Fantasme 4

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

CHAPITRE 4 : Claire une petite chienne fête Noël
Les vacances de Noël sont là, je serai bientôt à la maison pour 2 semaines. Je descends du train, je monte à l’arrière de la voiture, j’embrasse mon beau-père, maman est restée à la maison pour les derniers préparatifs, comme d’habitude je me mets nue. J’enfile mes bottines, mes genouillères. Par acquis de conscience, je demande, « Vous n’avez toujours pas trouvé de petit plug anal avec une queue ? » Il me dit « cela fait partie de tes cadeaux de Noël. » J’exulte, je ne me suis jamais fait enculer avec plus gros qu’un doigt, j’attends un homme qui me plait vraiment pour lui offrir mon cul. Alors je vais avoir vraiment l’air d’une chienne.
Claude voit que je suis prête à m’exhiber. Il ouvre la malle je sors montrer mon anatomie à la vingtaine de personnes encore sur le parking. Au moment de monter dans la malle de la voiture, il y a plein d’objets qui gênent. Mon père les passe en urgence sur le siège arrière. Les réflexions deviennent acerbes, les gens sont furieux que je me balade à poil sous leur nez, et celui de leurs s. Je pousse mon père et m’installe dans la malle sans attendre, j’ai peur. J’hésite, puis sur une réflexion agressive d’une mégère, je relève les jambes, les écarte au maximum. Mon père referme la porte et se précipite au volant. Certaines personnes menaçantes se sont rapprochées du haillon. Elles m’insultent en regardant mon intimité exposée. J’ai peur de leur violence, j’aurai pu être agressée. Je m’en veux de n’avoir pas vérifiée si ma place était prête. Je ne pense pas que je reprendrai un tel risque. J’ai vraiment eu peur.
Ma mère est à la maison à préparer Noël et la venue de mon oncle, ma tante, de mes 3 cousins et cousines. Je demande à mon père depuis la malle « tu croix qu’on a un peu de temps ? Je ferai bien un petit pipi» Mon père me dit, on peut essayer de trouver un endroit.

Je lui réponds « arrête-toi sur l’aire de repos, même s’il y a des routiers qui me matent le cul, ils ne nous emmerderont pas. » Mon père n’est pas rassuré. Il se gare dans coin. Je sors, après avoir inspecté les lieux. Je m’accroupis pour uriner. Je suis bien visible des voitures autour des toilettes et de plusieurs gros camions. Je m’active mais le froid ambiant me gêne. L’urine n’arrive pas. J’aperçois quelques voyeurs du coin de l’œil, je veux bien qu’ils me matent. Enfin, je me vide sur le goudron. Au moment de me relever, je vois à quelques centimètres de ma bouche, le sexe d’un routier balaise, les mains sur les hanches qui me regarde d’un regard amical. Sans un mot, je jette un œil sur mon beau-père pas rassuré, je souris, j’ouvre la bouche et commence une fellation. La demi-heure suivante, je vais sucer les 3 routiers, et 2 représentants de commerce qui s’étaient arrêtés pour pisser et qui ont profité de l’aubaine. A part un qui a voulu jouir sur mon visage, j’ai tout avalé. J’ai 2 giclées sur la figure et une dans le cou et la dernière sur un sein. Je me relève, remercie mes étalons pour leur semence et me dirige vers la voiture, me couche dans la malle en faisant bien apparaitre mes jambes à la fenêtre du haillon. C’est marrant, après cette bonne pipe, ils me font comme une haie d’honneur. Claude démarre, passe lentement entre nos spectateurs, et repars vers la maison. Il a oublié d’aller pisser. Quand je lui fais remarquer, il me dit qu’il ira à la maison. On sort de l’autoroute, il y a plein de virages au début, dans la position que j’ai, la quantité de sperme que j’ai avalé me donne envie de vomir. Je lui demande de s’arrêter. Le temps qu’il cherche un chemin, je me vomis dessus. Je reçois le dégueulis des seins jusqu’à mi-cuisse, la vulve recouverte d’un liquide infâme presque intégralement composé du sperme des 5 bites que j’ai sucées. Je pue. Je dis « trop tard, dépêche-toi de renter, il faut que je prenne une douche. » Je baigne pendant 15 minutes dans ma gerbe, je la sens couler dans mon dos et entre mes fesses.
J’en ai plein les cheveux dans mon cou. Ma mère nous attend devant la maison, elle se précipite pour m’embrasser, mais recule en me voyant écœurée par mon apparence et mon odeur. Elle me dit :
- « Viens ici avant qu’on te voit dans cet état »
Je m’approche inquiète. Elle a pris le tuyau d’arrosage, et me nettoie consciencieusement au jet glacé. Le souffle coupé, je la laisse faire, je finis par me mettre à 4 pattes pour recevoir l’eau : mes jambes ne me soutiennent plus. Je tourne pour qu’elle n’oublie rien, je sens le jet pénétrer ma fente, je baisse les fesses sous la douleur, puis les remonte pour la laisser finir. L’eau coupée, je rouvre les yeux, Jérémy, sa famille et un autre voisin sont en train de me regarder me faire laver en public comme un animal, comme une chienne sale. Je mets plusieurs minutes à reprendre mon souffle, je suis frigorifiée. Je n’ose pas jeter un autre regard vers mes spectateurs. Ma mère me dit de rentrer par derrière pour me sécher. Je m’éloigne à 4 pattes pour ne pas glisser, puis debout en trottinant, sans cacher la moindre parcelle de mon corps. Le père de Jérémy fait une réflexion sur les chiennes males éduquées qui ne savent pas se tenir. J’entends, heureuse, Jérémy remettre son père à sa place en lui faisant remarquer la grossièreté de ses propos, surtout qu’il ira le premier tout à l’heure à se faire dégorger le poireau par la même petite chienne mal éduquée. Le père est cloué sur place et regarde son fils partir furieux. Il veut faire le beau par une nouvelle réflexion, mais quand il voit les regards des autres, il préfère retourner chez lui en silence. Il ne viendra peut-être pas se faire sucer aujourd’hui.
Je rentre à la maison, et saute dans les bras de ma mère. Elle a une serviette à la main et m’essuie partout, elle me pousse devant la cheminée. Je m’excuse en lui expliquant que la position, jambes en l’air, et brinquebalée dans la malle, 5 fellations m’ont fait vomir. Elle me demande qui j’ai sucés ? Et quand je lui explique l’aire de service, elle nous engueule, comme si nous ne pouvions pas attendre.
Elle me demande alors de revoir mes priorités au niveau de la fellation et de ralentir, de me mettre un quota afin de diminuer les risques d’agression, et rajoute, « penses au sida ! » je crois qu’elle a raison. Elle dit alors,
- « Tout est pratiquement terminé pour ce soir, il reste à mettre la table et à s’habiller pour le réveillon… (après une hésitation, inquiète) et toi Claire, tu t’habilleras ou tu restes comme ça ? » je la rassure
- « Je serai bien habillée, tout fait présentable. Je me suis même acheté un string au cas où tonton et ses fils auraient toujours l’habitude de regarder sous ma jupe » je la vois aux anges.
Nous finissons la préparation et filons nous habiller pour la soirée. Vers 19h, arrivent les cousins, ce n’est qu’embrassades, et câlins. Le repas est exquis, bien arrosé : papa a choisis les vins, et j’ai eu l’autorisation d’en gouter maintenant que je suis majeur. Au dessert, je suis un peu pompette mais je me tiens correctement ; Je fais tomber ma serviette, arrivée à genou devant la table, je me dirige vers les jambes du premier mâle à être assis. Ma mère m’att par le bras, en disant « on arrête le vin ma belle ça suffit tu as déjà eu ta dose » Je regarde ma mère en rigolant bêtement, je me demande si elle parle du vin ou de l’aire de service … Voyant ma mère rougir en me regardant, je paris que ce n’est pas le vin. Il faudra que je lui demande demain quand nous serons seules. Je pars me coucher en m’excusant. Je me déshabille, et me glisse entre les draps. La tête posée sur l’oreiller, je m’endors. En bas la fête continue une bonne heure, et tout le monde au lit vers minuit.
Vers 2h30 du matin je me réveille, pipi. Il fait trop froid, je vais aux toilettes, sans m’habiller. Mon besoin satisfait, je me tamponne le minou pour bien essuyer les traces d’urine. L’alcool aidant, j’ai la bouche pâteuse. C’est désagréable. Je descends à la cuisine boire un peu d’eau. Par la fenêtre je vois qu’il y a encore un peu d’animation chez certains voisins.
Au pied de l’escalier, je prends à gauche vers la buanderie. J’ouvre l’armoire, sors mes bottines, mes genouillères, ma ceinture de chasteté transparente en latex. Habillée, enfin presque, j’ouvre discrètement la porte de derrière. L’atmosphère est très fraiche, 3 ou 4 degrés, pas plus. J’hésite, l’alcool continuant à me désinhiber, je me mets à 4 pattes et marche au milieu de la rue vers les lumières. J’arrive au niveau de la maison de Jérémy, je marche sans m’arrêter, le cul cambré, vers la maison éclairée au fond. J’entends « Alors petite salope tu as encore faim ? Tu viens chercher une ration de mon jus ? » Je tourne la tête vers le son et me dirige vers lui. Le père de Jérémy est là, il a ouvert la porte et me fait signe d’entrer. Je rentre, toujours à 4 pattes exhibant ma chatte et mon cul, les tétons pendants, j’entre dans la salle à manger des parents de Jérémy. Il y a là 7 personnes qui font la fête, éberlués de me voir dans cette tenue. Le père de Jérémy entre en vérifiant qu’il y a personne dehors qui m’aurait vu entrer, et devant tout le monde, baisse son pantalon, son slip, m’att par les hanches et me fait comprendre qu’il préfèrerait me sauter. Il a les mains sur la culotte de chasteté : Elle est confectionnée sur mesures avec un genre de latex transparent très résistant. J’ai acheté cela à Paris dans un sexshop de luxe, une fortune. Elle ne cache rien de mon anatomie, mais c’est inaccessible. La matière est découpée au laser et assemblée par thermo collage. On dirait une deuxième peau.
Le père de Jérémy gueule « qu’est-ce que c’est que ce truc ? » il réalise que c’est une ceinture de chasteté, il regarde les cadenas incrédule, et me traite de salope, etc … Il a raison, je suis une salope et fier de l’être. Tout le monde me mate, Jérémy s’approche et veut me relever. Je résiste, Il att la vieille laisse de son chien, l’attache à mon collier, et devant les regards ahuris de sa famille, je le suis docilement. Il me ramène vers ma maison en silence. Je lui dis doucement, par derrière Jérémy, pas par là. Il m’emmène à la porte arrière. Je me retourne vers lui, je le regarde et commence à ouvrir le pantalon de Jérémy. Il résiste, j’insiste, je m’accroche comme je peux. Je tiens enfin son sexe. Je le glisse dans ma bouche, Il arrête de se défendre, je ressors le membre de ma bouche pour dire «Tu as sauvé mon p’tit cul aujourd’hui, il ne craignait rien, mais tu l’as bien mérité » Je replonge et lui fais une fellation pleine de douceur. Il aurait bien voulu la faire durer, mais il finit par éjaculer. Je me régale de sa semence. Je me relève en me tenant à lui, la bouche à peu près propre, je l’embrasse à pleine bouche. Pas gêné par l’odeur de sperme de ma bouche, il répond et m’enfourne sa langue. Le baiser terminé, je rentre dans la maison, et le laisse sur le pas de la porte. La lumière s’allume, mon oncle est là regardant éberlué mon corps nue exposé. Il me dit
- « Les rumeurs avaient raison alors, tu es une pute qui se fait tringler par le premier venu. Tes parents sont au courant ? » L’insulte me dégrise et me réveille immédiatement.
- « Qui t’as dit ces conneries ? »
- « Luca, il a dit à Yann (mon cousin) qu’il t’avait plaqué parce tu baisais à droite à gauche »
- « Le porc, ce n’est pas tout à fait exacte, vois-tu. La réalité, c’est qu’il m’a bien plaqué, mais parce que je suis encore vierge et que je n’ai pas accepté qu’il me dépucelle. On a beaucoup joué tous les 2, il m’a fait découvrir l’exhibitionnisme, mais personne ne m’a jamais baisée. Pour protéger ma virginité quand je m’exhibe, je me suis acheté une culotte de chasteté, impossible de me baiser, la clef est dans la table de nuit de maman. Ils sont bien au courant et m’aident pour essayer que j’arrête. Je vais être obligée de la garder cette nuit et elle me l’enlèvera demain. Elle va donc savoir que je suis sortie à poil cette nuit sans la prévenir. Je serai puni : on a mis cette règle en place d’un commun accord. »
- « C’est quoi la punition ? »
- « J’ai acheté un martinet dans un sexshop. Comme en plus le mec aurait aimé de me mettre sa bite dans la chatte et que je vais leur dire, ce sera la plus grosse punition : 30 coups de martinet sur les fesses, 30 sur les seins, et 30 sur le sexe. Je vais déguster. Je vais avoir du mal à marcher et à m’assoir pendant 2 jours. Par contre le père de Jérémy, régime sec, Claude va y veiller. Ça c’est bien. Je le déteste. C’est con, Jérémy est un super ami, il m’aide beaucoup. Tonton, s’il te plait, tu pourrais garder tout ça pour toi, maman a très honte de moi, elle préfèrerai que personne ne le sache ?»
- « T’inquiètes, je dirai rien, c’est ma sœur, je ne vais pas la faire pleurer. Vas te coucher maintenant. A demain »
Le lendemain, tout le monde est debout à 8h pour le p’tit déj, puis ouverture des cadeaux. Quand j’arrive à l’un de mes cadeaux, maman me dit « c’est un cadeau privé, tu l’ouvriras dans ta chambre » Je comprends de suite, et rougis un grand coup.
Mes cousins repartent chez eux en fin de matinée, et je vais alors voir ma mère pour lui parler de cette nuit. Elle rougit, mécontente. « Alors Tonton est au courant ? » Je réponds en baissant les yeux « oui mais il a compris et a promis de ne pas en parler à quiconque, même à tatie » Ma mère est soulagée. Elle se tourne vers moi « alors tu as encore ta ceinture de chasteté ? Tu n’as même pas pris une douche complète ce matin, t’es vraiment sale, vas te laver le cul et la chatte avant d’utiliser ton cadeau » Elle part vers la cuisine, je vois ses épaules bouger, papa sourit, elle est en train de rire. Je monte vers la douche heureuse. Je l’attends pour qu’elle déverrouille la ceinture.
Je prends ma douche, et une fois sèche, j’ouvre mon cadeau. Il est superbe, c’est un plug anal en acier, lourd pour sa taille, il est très fin 1.5 cm les parties larges, 3 boules successives, et se termine par une queue en vrai crin de cheval. Le lubrifiant est fourni avec. La bouteille est petite il faudra que j’en rachète. Mes parents arrivent dans ma chambre pour voir s’il me plait, à mon visage épanoui, ils savent. Je demande rougissante
- « Vous pouvez m’aider à le mettre pour la première fois ? » Ma mère laisse mon beau-père faire
- « Allez Claude, rempli le cul de cette chienne » Il me le met, le retire puis le remet. C’est bon. J’ai l’impression d’être remplie. C’est très agréable.
- « On va l’essayer dehors ? »
Je remets mes genouillères, bottines, et collier, et je dis « je suis prête ». Ma mère dit « Ta ceinture ? Tu ne peux pas la mettre avec la queue ? » Quand je lui réponds Non c’est l’une ou l’autre, elle fronce le sourcil. On descend, je me dirige vers l’arrière, Maman me dit « on passe par devant, attends nous, je prends une bouteille, on est invité chez Jean. Tu vas faire sensation. Fais attention tu n’as pas ta ceinture. Si un mec ou un chien t’embêtent, tu le dis immédiatement ; » J’ai effectivement fait sensation, mais personne n’a eu de geste déplacé, aucune demande de fellation.
Tout le reste de la semaine on a été invité chez les uns ou les autres. Mes parents ont toujours amené leur chienne, ça n’a pas posé de problème, je me suis exhibée, quelques messieurs ont retrouvé une érection comme ils n’en avaient pas connue depuis bien longtemps, mais je n’ai pas sucé âme qui vive. J’en suis très heureuse.
(à suivre)

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