Dites Oui À La Fibre !

Je suis de retour pour vous raconter encore mes délires érotiques ! Je le rappelle, ces "délires" se sont réellement produits et si tel n'était pas le cas, je vous le dirais. Je ne veux rien vous cacher !
Il y a deux semaines, vers 11 heures, je reçois la visite d'un agent d'un opérateur téléphonique qui m'informe que la fibre va être installée dans mon immeuble. Il vient me vendre une nouvelle offre, en clair.
Le mec est assez grand, je dirais 1m80, bruns aux temps grisonnantes, yeux bleus, mince. Plutôt pas mal. Cet opérateur doit envoyer des beaux gosses pour acquérir, à coup sûr, des nouveaux clients.
Moi, je viens juste de sortir d'un bon bain pour me relaxer après une longue soirée alors je suis toujours trempé, caleçon enfilé rapidement, serviette autour du cou.
Je lui propose de s'asseoir pour qu'il m'explique tout ça. J'écoute pas trop ce qu'il dit, je le regarde, discrètement évidemment. Je le vois qui parle tout en fixant la table basse. Je regarde et je vois que j'ai oublié d'enlever la boîte du DVD porno gay que j'ai regardé hier avec un mec. En plus, comme si ça ne suffisait pas, il a laissé un papier sur lequel il a écrit "Trop bonne soirée : j'adore ta bouche de suceuse et ton petit cul". Je rougis fortement mais le mec ne semble pas gêné.
- Vous avez passé une bonne soirée à ce que je vois.
Il rigole. Je ris aussi.
- Oui, je suis jeune, les soirées un peu folles, vous devez connaître aussi ?
- Oh la la, plus maintenant. Je suis marié et j'ai un bébé qui fait que pleurer alors les soirées comme la vôtre, je connais plus trop.
- C'est jamais bon de ne pas prendre un peu de temps entre adultes.
- Ma femme est fatiguée, je vais pas la forcer. Et puis, je vais pas me taper une autre, ça serait pas correct vis à vis d'elle.
- Je comprends. Vous savez, un remède c'est la branlette : pas de tromperie à ce niveau là.
- J'ai pas attendu ton conseil, crois-moi.


Il commence à me tutoyer.
- J'ai pensé à quelque chose mais bon, je sais pas si ...
- Quoi ?
- Si je faisais des trucs avec une autre femme, j'aurais la sensation de tromper la mienne.
- Oui ?
- Alors qu'avec un mec, c'est plus sauvage, rapide, pas de risques de sentiments et de tomber amoureux, je suis pas gay. Ce serait du cul pour du cul.
- Tu me dis ça parce que t'as vu le mot et le DVD et que tu crois que je suce n'importe qui ?
- Non mais je sais que les homos sont plus ouverts et aiment bien le cul, avec des hétéros en plus. Je vais dire honnêtement que je serais pas contre une pipe. J'oserais pas demander mais vu ce que j'ai vu, et ta tenue, ça me dit bien.
- Je sors de la salle de bains, c'est pour ça que je suis comme ça. J'ouvre jamais la porte à moitié nu et mouillé.
Il sourit. J'aime la situation mais j'ai peur en même temps. Je ne connais pas ce gars, je ne sais pas ce qu'il veut réellement mais ce moment, son regard, ses mots, m'excitent terriblement. Il comprend qu'il peut obtenir ce qu'il veut. Il commence à enlever sa ceinture puis déboutonne son pantalon pour le faire glisser jusqu'à ses genoux. Il porte un boxer noir moulant de marque italienne.
- Ecoute, on peut se faire plaisir à deux.
Je me laisse tomber par terre et fais glisser son boxer. Sa bite poilue n'est pas encore entièrement dure. Il est non circoncis. J'aime ça, j'aime les sexes entiers, "naturels", dont je peux mordiller le petit bout de peau qui en répugne certains mais qui me fait fondre totalement. Ses couilles, poilues aussi, sont pleines. Je commence à le branler doucement. Il pousse quelques gémissements de plaisir. J'ai l'impression qu'il revit sous le mouvement de ma main.
- Depuis combien de temps tu n'as rien fait avec ta femme ?
- Six semaines.
- Dernière branlette ?
- Hier. Mais j'ai encore beaucoup à donner.
J'adore son regard et son sourire. J'aime son côté viril, macho, dominateur.
J'ai déjà sucé toute la nuit mais je ne suis toujours pas rassasié. J'aime le sexe, tout simplement. Sa queue est dure, je retrouve la même sensation qu'avec le membre que j'ai essoré toute la nuit. Il me présente son sexe, droit, figé comme une fusée prête à décoller. J'ouvre ma bouche et le gobe. Son gland est chaud. Je descends jusqu'à ses poils. Je respire son odeur. Une odeur de mâle. J'aime sentir ses poils contre mon visage. Je mordille son prépuce. Je sens qu'il aime.
- Ma femme me fait jamais ça.
Quelle chance elle rate.
Je descends jusqu'à ses couilles que je lèche et malaxe tendrement.
- Je peux te baiser la bouche ?
Je lui réponds "oui" d'un signe de tête. Il se redresse et me place contre le canapé pendant qu'il place son sexe dans ma bouche et commence ses va-et-vient. Je le regarde. Il profite du spectacle, de la vue que je lui offre. Il aime regarder son sexe entrer puis sortir de ma bouche. Je retiens quelques montées.
- Ca va ? Je te fais pas mal ?
- Non, j'adore, vas-y.
Il me baise de plus en plus fort. Je sens son gland taper le fond de ma gorge. Je sens et j'entends ses couilles gifler mon menton. Il commence à se raidir. Je sens que la fin est proche.
- Tu avales ? demande t-il en retirant son sexe.
- Jute sur mon visage, je lui réponds tout en respirant.
Il reprend et empoigne mes cheveux. Il me baise de plus en plus rapidement, profondément, virilement. Quelques larmes commencent à perler dans mes yeux. Il se retire brusquement et décharge sur mon visage. Son sexe explose et propulse sa semence sur mon front, mes joues, mes cheveux. Quelques gouttes s'infiltrent dans ma bouche. Je goûte à cette douce semence, ce cadeau qu'on reçoit après un bon travail.
- Oh putain ! T'es exquis comme mec !

Je le regarde partir, ses dossiers sous le bras. Il a pris mon numéro de téléphone et souhaite me revoir pour "goûter" à mon petit cul. Recouvert de jus, je rejoins ma salle de bains pour un deuxième lavage.

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