Je Mouille Encore

Il me fait pitié : depuis plusieurs semaines il vient s’assoir contre mon mur, sur la rue. Une couverture sale sert de siège. Il mendie des croutons de pain, des restes de victuaille. Il est assez beau garçon : j’ai pitié de lui.
Je suis bien à l’aise chez moi, au chaud, avec les problèmes de tout un chacun. Un soir, la nuit tombe quand je rentre chez moi. IL est toujours assis. Je remarque quand même que sa main droite bouge beaucoup à hauteur de sa bite : il se branle. Bien sur c’est un homme avec ses besoins. Mais se faire du bien devant chez moi, insensé. Pourquoi ne me l’a-t-il pas demandé, j’aurais pu le soulager avec ma main. Je sais parfaitement branler un type, alors pourquoi pas lui.
Cette folle idée trotte dans ma tête plusieurs jours. J’en arrive à me satisfaire seule avec mes jouets avec devant moi une bite qui pourrait être la sienne. C’est bon de se masturber ainsi.
Ce soir il est encore là en train de grignoter une croute de pain. Je l’invite pour la suite. J’offre le repas qu’il dévore à belles dents. Je suis un peu gênée par son odeur corporelle.
Dans la salle de bain je le fait mettre nu, totalement nu. Je ne regarde : il refuse le bain. Tant pis pour lui : je prends l’éponge, j’y mets du savon liquide je commence à le frotter : il me semble se décolorer. Il tient ses mains collées contre sa queue. Elle n’est pas, loin de là la première que je vois. Je discernerais ça ensuite. Ses fesses y passent ainsi qu’une bonne partie de sa raie. C’est là que je remarque qu’il commence à bander. Tant mieux. La baignoire est pleine, je l’y pousse : il y tombe dans un éclaboussement d’eau. Sa queue est en vue. Il ne se cache plus.
Qu’elle beau morceau de pine. Elle n’est pas grosse, elle est un peu longue. Ses couilles par contre sont énormes, il me semble. Je frotte le corps, le dos, d’abord pour ne pas l’effrayer et ensuite la poitrine. Je descends vers le ventre. Quand j’arrive au but : danger, pas touche.


- Et si je veux être baisée ?
- Tu ne me touches pas.
C’est net. Comment le nettoyer, le rendre civilisé, propre en un mot. Et même tirer un seul petit coup, s’il reste la queue sale ?
- Alors branles toi.
- Ca je veux bien.
Il s’allonge dans la baignoire, pose sa main sur la bite qui malgré ses dénégations bande bien. C’est un bel homme un peu maigre. Sa bite bande vite sous sa main. Il n’a aucune pudeur quand il commence à se faire du bien. Il m’excite plutôt qu’autre chose : je suis toutes émoustillée, mouillée de chez mouillée. Il arrête souvent sa caresse pour la reprendre encore un peu. Je le veux, je le veux !!!!
Je plonge ma main dans l’eau, je trouve et caresse un genou. Je peux aller vers son entrejambe laver ce qu’il a oublié. Il me laisse faire quand je touche son petit trou. J’ai gagné quand il écarte ses jambes. Juste en dessous des couilles, après un petit espace j’ai la place pour lui prodiguer des caresses spéciales. Je suis quand même une vache quand je vais sur ce lieu qu’il ne protège pas. C’est une région douce, un peu poilue. Il me semble que mes doigts la connaissaient depuis toujours. Je suis délicieuse, suave, salope aussi un peu.
Lui me laisse faire. Je suis sous sa queue, sous ses couilles, je participe à son plaisir. J’y suis à trois doigts dans l’intention de n’en rentrer qu’un seul, celui du milieu. Je passe du temps avant qu’il me laisse agir comme je veux. D’un seul coup il cède. J’entre le majeur doucement, je le fait aller et venir. Je mouille toujours. J’ai la certitude qu’il s’ouvre doucement. C’est bon de doigter un anus vierge. Il en oublie sa queue. Moi, je mouille toujours, je ne l’oublie pas. Je la prends dans ma main. Je le branle, je l’encule à la fois. Comme j’aime qu’on me fasse.
Je vais le faire jouir, je vais avaler son foutre. Je suis gourmande, Il me tarde qu’il jute et pourtant je veux faire durer ce plaisir divin. J’arrive à mon but : sa queue se relève un peu.
Je mouille toujours Je me penche juste à temps : il gicle. Je ne peux pas tout prendre. Mais j’en ai un peu pour passer dans toute ma bouche. C’est sans doute dégoutant mais tellement bon.
Il se relève pour s’habiller et partir. Pas question mon bonhomme : d’un tu dois me baiser, m’enculer après un moment de repas, te vêtir avec les costumes de feu mon époux, le salaud qui est mort quand j’avais tout juste 40 ans. Il y a tellement longtemps que je n’ai pas eu de bite en moi. Je mouille toujours. Je le traine à la cuisine où je fais cuire deux œufs. Il s’en contentera. Il est toujours nu, je le regarde en lui tripotant la queue qui grossi à nouveau. Je pousse l’assois, m’assoie à la place, il peut me bouffer la chatte s’il à encore faim. C’est ce qu’il commence à faire. Ce doit être un bon baiseur : il enfonce son pouce dans mon anus, sa langue me nettoie la chatte en même temps. Il me fait jouir plusieurs fois. C’est bon. Il recommence avec cette fois deux doigts dans le con. Il me doigte agréablement entre le cul, le con et le clitoris.
Je jouis. Je sens que j’explose bizarrement : je lâche un gros jet sur lui, puis un autre : je deviens comme un homme avec plusieurs éjaculation de je ne sais quoi. Je deviens une femme fontaine avec un gueux. Mon Dieu que c’est bon, que je jouis bien.
Pour ce soir c’est suffisant : j’ai jouis, il a jouit. Je le ferais revenir demain soir pour d’autres galipettes encore plus géniales : le sucer, lui mettre un gode dans le cul, surtout me faire enculer par une vraie queue. Je mouillerai...

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