Quentin,En Route Vers La Californie, La Bouche Pleine...Le Cul Aussi !

- Quentin, vous avez 15 jours de vacances. Je sais que vous aimez l'aventure. UCLA vous demande. Ca vous dirait d'y aller en stop ? Vous paierez votre voyage en nature, dit-il avec un clin d'oeil et un grand sourire.
La proposition venait du secrétaire du président.
- On vous emmène à une centaine de kilomètres d'ici, et on fait courir le bruit sur le réseau qu'un blondinet avec un cul d'enfer et la bouche en coeur se rend à Frisco.
- Ca pourrait être sympa...
- Vous partez demain ?
- OK !
Le premier poids lourd s'arrête. Le second chauffeur m'interpelle.
- C'est toi le gars de la CB ?
- Oui !
- Allez montes ! Dit-il en ouvrant la portière.
D'habitude, le passager descend pour me laisser monter au milieu. Bof...Arrivé au niveau de la cabine j'ai compris ! Le chauffeur avait sorti sa bite et se branlait doucement. Le deuxième me dit :
- Baisses ton froc et passes par dessus !
A genoux au bord du siège, j'ai baissé mon pantalon et mon slip. Le gars a palpé mon cul et m'a allongé sur ses cuisses. Ma tête a atterri sur l'entrejambe du chauffeur et, écartant les lèvres, j'ai pris sa grosse queue dans la bouche. Le second a refermé la portière, a mis un doigt dans sa bouche et, enduit de salive, l'a enfoncé dans mon cul. Il m'a enlevé mes baskets et m'a débarrassé du pantalon et du slip. J'étais complètement à poil.
Il s'est poussé vers la portière et a replié mes jambes sous moi. Il a baissé son pantalon, et derechef, il m'a enfoncé sa bite dans le cul.
- Putain, quel cul ! Lança-t-il.
Excité par la vue de mes fesses, la forme blanche du slip sur ma peau bronzée, il s'est rué comme un taureau.

Ses hanches s'écrasaient contre mes fesses, sa queue pénêtrant toujours plus loin. Le chauffeur n'en perdait pas une miette. Me voir possédé avec une telle violence, l'émoustillait un max. Saisissant mes oreilles, il faisait glisser ma bouche le long de la colonne de chair. Dans un dernier coup de hanches, le second s'enfonça une dernière fois dans mon cul, me tenant par les hanches, le corps tendu, arqué en avant, mes fesses plaquées sur son ventre et brusquement, j'ai senti les soubressauts de sa queue, puis la chaleur de son sperme qui coulait dans mon cul.
Dans ma bouche, la pine du chauffeur se raidit aussi. Il appuya sur ma tête pour qu'elle pénêtre plus profond et dans un râle :
- Avales, salope !
La pine était longue et le geste du chauffeur l'avait enfoncée en entier. Le gland avait depassé le fond de ma bouche et était rentré dans ma gorge. Quand il a joui, j'ai senti le sperme couler.
Le chauffeur a enlevé son pantalon et s'est glissé dans la couchette, le sexe toujours dressé. Le second s'est agenouillé en face de lui et avec un signe de la main, indiquant la queue de son copain, il me dit :
- Allez grimpes, tu vas faire du cheval !
J'ai grimpé dans la cabine et me suis accroupi. Un genou de chaque côté du chauffeur, je me suis assis sur ses cuisses. Le second avait empoigné le membre de son copain et l'avait pointé sur mon trou. Une fois tout rentré dans mon cul, il m'a couché sur sa poitrine et a posé son gland sur ma raie. Il a mis ses mains sur mes épaules, et, lentement, il a poussé sa bite rejoindre celle de son copain. Après avoir éjaculé tous les deux dans mon cul, ils m'ont déposé 100 km plus loin, à poil. Le second m' a jeté mes vêtements par la vitre.
Je ne sais pas ce qui m'est passé par la tête, j'ai décidé de rester à poil et de m'allonger sur le ventre. C'est une voiture de police qui s'est arrêtée. Les deux flics sont descendus, le tonfa à la main.
Ils ont fait le tour de moi. Ils se sont baissés pour voir si j'étais blessé. L'un des deux a glissé son bâton le long de ma raie. Comme je ne réagissais pas, il l'a fait pénêtrer dans la raie. Toujours rien. Du coup, il l'a introduit dans mon anus. J'ai relevé mes fesses, faisant entrer le plastique, un peu plus loin. Le flic m'a retourné, j'avais un sourire sur les lèvres.
Ils m'ont pris chacun par un bras et m'ont renversé sur le capot de la voiture. L'homme au tonfa, ouvrit sa braguette et m'encula. L'autre tourna ma tête vers lui et planta sa pine dans ma bouche. Après m'avoir inondé, ils m'ont ordonné de me rhabiller et m'ont débarqué à l'entrée de la ville suivante.


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