Les Mésaventures D'Un Hétéro (7) : Chez Le Docteur.

Il y a des médecins qui ne sont pas des fainéants : je suis dans la salle d'attente du gastro-entérologue et il est plus de sept heures du soir. Apparemment je suis le dernier, il n'y a même plus de secrétaire. Sept heures et quart, l'avant dernier patient est reconduit et c'est mon tour. Je rentre dans le cabinet et expose mon cas (rien de grave, simplement une digestion un peu lente et des hypoglycémies inexplicables de temps en temps). Pendant que je parle, le médecin m'observe d'un air attentif. Une cinquantaine d'années, barbu, un peu massif, un air compétent et assuré, un regard indéchiffrable. Au bout d'un certain temps, nous en avons fini avec les questions et les réponses. Il se lève et me demande de me déshabiller. Je suis un peu surpris alors je demande des précisions.
- "Le haut ?"
- "Non, le bas aussi, vous gardez juste votre slip".
Je m'exécute et commence à me déshabiller. C'est assez courant de se mettre en slip quand on est chez le médecin, pourtant de drôles d'idées me traversent la tête : mon vécu des dernières semaines me revient en mémoire et je ne peux m'empêcher d'y penser : à chaque fois que je me suis retrouvé en petite tenue devant un homme ça s'est terminé avec une bite dans le cul ! Pour un hétéro, c'est plutôt déstabilisant, quand même ! Mon copain Sébastien m'a initié, puis j'ai eu droit à deux nouvelles expériences avec des quasi-inconnus. Bon, maintenant, c'est fini, j'ai coupé les ponts avec tout ce petit monde et je veux retrouver une vie normale mais ... Mais voilà, ça me fait tout drôle de me trouver en slip devant ce type qui va m'examiner. Je sais, je suis con, mais c'est comme ça. J'ai les nerfs à fleur de peau et j'ai hâte d'en finir.
Il me fait assoir sur la table d'examen, utilise son stéthoscope (brrr ... c'est froid !), me fait allonger, prend mon pouls, reste un long moment à regarder sa montre. Je frissonne, pourtant il ne fait pas froid. Il me regarde, un peu surpris.

Ensuite il commence à m'ausculter, il tâte ma gorge, me palpe par ci par là. À chaque fois je sursaute un peu.
- "Détendez-vous, laissez-vous aller ..."
Facile à dire ! Je ferme les yeux, j'essaie de me relaxer. Bon, ça va, j'arrive à me détendre. Je suis bien, mais il recommence à me toucher, à prendre ma tension, puis il palpe mon ventre, appuie dessus. La vache ! Il a les mains douces et chaudes, et je suis tellement détendu que je crains le pire ... Oh, non, c'est pas vrai, c'est reparti : je sens un frémissement dans mon bas-ventre. Il faut dire que ça fait bien un mois que personne ne m'a touché, et la dernière fois, c'étaient deux hommes qui ont réussi à m’envoyer au septième ciel en me faisant subir la totale. Du coup, mon corps ne se souvient que de ça et j'ai beau essayer de penser à ma feuille d'impôts ou à la tête de mon arrière-grand-mère, rien à faire : je commence à bander. Vivement que cet examen se termine parce que sinon je vais avoir la honte de ma vie. Déjà une bosse significative se forme et je crois bien qu'il l'a vue. Il revient vers mon ventre, recommence à le palper. J'ai envie de partir en courant parce que les choses empirent : ma queue tend mon slip et la bosse qui se forme est impossible à ignorer maintenant. Je ne sais pas si le médecin le fait exprès ou s'il est seulement très professionnel, mais il n'a pas l'air pressé de finir cet examen. En tout cas, il ne fait pas de remarque et c'est heureux parce qu'en ce moment, j'aimerais disparaitre sous terre.
Il se lève enfin, et je m’attends à ce qu’il me dise de me rhabiller, mais je suis loin du compte.
- « Installez-vous, je vais vous faire un toucher rectal. »
- « Heu … Comment ça ? »
- « Oui, retirez votre slip, mettez-vous ici, … Sur les genoux, penché en avant, les mains derrière la tête, appuyé sur les coudes … »
J’essaie de visualiser le truc : je vais me retrouver à poil et à quatre pattes, et même pire encore puisque j’aurai la tête entre mes mains et reposant contre la table, avec mon cul dressé en l’air.
On peut difficilement imaginer plus humiliant et suggestif comme position. Tout ça avec la perspective de me faire mettre un doigt dans le cul ! À la limite, il n’y aurait rien de bien dramatique si je n’étais pas en train de bander, et le fait de penser à ce qui m’attend ne réussit pas à calmer mon érection, au contraire …
La mort dans l’âme, je me redresse, puis, en tournant le dos au médecin, je retire mon slip. Mes inquiétudes se confirment : on voit bien que je bande à moitié, car mon sexe a pris un certain volume même s’il n’a pas atteint tout à fait l’horizontale. J’espère qu’avec un peu de chance, le toubib n’y fera pas attention et que je vais redevenir flasque assez rapidement. Je grimpe sur la table sans difficulté (elle est réglée très bas) et je me mets en position. Je profite de ce moment pour me détendre et ne penser à rien de spécial mais je n’y arrive pas. Nu, à quatre pattes, les fesses en l’air et attendant qu’on s’occupe de mon cul : je ne peux m’empêcher de penser à Sébastien ou à Marc qui, l’un comme l’autre, m’ont sodomisé dans cette position. Je ne regarde pas ma queue mais je crains bien qu’elle ne veuille pas revenir au repos. Pourvu qu’il n’y fasse pas attention ! … Je l’entends qui fouille dans ses affaires, puis qui s’approche.
-« Détendez-vous, c’est un examen très classique et pas douloureux du tout … »
Vu le bruit, il doit être en train d’enfiler ses gants. Quelques secondes après, je sursaute : il m’applique du gel sur l’anus. Putain ! Toujours ces images qui me reviennent en mémoire …
-« Ne vous en faites pas, ça va bien se passer. »
Et puis finalement il se décide. Je sens qu’il s’enfonce dans mon cul. Il y va très doucement, très progressivement, et du coup c’est pire que ce que je craignais : je trouve cette pénétration merveilleusement sensuelle et excitante. Je ne peux m'empêcher de pousser un petit gémissement.
- " Ça vous fait mal ?"
- " Non, non, au contraire ..."
Putain, mais quel con ! Je ne peux pas la fermer, non ? La situation est déjà assez humiliante, et tout ce que je trouve à dire, c'est que j'aime me faire doigter le cul ! .
.."
- " Ah, bon ? Dans ces conditions, je vais pouvoir vous faire un examen un peu plus approfondi ..."
Je me demande ce que peut bien vouloir dire "un examen un peu plus approfondi", mais ça ne dure pas : quelques instants après il réussit à me faire je ne sais quoi je ne sais où, et je ressens tout à coup comme une décharge tellement c'est bon. Je sursaute et ne peut réprimer un petit cri de surprise.
- " Ah ? On dirait que c'est plus sensible à cet endroit, non ?"
- "Hhhh ... Hhhh ... Je ... Oui, c'est ça ..."
Ma respiration s'accélère et j'essaie de rester normal, mais c'est pas évident. J'ai l'impression qu'il a trouvé mon "point P" (je me suis renseigné, il parait que les hommes ont l'équivalent du point G des femmes, mais pas au même endroit, évidemment ...). Le problème, c'est qu'au lieu de finir son examen, il s'arrête à cet endroit et continue à m'exciter cette zone qui me procure un plaisir vraiment énorme. Je ne sais pas si ce gars est consciencieux, curieux ou sadique, mais je suis en train de monter sacrément en puissance rien qu'en me faisant doigter.
- " Laissez-vous aller, détendez-vous. N'ayez pas peur de laisser s'exprimer votre corps. Il est tard, la salle d'attente est vide et il n'y a plus personne à l'étage ... Effectivement, vous semblez très sensible si j'en crois la rigidité de votre sexe ..."
À peine a-t-il dit ça qu'il me saisit la queue et la presse dans sa main, pour bien vérifier que je bande comme un cerf. Mais c'est qui ce mec-là ? Un gastroentérologue ou un sexologue ? Un professionnel de santé ou un pervers vicieux ? En tout cas, moi, je commence franchement à perdre pied : maintenant qu'il a trouvé mon "point sensible" comme il dit, il n'a pas l'air décidé à laisser tomber et il s'acharne dessus, fait des variations, des expérimentations, des explorations, ... Au gré de ses recherches, je me cambre, me raidis, frissonne, tremble, sursaute, respire plus vite, gémis ou pousse des petits cris.
Pas de doute : je suis tombé sur un cochon sadique qui s'amuse à m'exciter. Ce que je ne comprends pas, c'est où il veut en venir. De toute façon, je n'arrive plus vraiment à réfléchir. Je suis une fois de plus en train de me transformer en salope gémissante.
- "Oui, c'est bien, c'est très bien ... Vous avez apparemment de réelles capacités et votre corps réagit très bien aux stimulations. Ne bougez pas, je reviens dans un instant ..."
Il m'abandonne et part chercher je ne sais quoi, puis revient assez vite. Il a décidé de poursuivre son examen et je sens un contact d'un genre nouveau sur mon anus. Il utilise un truc que je ne peux pas voir mais qui me fait sursauter parce que je ne m'attendais pas à ça : ça vibre, ça tourne, … Il me l’enfonce dans le cul et je comprends qu’il est en train de passer à quelque chose de vraiment spécial. Je me demande quel est cet appareil et je ne vois pas bien en quoi un gastroentérologue peut avoir besoin d’un truc comme ça. J’en suis là de mes réflexions quand la vérité me saute aux yeux : j’ai peine à le croire mais je comprends qu’il vient tout simplement de m’enfoncer un god dans le cul ! J’en ai la confirmation après quelques secondes d’utilisation : ça vibre à toute vitesse, ça ondule ou tourne pour bien me masser de l’intérieur, et il y ajoute un mouvement de va-et-vient impudique au cas où ça ne suffirait pas. Vu l’état dans lequel il a réussi à me mettre en manipulant mon « point sensible », l’effet est presque immédiat : je bascule dans un autre monde où les valeurs sont dominées par la notion de plaisir. Je ne suis plus du tout dans un cabinet de médecin mais aux mains d’un cochon lubrique qui profite de la situation et s’amuse à m’exciter en me doigtant et me godant le cul ! Le pire, c’est qu’au lieu de réagir, de protester et d’arrêter tout ça, je le laisse faire, submergé par un fatalisme béat et jouissif. Je vais même plus loin et je me fais un monologue silencieux : « Mon salaud, tu veux m’exciter, c’est ça ? Tu veux me faire grimper aux rideaux ? Ça te plait de me goder le cul et de me voir me trémousser comme une salope ? Ça te plait de m’entendre gémir en tortillant du croupion ? Eh bien, profites-en, parce que j’apprécie ce que tu me fais subir ; tu peux y aller, j’aime ce rôle de chienne lubrique qui remue le cul et en redemande. » Tout en me disant ça dans ma tête, j’accorde mon comportement à mes pensées : je frémis, je sursaute, je me cambre, je commence à haleter, à gémir, à pousser de petits cris tout en pensant : « Je vais te piéger, mon salaud, tu m’excites avec tes trucs mais moi je n’ai plus ni honte ni pudeur, alors si tu veux voir une vraie salope en chaleur, régales-toi … »
Malgré tout mon cinéma, il m’abandonne et lâche son truc qui reste en action dans mon cul. Je suis un peu déçu, car j’espérais bien que ce traitement allait se poursuivre. Malgré tout, je continue à profiter de son engin qui ne reste pas inactif. J’entends un bruit derrière moi, des froissements, … Je n’y fais pas attention et attends avec patience et docilité la suite de « l’examen ». Je reste comme qui dirait très « réceptif et détendu ». Oh, putain, que c’est bon de s’abandonner ainsi ! …
Et puis un nouveau changement : je sens la table bouger. Que se passe-t-il ? Apparemment, il est monté dessus. Il reprend son va-et-vient diabolique avec son god, je réagis aussitôt en poussant des gémissements de plaisir. Je sens maintenant des frôlements, il est juste derrière moi …
- « Bon, je crois qu’il n’y a qu’une solution : on va passer à autre chose … »
Il bouge un peu derrière moi, me retire le god, … De nouveaux mouvements, un contact contre ma rondelle, puis l’évidence me submerge : je vais me faire sodomiser, là, maintenant, sur cette table d’examen, par un médecin qui a comme qui dirait dévié de sa mission. Au lieu d’être tendu, révolté et indigné, je me sens au contraire détendu et soulagé ; au lieu de me sentir dépassé par les événements et soumis, j’ai l’impression de dominer la situation. « Oui, mon cochon, c’est toi qui perds les pédales, c’est toi qui n’arrives plus à te maîtriser. Ce n’est pas toi qui m’excites en me doigtant et en me godant, c’est moi qui t’allume et te tiens par le bout de ta queue. C’est moi qui mène le jeu, c’est moi qui t’excite en tortillant du cul et en gémissant comme une garce ».
- « Désolé pour cette familiarité, mais l’examen est terminé et il va falloir que je me soulage … »
La suite arrive avec une logique implacable : je sens son gland qui essaie de me pénétrer et qui y parvient avec une grande facilité : je suis lubrifié, détendu, excité et consentant. Je me fais sodomiser en une seule longue et profonde poussée. Je fais entendre aussitôt un gémissement de salope comblée pour encourager mon « agresseur ».
- « Ohhhhhh … Mmmmm … »
- « Oh, c’est trop bon ! Je m’enfonce dans ton cul comme dans une fournaise ! … »
Je comprends en entendant ce tutoiement que la rigueur et la réserve du médecin on fait place à une certaine crudité dans le langage. Je connais bien cette bascule : on oublie les bonnes manières, on ne réfléchit plus avec son cerveau mais avec sa queue, on ne pense plus qu’à pénétrer l’autre, à le limer, à le posséder, à le faire gémir. Je sens que je vais encore avoir droit à une sodomie barbare, mais, étrangement, je me sens d’autant plus excité, détendu, soumis, impatient et réceptif. Je vais une fois de plus expérimenter le rôle de la salope qui se fait bourrer le cul et qui en redemande. « Toi, le pervers lubrique, tu vas être servi, je vais te faire le grand jeu ! ... » Maintenant qu’il en a fini avec son dernier patient, mon tourmenteur lâche les élastiques trop longtemps retenus et commence à se laisser aller verbalement :
- « Vas-y, tu peux gueuler, il n’y a personne pour t’entendre. Tu veux de la queue, tu vas en avoir … J’ai bien vu ton petit jeu depuis tout à l’heure, à m’exciter en soupirant comme une pucelle d’allumeuse … »
- « Ohhhhhhh … »
- « Salope, je vais te bourrer comme tu le mérites, tu vas prendre cher … Hein que t’attends que ça depuis tout à l’heure ? »
- « Ohhh … Ahhh … Je … Oui … Ouiii … »
- « Je le savais ! Je vais te la mettre profonde ! T’as pas fini de tâter de ma queue, je vais me régaler de ton cul. Tu t’es trop foutu de moi … »
C’est étrange comment un langage aussi crû et agressif peut être excitant dans certaines situations : plus il m’invective ainsi, et plus je jouis de le sentir aller et venir en moi, … En plus de ça, chaque fois qu’il rentre ou qu’il sort, il se passe quelque chose d’indescriptible, comme si mon « point sensible » était stimulé au passage de sa queue et que je montais d’un cran dans la jouissance. Moi qui croyais avoir tout connu, j’ai l’impression que ce type va aller encore plus loin en me ramonant, car je suis en train d’atteindre un plaisir incroyable devant comme derrière. Il m’a bien préparé avec ses explorations poussées, et je crois qu’il va rafler la mise en me limant tranquillement comme s’il était en terrain conquis. Pour moi, c’est fini : je n’ai plus de tenue, plus de pudeur, plus de honte et rien que du plaisir ! …
- « Alors, c’est pas bon de se faire tringler ? C’est pas bon de sentir une bonne bite raide dans ton cul ? »
- « Ohhhh …. Oui, ouiii … »
- « C’est ça, continue de couiner, j’adore, ça me stimule … Tiens, prends ça, et ça encore … »
À chaque fois qu’il donne des coups plus violents et plus profonds, je l’accompagne d’un cri à la mesure du plaisir qu’il me fait subir.
- « Ohhh … Ahhh … Salaud ! … »
- « Oui, c’est ça, il faut bien un salaud comme moi pour une salope dans ton genre, non ? T’attends que ça, hein ? Réponds ! »
- « Oui, … Ouiiii … »
- « Je parie que t’en veux encore ! Hein que t’en as pas encore eu assez dans ton cul ? »
- « Je … Ohhh … Non, non … »
- « Oh, c’est trop bon ! J’aime quand tu me supplies de t’enculer … Alors, ma poule, tu jouis bien comme une bonne salope qui se respecte, hein ? »
- « Oui, oui, … Encore ! … »
- « Putain ! Mais t’es une bête de sexe, toi ! T’en as jamais assez ! T’es fait pour avoir une bite dans le cul … »
- « Ohhh ! … Ouiii … Encore ! … »
Ce dialogue de fous accompagne ma montée vers l’orgasme. Je ne sais pas ce qui se passe, mais maintenant le plaisir m’inonde dedans comme derrière, ça monte encore et pourtant je suis totalement passif : j’essaie juste de rester en équilibre (la table est secouée par les coups de boutoirs de mon baiseur fou, heureusement qu’elle est solide), j’ai posé les mains écartées devant moi et je suis à quatre pattes, les reins cambrés, la croupe offerte, subissant encore et encore …
- « Oui, c’est bien, lâche-toi, continue à gueuler comme ça, ça m’excite de t’entendre jouir … »
Je ne me fais pas prier et j’accède à tous ses désirs. Notre excitation monte simultanément. J’ai l’impression que nous allons exploser tous les deux. Mais … Que se passe-t-il ? Non, ce n’est pas possible … Mais si ! Je sens tout à coup que, en plus du plaisir incroyable que je ressens au fond de mon cul, dans l’euphorie de cette baise de cinglés, j’ai atteint le point de non-retour : je vais éjaculer alors que ni lui ni moi ne touchons mon sexe ! Je suis définitivement devenu une vraie salope, je vais avoir droit à un double orgasme rien qu’en me faisant limer le cul. Cette révélation me remplit d’un merveilleux bien-être, comme si j’accédais à un état de béatitude mystique. De toutes façons, c’est trop tard, je n’ai plus physiquement la capacité de résister à l’orgasme qui monte en moi. Je laisse venir, je me fais submerger non sans manifester ce que je ressens : gémissements, feulements, cris … Il a raison, je suis devenu une vraie bête de sexe !
- « Oui, … C’est ça … Je vais te faire grimper aux rideaux, ma salope ! »
Je ne réponds plus, je n’ai plus l’énergie de construire des phrases. Je me contente de jouir et de le faire savoir. Du fait qu’aucune stimulation n’a lieu du côté de mon sexe, l’arrivée de mon éjaculation est étonnamment lente, et, du coup, j’ai l’impression de subir un « orgasme éjaculatoire à rallonge ». Le fantasme absolu : jouir aussi intensément qu’un homme et aussi longtemps qu’une femme.
Quand finalement mon sexe commence à lâcher plusieurs giclées de sperme, je suis déjà en train de pousser un long cri d’abandon qui me vide de tout mon air. Visiblement, ça convient à mon baiseur fou.
- « Vas-y, ma poule, laisse-toi aller, j’adore quand tu gueules comme ça … Putain, très trop bonne, toi ! Je vais te finir, maintenant, je vais t’engrosser comme il faut … »
Mon orgasme n’en finit pas : j’ai les yeux fermé, je finis d’éjaculer je ne sais où ; apparemment, le fait de me voir jouir ainsi donne de la vigueur au toubib : il se met à accélérer la cadence et me bourre vraiment comme une brute lubrique qui n’en peut plus. C’est la fin, ça se sent, ça s’entend. Lui aussi a perdu toute pudeur et toute retenue.
- « J’en peux plus, c’est trop bon … Tiens, tiens, … Je te nique … Ohhh … Aahhhh … Oh, putain, ça vient … Tiens, prends ça … Salope …. Aahhhh …
Il se bloque tout à coup tout au fond de mon cul, s’agrippe à mes hanches comme s’il y plantait ses griffes, me serre fermement contre lui comme s’il avait peur de me perdre et pousse un long cri. Je comprends à cet instant qu’il éjacule en moi, même si je ne sens pas ses jets de sperme. Je suppose qu’il a mis un préservatif (c’est la moindre des choses pour un médecin !).
Maintenant que nous avons joui tous les deux comme des dingues, la situation s’apaise comme par magie. Nous reprenons notre souffle. J’ai encore des sensations sourdes, mais terriblement agréables au niveau de mon cul. Finalement, nous sortons de notre immobilité. Il se retire doucement de moi, puis descend de la table. Moi, je ne bouge pas, je ne sais trop comment réagir. Il fabrique je ne sais quoi dans mon dos, j’ai l’impression qu’il se rhabille. Il me tend des mouchoirs.
- « Tenez, pour vous essuyer … »
Je note au vouvoiement le retour à la vie « normale ». Je fais une toilette sommaire (entre le gel sur l’anus et le sperme à l’avant, il y a du travail) pendant que le médecin retrouve sa dignité. Il retourne à son bureau, je le rejoins un peu plus tard après m’être rhabillé. À le voir assis à son bureau face à moi, on n’imaginerait pas un seul instant qu’il vient de me sodomiser en me traitant de salope.
- « Bien, pour ce qui concerne vos problèmes de digestion, je vous fais une ordonnance, un cachet par jour à n’utiliser qu’en cas de dysfonctionnement. Pour les hypoglycémies, limitez les sucres rapides. Tenez, voici votre carte vitale, ça fera 38 euros. »
Je sais bien que la situation est atypique mais quand même : ce type vient de m’enculer comme un chien lubrique et il me demande du fric comme si rien de tel ne s’était passé ! Comme s’il lisait dans mes pensées, il poursuit :
- « Si les problèmes perdurent, n’hésitez pas à revenir. Quant aux résultats de mon … examen approfondi et de votre euh … sensibilité particulière, c’est pareil, n’hésitez pas à me contacter à nouveau. Je pense qu’on pourrait renouveler le traitement disons … hors consultation médicale ?
J’ai compris le message : voici encore un type qui est prêt à s’occuper de mon cul. Il faut que je me rende à l’évidence : j’ai de vraies dispositions pour allumer les mecs et les motiver et je ne peux pas nier la réalité : j’ai effectivement « une sensibilité particulière » qui ne me range pas vraiment dans la catégorie des « purs hétérosexuels et vrais mâles. »

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