander quelque chose ?
- Tu peux
- je ne vais pas sortir nue ?!
- tu feras ce que je te dirai !! et à l’avenir je ne veux plus ce genre de questions.
- Pour cette fois cela passera … Viens ! Puis se dirigeant vers une armoire, il en sort un imper. « tu vas mettre ça, il ne fait pas très froid».
Une fois dans la voiture, Marie doit s’asseoir en ayant relevé l’imperméable ce qui restait tout de même relativement discret. Arrivé à un parc, il la fait descendre et la promène en la tenant par le cou comme une chose ou un animal qui lui appartient. Marie qu marche les yeux baissés, essayes désesperement de faire de petits pas, affolée qu'un coup de vent révéle la tenue dans laquelle elle est.
A chaque fois qu'elle croise un promeneur elle devient rouge comme une pivoine. Monsieur Henri l'a prise pas le bras et a exigé qu'elle pose ses 2 mains sur son bras. Elle ne peut plus tenir discretement les pans de son imper. Et évidement alors qu'ils croisent un jogueur un coup de vent souléve l'imper de Marie. Le jogueur surpris et irrésistiblement attiré par la chatte qu'il vient d'entrevoir les croise et continues à courir en se retournant. Il manque d'ailleurs tomber et ils l'entendent jurer alors qu'ils s'éloignent. As t'il dit, la salope ?! Marie ne sait pas mais elle est à nouveau très humiliée et elle commence de plus à grelotter. Mais on maître décide alors qu’il est temps de rentrer.

Merci pour tous vos commentaires : continuez à réagir à mon histoire !! Marie a beaucoup de chose à découvrir sur elle même et sur les pratiques de son Maître ...

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