Ouvreuse Dans Un Cinéma Porno

Me re-voici dans mon cinéma préféré, bien décidé à offrir le meilleur de moi-même. Comme d'habitude, je remonte l'allée, le long des sièges et me tiens debout derrière la dernière rangée, le coin des suceurs. De fait, un gars s'approche de moi et, croyant être discret, tente de mettre sa main sur ma queue. Je suis toujours surpris de leur dextérité. Effectivement, deux minutes plus tard, bien que j'attendes qu'il le fasse, le gars a ouvert ma braguette et a introduit sa main dans mon slip sans que je m'en aperçoive. je l'ai laissé faire. Sa main était chaude quand il a saisi ma bite. Il a tiré mon slip vers le bas pour la dégager et la sortir du pantalon. Une fois fait, il la prend dans sa bouche et sa langue exacerbe la petite entaille du gland. Je me raidis. Il lèche la couture du gland et du prépuce, je sens monter le plaisir. Mon corps se tétanise et avec un râle de plaisir, je jouis dans sa bouche. J'entends que le gars recrache tout sur le sol. Il se lève puis s'en va.
Je vais alors m'asseoir dans la salle. Suivant l'endroit, je peux être un habitué, au milieu d'une rangée, ou un novice, à deux sièges du bord de l'allée. Aujourd'hui, je veux rendre les hommages qu'on m'a offert. Sucer et enculer ou me faire enculer.
En attendant l'occasion qui ne vient pas, je pense à toutes les fois où j'ai attendu des heures sans avoir la moindre touche. Les occasions avortées parce que le mec n'avait pas ou ne voulait pas utiliser de capote. Et puis, une idée m'est venue.
Moi qui ai connu tant d'émoi dans ce lieu béni, pourquoi ne pas venir en aide à tous ceux qui ne sont pas vernis. Expliquer que le préservatif sauve la vie, donner ma bouche ou mon cul, ou même ma queue, aux malheureux ou malchanceux...
Je suis redescendu à la caisse et j'ai demandé à rencontrer le patron du cinéma. Bien sûr, on m'a demandé pourquoi, on m'a dit d'envoyer une lettre à l'adresse du cinéma, en laissant mes coordonnées, etc. Finalement, c'est ce que j'ai fait.

J'ai expliqué mon nouveau concept, et, surprise, mon téléphone a sonné. Le propriétaire voulait me voir. Je retourne au cinéma.
Nous allons au café d'à côté. En passant la porte d'entrée, il me met la main au cul. Une fois assis, il me demande :
- Avec le cul que t'as, pourquoi tu viens ici ? Tu peux te faire des mecs sans problème, non ?
- L'avantage du cinéma, c'est l'anonymat. Personne ne te demande rien. Tu donnes ce que tu veux et tu te contentes de ce qu'on te donne.
- Bon, revenons à ta proposition. Expliques-moi un peu !
- Voilà, je me promène dans la salle, avec un petit sac rempli de capotes autour du cou. J'offre gratuitement ma bouche, ma bite ou mon cul, à qui le demande, sauf aux habitués, et, toujours sous protection. Je vendrai des capotes. A ceux qui les refuseront, j'essaierai d'expliquer le danger du sida et autres infections.
- Mais comment les clients vont te reconnaître ?
- Je serai à poil, le corps recouvert d'une pommade phosphorescente dans le noir. Un peu comme un pierrot. Ceux qui le voudront, pourront toujours me passer la main au cul ou me toucher, mais mes services iront aux perdus et aux malchanceux.
- Et tu penses être payé ?
- Pourquoi pas, le premier jour, je fais ça gratuitement. Ensuite, vous me donnez le prix d'une place par jour et dans un mois, si le concept fonctionne, on pourra négocier. Pas de papier, pas de contrat, la confiance c'est tout !
Le week end suivant j'étais en place. Je me suis déshabillé entièrement et me suis enduit de la fameuse crème. Dans la salle, je ressemblais à un fantôme. Le premier mec que j'ai croisé m'a regardé d'un air narquois et a émis un rire étouffé.
Il s'est retourné, et là, tout a changé. Il est revenu vers moi et a passé sa main sur mon cul, d'un geste appuyé. Il s'attendait peu être à des protestations et il est resté pétrifié, quand j'au tourné la tête vers lui, un sourire aux lèvres. Il revint à la charge et étreignit une fesse. Je me suis retourné, et j'ai dit :
- Non, c'est réservé aux nouveaux !
Je me suis approché d'un jeune, il s'est retourné de l'autre côté. J'ai attendu un moment, et comme il ne réagissait pas, j'ai posé une main légère sur sa cuisse. J'appliquai les techniques utilisées sur moi quand j'étais plus jeune. Bientôt, je caressai sa bite. D'abord doucement, puis je l'ai prise à pleine main. Le garçon bandait comme un cerf. J'ai fait glisser ma main le long de la bite, passant un doigt sur le méat. Son bassin sursautait à chaque passage. J'ai serré sa bite dans ma main et ses reins se sont tendus.
- Eh ! T'as une belle queue, soufflai-je dans le cou de l'éphèbe.
Il ne répondit pas. Je lui enfilai une capote. Insensiblement, il se glissa sur le bord du siège. Quand je le pris dans ma bouche, il écarta les bras. Pendant que je suçais, j'ai défait et descendu son pantalon. Arrivé à mi-cuisses, il m'a retenu. j'ai glissé mes mains dans son slip et ai caressé ses fesses. Au soubresaut dans ma bouche, j'ai compris qu'il n'était pas insensible à cette caresse. J'ai glissé un doigt dans sa raie, effleurant à peine l'anus. Il ne fallait pas l'effrayer d'entrée. Le travail de ma langue sur sa jeune queue, le porta à l'extase. Tout son corps se raidit et il explosa dans ma bouche. Haletant, la bouche ouverte, il se laissa glisser du fauteuil. Je lui ôtai le plastique et lui nettoyai le bite avec un kleenex.
Je me suis levé et suis parti pour ne pas l'embarrasser. Je l'ai suivi des yeux. Il s'est rajusté, s'est levé, a rentré la tête dans ses épaules, et la tête et le torse penché en avant, il est parti, l'air gêné.

J'ai souri. Je me suis revu, au même âge, fou d'angoisse à l'idée qu'on me reconnaisse. Aujourd'hui encore, il me reste des réflexes de malaise et d'angoisse, quand je pousse la porte de ce cinéma.

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