Don Quichotte

Don Quichotte s’est déclaré chevalier errant. Bien. Il se balade en Espagne, partout sur sa jument Rossinante. Il est comme sont souvent les hommes. Le soir il voudrait bien une femme pour lui tenir chaud pendant les froids hivers d’Andalousie. Seule sa fidèle compagne le suis totalement, pas la jument qui se fiche beaucoup des états d’âme de son maître. Son avoine lui suffit, le foin est bon, alors tout baigne pour la race chevaline. Mais le problème de Don (on abrège), reste entier : personne pour lui chauffer les pieds quand il fait froid, qu’on dort dans la paille et en plus qu’on bande. Bien, oui, on a beau être un héros de roman, il n’empêche que de temps en temps, tirer un coup est nécessaire.
Il a bien essayé une fois en étant sur sa selle, sur la jument, il avait sorti sa belle queue à peine utilisée. Sa main droite est venue sur la bite, pas la gauche : elle tenait les rênes. Alors bercé par le trot de Rossinante, sa main allait et venait sur la tige. Le résultat était qu’un bon instant après il lâchait un jet de semence qui atterrissait sur l’encolure de la bête. Juste au moment de jouir, d’un coup d’étrier il faisait galoper la jument : parfaitement bon. « Mucho bueno » comme disent les espingoins.
Un matin, il venait de jouir, il voit au loin un drôle de cavalier, petit un peu enveloppé sur un bidet plus petit que Rossinante. Il a le temps de rentrer sa bite quand il voit de plus près le bonhomme qui lui demande de l’engager à son service, parce qu’il sait faire, blablabla…
Don l’engage sur sa bonne figure. Ils cheminent ensemble un bon moment avant que Don lui demande comment il s’appelle :
- Moi, dit le bonhomme, Sancho, Sancho Pansa. J’aimerais m’arrêter un moment.
- Pourquoi
- Me branler.
- Tiens tu me donne envie.
Chacun de son coté sort sa bite, regarde celle du voisin, la jalouse un peu avant de se réjouir chacun de son coté. Don jouit le plus vite, Pansa, lui fait trainer la chose ? Il aime faire durer le plaisir.


Chaque matin en se levant, après avoir secoué les fétus de pailles, chacun se donne du plaisir. Les deux ne rêvent qu’à une chose : un sexe de femme, un sexe ou un cul.
Un jour Sancho trouve une bourse pleine de maravédis. (En gros plein d’écus de l’époque, je ne peux en dire plus, ignorant le cours de la peseta, du maravédis et de l’euro). Waouh : de quoi se payer une nuit d’auberge espagnole bien sur, à eux une bonne assiettée de paella et du vin de Rioja.
Le soir, ripaille, re-ripaille. La servante est agréablement belle, pas très farouche. Don ne lui déplait pas. Elle le sert mieux que Sancho, lui fait de beaux sourires pleins de dents. Elle déplisse négligemment son corsage, fait ressortir ses tétons pas vilains (j’en profiterais moi aussi si mes devoirs d’auteur ne m’en empêchaient pas). Elle fait la belle, celle qui se verrait dans le même lit que Don.
Quand l’heure du coucher arrive c’est elle, une nommée Dulcinée, que leur indique la chambre. Mais les deux compères se sont trompés en retenant la piaule : il n’en reste qu’une qu’ils sont bien obligés de partager. Don voudrait bien faire des choses intimes avec la señorita. Elle aussi est plus que d’accord. Alors Sancho a l’idée qui le montre malin, il met entre les deux lits le paravent qu’ils avaient oubliés (moi aussi, excuses)
Les amoureux commencent par s’embrasser longuement ? Porté par le désir la belle Dulcinée se déshabille totalement. Don pousse un sifflement d’admiration. Qu’elle belle paire de seins, que de jolie fesses bombées où je veux mettre ma …Sancho entend tout. Il bande, il commence même à se masturber. La belle dulcinée le voit, elle a mal au cœur de le laisser seul. Alors elle demande à Don si elle peut profiter elle aussi de l’avantage de la belle queue de Sancho. Celui-ci n’entend rien, pris dans son plaisir. Dulcinée pense que tout à l’heure elle se le payera aussi.
En attendant Don caresse la croupe de la belle, passe des doigts forts curieux dans la raie des fesses.
Peu habituée à ce régime, elle glousse pour le laisser faire. Il la renverse sur le lit, sa langue prend la place de la main. Il lui lèche à peine le cul qu’elle jouit déjà. Elle avoue qu’elle s’est branlée un instant avant. C’est elle qui se tourne, prend la queue de Don dans la bouche. Sa langue lèche de bas en haut, elle arrive sur les replis du gland, s’attarde un peu avant d’avaler la queue. Don pense que c’est quand même meilleur que sa main. Elle se tourne complètement et en femme avisée, elle lui donne son sexe à brouter. Le jus de la fille n’étrangle pas notre Hidalgo. C’est sa langue qui entre dans la caverne ombragée. Il la remue dedans : elle jouit sur sa bouche.
Elle revient pour ce que Don pense être le final : sur lui la queue dans son gouffre. Elle se déhanche sur le mat. Ses gémissements avertissent Sancho. Il se lève, soit les fesses inoccupées : il se les approprie. Sa pine entre sans avertir dans le beau cul. Dulcinée, étonné au début gémit plus fort, elle demande encore, plus vite Les deux hommes se démontent les queues quand elle jouit.
La nuit est longue, pleine de frissons, de plaintes, de gémissent, de oui, de encore….Dulcinée l’a voulu : elle est pleine de sperme sur le corps.
Au petit matin le trio s’évade à cheval vers le soleil levant.

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