Travaux D'Hercule - 9 -

Admète exige expressément qu'on lui rapporte la ceinture d'or d'Hippolyté, la reine des amazones. Ce peuple guerrier est uniquement composé de femmes, elles ne connaissent ni la pudeur ni la pitié et sont célèbres pour leurs coutumes sauvages et cruelles,
Hercule est obligé par Héra (la méchante déesse d’Olympe) d’aller chercher cette ceinture. Il réunit ses compagnons pour traverser en bateau la mer. Dérangé, fatigué de sa traversée, Hercule arrive à prendre contact avec Hyppolité : c’est facile, elle l’attend sur la plage. C’est une jolie, pas du genre faible, à peine « défigurée» de sa poitrine, avec le sein droit enlevé. Hercule ne s’attarde pas un si trivial détail.
Il a affaire à une femme de meurs différentes, mais une femme, une vrai, une cheftaine d’une bande de chasseresses d’hommes. Elle est gentille, attentionné, pas désagréable du tout : Hercule lui plait bien elle en ferait son quatre heure. Elle a pu apercevoir la queue d’Hercule sous sa tunique : elle est imposante, donc acceptable pour la dame. Curieuse de vos la bête en entier, sans rien demander elle soulève la tunique : la queue est là, demi tendue, prête à l’emploi. Son bas ventre se mouille rien qu’en voyant l’engin qui peut la combler. (Se faire baiser ainsi par un tel morceau, pourvu qu’il mette aussi deux doigts dans le cul, je serais comblée)(Je traduis simplement ce que désire cette femme hors du commun).
Hercule se sent des ailes : enfin une femme de gout qui semble apprécier sa belle et rutilante bite. Il la lui offre. En échange il veut sa ceinture. De toute façon quand elle baise elle est nue, toujours, même si elle s’amuse avec une autre amazone ce qui est courant dans ce peuple. Cette reine tient absolument à montrer comment elle baise habituellement. Elle appelle sa préférée du moment : menue belle jeune, sensible femme, à peine sortie de l’adolescence. Elle ne s’est pas encore coupé le sein : elle attend le printemps prochain.
Elle rejoint avec joie son initiatrice.

Un long baiser réuni les deux femmes. Hercule peut s’apercevoir que les langues sont de la partie. Et lui commence à bander. C’est comme d’habitude visible sous sa tunique. La jeune amazone, se laisse à peine masturber par l’ainée : elle veut la pine d’Hercule. Pour une fois, il est enfin satisfait : une fille le veut sans exclusive.
Il est prêt en levant sa fabuleuse tunique (qui mériterait un séjour en machine à laver – hélas pas encore inventée). Intimidée un peu de voir un sexe d’homme si gros, plus qu’elle le pensait, elle vient le lui prendre. Elle le touche, prend le corps, passe sous lui pour soupeser les couilles, va même plus bas sous les conseils de sa maitresse. Il entre sans façon deux doigts dans le cul d’Hercule. Il aime bien se faire tripoter à cet endroit par des doigts ou mieux par une belle bite.
Elle doigte le cul d’Hercule, voir sa queue inoccupée, la prend directement dans sa bouche, la lèche comme un esquimau (la glace pas le bonhomme). Et je te lèche, et je t’aspire le gland, et je recommence avec la langue vers le bas, j’engouffre le haut : je suce quoi ! Qui n’a jamais sucé ou été sucé, ne sais pas de quoi je cause. Et puis elle se tourne, donne sa cahute à Hercule un peu gêné : il a peu sucé de fille dans sa vie. Ma fois c’est assez bon, pas comme le sperme (je ne vais pas m’en plaindre). Et puis ces deux trous mal placés qui gênent la langue. Bien sur la nana sursaute souvent : il croit qu’elle jouit. Le pire ou le meilleur arrive : il jouit dans cette jeune bouche. Il en arrive à oublier sa mission importante. Pourtant l’amazone est nue, là devant lui.
Il lui pique la ceinture en prétextant la garder comme souvenir d’une nuit inoubliable.
Presque sautillant il rejoint le bateau pour une traversée qu’il redoute...

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