Hymne À Mon Corps

J'ai toujours été fier de mon corps, surtout mon cul. Est-ce pour ça que je le donne aisément à ceux qui l'admirent ?
A Pasadena, un peintre m'a proposé de faire des nus de moi et de partager le produit de leur vente. Le premier a été une peinture de moi, vu de dos. Sur le deuxième, on me voit en train de me branler, la tête penchée en avant, les cheveux me cachant le visage.
Puis, ça a dégénéré. Il m'a peint, de trois quart, la tête hors cadre, un doitg dans le cul. Après, ce fut de profil, le visage dans l'ombre, un rai de lumière éclairant ma bouche, les lèvres enserrant une grosse bite. J'ai gagné 6 000 dollars. Le peintre m'a dit que la troisième oeuvre était une commande. L'acheteur a ajouté que s'il obtenait ce qu'il demandait dorénavant, il paierait à chaque fois, le double du tableau précédent.
- Pour 4000 dollars, il veut un mec assis sur une chaise, le pantalon sur ses chaussures, et toi, face à lui, empalé sur sa queue. Elle doit être assez grosse pour dilater ta rondelle.
- Qui va faire le mec assis ?
- T'as qu'à en draguer un !
Je suis parti en chasse et j'ai trouvé exactement ce que je cherchais. Dans un parc, assis sur un banc, avec une canne blanche, un aveugle se branlait.
- Laisses-moi t'aider, dis-je en m'emparant de sa queue.
Je l'ai branlé un instant, puis j'ai pris sa main et l'ai posée sur mon cul.
- Oh putain ! Lâcha-t-il, quel cul !
- Que dirais-tu de te la mettre au chaud dedans ?
- Tu te fout de ma gueule ?
- Non, mais en échange, j'ai besoin que tu poses pour un tableau.
- Un tableau de toi planté dans mon cul !
- Et pourquoi moi ?
- Parce que t'as une grosse bite et que je veux voir mon cul écartelé.


- Ca marche !
Une semaine plus tard, 40 beaux billets verts étaient dans ma poche. On voyait sur le tableau, mon cul se relever, l'anus collé sur la hampe de l'énorme sexe comme un doigt se retirant d'un élastique trop serré.
- Le suivant, pour 8 000, tu dois t'en prendre deux dans le cul, une blanche et l'autre noire.
Le blanc était allongé au sol, sa pine dans mon cul, le noir était à genoux derrière moi, les jambes écartées et le gland, énorme, prêt à me pénêtrer.
- Le dernier maintenant. Il le paiera 30 000 ! Tu te penches sur le mec assis sur la chaise. Lui, est de dos. Toi, tu le suces. Ta bouche doit-être écartelée par la bite, le cul en l'air. Derrière toi, un noir grand comme un basketteur, sa queue en érection. Ses mains sur tes fesses, ses pouces les écartent, comme s'il allait t'enculer. Tes yeux doivent être remplis de larmes. Le mec a dit qu'il se branlerait le reste de sa vie devant cette scène.
Entre le cinéma, la peinture ou les spectacles, ce qui me fait kiffer, c'est qu'on me regarde quand on me baise. Je me sens beau, une bite(ou plusieurs) dans le cul et d'autres, dans la bouche. Un jour, je me ferai filmer, à poil dans une baignoire, un tas de mecs venant se branler sut moi, jsqu'à ce qu'elle soit pleine. Alors, me relevant, on me frictionnerait tout le corps, du visage aux orteils, avec le foutre des spectateurs.

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