Lucas...Et De Trois.

Il s’est encanaillé le bûcheron, sourire. L’excitation si particulière de réjouir une femme devant son mari l’a motivé et sa libido y a trouvé les ressources qui comblent les femmes…moi, en l’occurrence. Sourire.

Il est donc venu dîner sans aucune autre intention que des jeux érotiques. J’ai choisi ma tenue pour la circonstance, en volants s’ouvrants à volonté, échancrure vertigineuse, lacet délacé, boutons à peine serrés sur des dessous qui défient les regards masculins. Pas question de griller les étapes, sourires de désirs, bouchées offertes, gorgées minutieuses, propos ambigus, rappel de souvenirs câlins, allusions suggestives, compliments et premiers contacts pudiques. alors que je sais la bandaison ardente de mes deux chevaliers servants. Ambiance des désirs retenus, les regards brillent, les souffles déjà s’entendent, les mains moites effleurent ma peau parfois. Je conduis les hommes vers leur envie de moi, JF et Lucas en harmonie de mes plaisirs.
C’est JF qui fait évoluer la situation. « Lucas, j’aimerais voir le visage de Muriel dans son plus beau moment, que penserais-tu si ton dessert se trouvait sous la table ?... ». J’ai porté la coupe à mes lèvres en lançant un regard malicieux à JF tout en glissant mon bassin sur le bord de la chaise, pieds posés sur la barre. Les yeux de Lucas pétillaient en disparaissant sous la table et la nappe qui le dissimulent entièrement. Ses mains glissent sur mes cuisses, ses baisers troublent ma peau, je ferme déjà les yeux. Il prend le temps de découvrir, de dénuder. Ses mains sur mes chevilles son visage s’enfonce entre mes jambes. Je m’ouvre en creusant les reins. Les doigts glissent sous mon string, je me soulève, il le retire. JF regarde mes mouvements, scrute mon visage rougissant, écoute mes souffles, bientôt mes gémissements. Je suis assise le plus possible sur le bout des fesses pour laisser à Lucas l’ouverture totale de mon sexe. Petits baisers, petits coups de langue alors que ses mains parcourent mes jambes.

Baisers sur les cuisses ensuite avec quelques discrètes morsures quand ses doigts ouvrent mes lèvres et jouent de mon clito. Petits cris et gloussements de plaisir, je souffle mon excitation devant mon mari. Je suis si sensible, la situation si excitante, je sais que Lucas va me conduire à l’extase. Il sait prendre mon pouls, conduire le rythme en buvant l’expression de mes plaisirs. Je me tiens à la chaise ou à la table, visage rouge écarlate, je balance mon sexe à la bouche de mon amant, et regarde yeux exorbités le visage tendu de mon mari. Je profite de la langue et de la bouche de Lucas. Il sait lécher, pincer, aspirer, sucer, lécher encore. Pénétrer aussi de sa langue ou de ses doigts qui me fouillent. Je plante mes yeux dans ceux de mon mari, je veux qu’il vibre avec moi le plaisir que me donne Lucas. Délicieuse perversité, mon amant réjouit mon sexe sous la table alors que je vis la scène en échange avec mon mari. Lucas lui ne voit que mon sexe et mes réactions humides. Deux doigts courbés dans mon vagin, vers l’avant, le pouce écrase mon clito A cet instant, j’agrippe les cheveux de Lucas, plaque son visage à mon sexe, sa bouche ouverte, sa langue en moi, ses dents écrase mon clito, je jouis. Orgasme ou dessert ? Je n’ai pas eu à choisir…Sans mot, chacun se réajuste, s’assoit sagement, seul les sourires complices aux lèvres témoignent de l’harmonie de l’instant. Les bulles font la transition pour la suite du diner…JF se lève, m’embrasse et fait le service. Je lui souris ingénue…Lucas va se rafraichir le visage.
On mange, sans y penser la crème glacée et les fruits, je suis encore dans le rêve de cette situation insolite, les deux hommes aussi sont troublés.
« Alors, on revient sur terre » glisse JF. Il me tend quelques bulles et m’invite à danser. Nous sommes sous le toit des feuilles et des fleurs qui protègent la terrasse, les bougies éclairent et déforment les silhouettes, la lune éclaire le jardin. Je suis bien. Je change de bras à l’invitation de JF.
Je flirte maintenant au contact émouvant de Lucas qui ne dissimule rien de son désir ardent. JF échange à nouveau et je constate qu’il est dans les mêmes dispositions fermes que Lucas. Il fait glisser le chemisier qui ne voilait presque plus rien et je retourne dans les bras de Lucas. C’est JF qui, quelques pas de danses plus tard, dégrafe mon soutient gorge, je suis ainsi seins nus en train de danser dans les bras de mon amant. Les doigts de Lucas me font frémir en parcourant mon dos jusque bas sur les fesses. Il m’embrasse dans le cou et me plaque à lui ou plutôt dire a son membre rigide et gonflé. Quand JF fait glisser la jupe, je suis nue entièrement, je laisse Lucas me caresser.
JF cingle ma croupe de sa cravache et invite Lucas à adoucir la brûlure. Petit cris de satisfaction plus que de douleur. Je tends mon fessier en guise de mots. Cette fois le buste plaqué sur Lucas je m’offre à la cravache de JF. Il sait la faire glisser entre mes lèvres et la claquer, là, juste là sur mon clito. Je mouille. Les répétitions voulues et souhaitées me donnent chaud, Lucas s’emploie à effacer le feu de sa langue, de ses lèvres et de ses mains. J’ai envie de toucher sa peau, je glisse mes mains sous son teeshirt qu’il retire, il en est de même en peu de temps du pantalon et du boxer.
Toujours aussi impressionnante son expression du désir. Je m’empare avec envie et à deux mains de son pieu rigide. Plaquée face à lui je sens son membre longer ma fente trempée. JF a posé la cravache.
« Prends la debout ! » sorte d’ordre si bien venu.
Scène incroyable, dehors, sous la tonnelle, dans la nuit des étoiles, je suis jambes croisées dans le dos de mon amant. Son sexe m’empale et mon mari encourage de ses regards brillants. Nos corps s’unissent liés et en mouvements brusques. Je monte et descends sur son membre au gré des envies de Lucas, de sa force, de sa vigueur pénétrante. Jambes croisées dans son dos, je m’accroche. Son sexe rentre dans le mien, trempé d’envie, de plaisir et d’excitation.
Sa grosse queue me laboure alors qu’il bouffe mes seins. En cris et gémissements intenses, je m’agrippe à ses hanches, cuisses ouvertes. Mes bras entourent ses épaules, mes doigts enfoncent sa peau, ses muscles. Je mordille son cou. De ses bras il soutient mes fesses en les palpant, les écrasant, ou les ouvrant. Les éclairs du flash de la camera de JF intensifient les ressentis. La perversité du moment se ressent jusque dans les ventres.
Lucas me dépose sur la table et c’est là qu’il va me prendre. Courbée en arrière je lui ouvre mon ventre qu’il n’a pas quitté. Je vois sa queue écarter mon sexe à chaque va et vient. Je vois le regard figé de mon mari sur la pénétration de Lucas dans le vagin de sa femme. C’est bon, c’est divin, c’est jouissif. Lucas souffle et grogne, il me défonce en folie, la table vibre et se déplace. Tantôt les talons sur ses épaules, tantôt il soutient mes cuisses. Fort, vite et en puissance il me possède, je m’offre en absorbant son membre au fond de moi, bien profond. Frénétiquement il me défonce encore et encore. Je me concentre sur la queue en moi, le gland qui frotte mon vagin, mes muscles l’enserrent, le sucent, le pompent, l’absorbent. Abandonnée et réactive on se besogne ardemment. Notre excitation rene par la présence de mon mari qui ne manque aucun détail des jouissances qui se partagent. J’encourage mon amant à s’activer, à me réjouir. « Encore, encore, oui encore, n’arrête pas » J’aime sa grosse queue, c’est bon. « Continue, bourre moi » La sueur perle et coule entre mes seins, mes cuisses ouvertes sont trempées de mes liqueurs, des effluves de sexe circulent. « Baise moi, baise moi encore » Toujours les éclairs du flash pour exciter davantage. « Que c’est bon, encore » Je sais que j’excite mon mari et mon amant par mes invectives. La peau de Lucas est moite et chaude comme son pieu. C’est bon, trop bon, d’être ainsi défoncée et remplie. Le membre, comme enveloppé par mon vagin, je le serre, le suce, le bloque, l’aspire en moi.
Il accélère le mouvement, l’amplifie à me démonter furieusement. « Oui encore ! » Les coulissements de sa grosse queue élargissent et dilatent mon sexe, excitent mon clito. Je regarde avec envie son pieu me pénétrer. Lucas a la visage crispé, rougi, mâchoires serrées, il est obnubilé par le mouvement de mes seins a chacun de ses coups de rein, il en att un puis l’autre, le serre et le gobe en se penchant sur moi, puis se redresse et reprend avec entrain son pilonnage. Il s’agrippe à mes cuisses ou mes hanches pour me plaquer à lui et s’enfoncer au plus profond. Je tente d’amplifier ses mouvements en jetant mon sexe vers le sien. Il regarde sa queue entrer et sortir puis son ventre claque en bruit sourd sur mes cuisses et mon sexe, le son de l’air et de mes liqueurs nous excite tous. Flash, alors que j’ai les yeux fermés, mon mari capte mon plaisir intense. Lucas sort sa queue pour laisser à JF le temps de photos, il est diabolique, il a tout compris. Il entre à nouveau lentement pour que je sente bien son gland recourbé, il s’enfonce en moi en me regardant, il vérifie son effet, nos regards croisent les visages marqués qui expriment l’envie d’encore. En miroir on scrute les stigmates de nos plaisirs, nos expressions si intimes de l’excitation du sexe. Son menton fougueux, ses « han » ardents, mes «oh » étouffés, ma bouche ouverte en rond sur ses coups de reins, ou la langue pincée entre les lèvres quand il recule. Mes cheveux mélangés coulent dans mon dos ou sur ma poitrine par mes mouvements d’excitée incontrôlée. Il multiplie alors en folies les pénétrations, sa queue me défonce, indicible excitation. Agrippée à la table je vais partir, je le veux. Je veux ses spasmes, je veux son jus. Eclairs, étoiles, absence…tremblement de l’orgasme, je reçois les vagues éjaculées…Bouche ouverte en rond, je ne bouge plus, tétanisée, souffle coupé. Nous sommes liés, nos jouissances s’échangent. Abandonnée, alanguie, il me prend. Ventre chaud, rempli, je reçois. Silence, souffles discrets, calme apparent, on profite encore. Mon ventre, imperceptiblement, de l’intérieur, sert et suce toujours la queue en moi. Yeux clos, j’attends que Lucas sorte de moi, sans urgence, mes muscles intérieurs sucent discrètement sa queue. Je profite encore. Les muscles se relâchent finalement, j’ouvre les yeux. Echange de sourire avec JF. Lucas se retire, le sexe encore long et tendu. JF contemple, entre mes jambes pliées, mes cuisses ouvertes, impudique et indécente jusqu'à voir la coulée blanche du trop plein de foutre sortir de mon petit trou rose, trempé et luisant. Coquine, lubrique et perverse je pince les lèvres, plisse les yeux, un regard vers JF et mon amant hésitant.
Après un passage à la salle de bain je reviens sous la tonnelle. JF a mis de l’ordre sur la table, Lucas se lève et me tend un verre. « Quelle belle soirée vraiment » Les sourires et les yeux brillants confirment mes mots. Les bruits de la ville s’entendent au loin étouffés par la haie du jardin, j’imagine un instant qu’un voyeur aurait pu s’y dissimuler, attiré par mes cris de femelle en rut.
Situation cocasse tout de même, je suis entre deux hommes, l’un auquel je plais qui vient de me faire l’amour avec fougue, excité par la présence de mon mari voyeur, et mon mari que j’aime qui m’aime et qui aussi me fait jouir dans notre intimité…Cocasse et délicieuse, j’aime leur désir, j’aime le plaisir et la volupté coquine de l’atmosphère.
Je porte une simple chasuble courte sans rien dessous, le moindre mouvement improvisé laisse apparaître la courbure d’un sein, le haut d’une cuisse, le sillon entre mes seins, un téton, ou même si je m’assois un brin de mon entre jambe tout lisse…Aguicheuse ? Oui bien sûr, les moues et sourires ajoutent au tableau. Les bulles et la douceur de l’air complètent le bien être. Je déambule nonchalante, en glissant entre eux, en frôlant, ou déposant un baiser de ci de là.

« Et si c’était mon tour de dessert ? » je dis cela la main sur l’épaule de Lucas, le regard brillant, espiègle, vers mon JF. Alors en même temps que je m’agenouille, mes doigts font glisser à terre le bermuda de Lucas.
Je soupèse les boules d’une main et de l’autre le sexe déjà, ou toujours, bien disposé…
Je caresse les fesses, un doigt glisse au milieu vers son anus et je sens dans l’autre main la réaction instantanée du sexe qui se tend. A deux mains maintenant j’entreprends une lente masturbation. Je lève les yeux pour profiter du visage de plaisir de mon amant, un regard aussi pour mon mari dont je sais l’énorme excitation. Avant de le décalotter je dépose un premier bisou sur la fente qui s’ouvre, je contemple le résultat de mon expertise en voyant le liquide lubrifiant transparent de Lucas. Premier filament, nouvelle tension, grossissement, et tension encore de ce membre que je tiens à pleines mains. Une excitation qui se transmet a mon sexe, le plaisir que j’offre me fait mouiller. J’y glisse mes doigts pour profiter de ce lubrifiant et masturber encore davantage le pieu de Lucas. Ma salive va faire le reste, je suce maintenant, je titille le dessous du gland du bout de ma langue, puis l’entoure, puis mes lèvres se ferment, puis j’aspire, je suce entre mon palais et ma langue, la queue raide de Lucas. Mes joues se creusent pour bien envelopper le membre dans ma bouche, mes doigts font rouler les boules, Lucas se tend et balance son sexe vers moi, une main sur mes cheveux pour accompagner mes mouvements de pompeuse habile. Je ne peux pas tout gober de ce mandrin rigide, ma main complète. Je mouille du plaisir que je donne, des râles que j’entends, des muscles tétanisés que je touche, cuisses, ventre ou fesses. Je sais mon indécence, agenouillée, débraillée devant le sexe de ce bûcheron que j’astique avec entrain, je sais que mon mari profite lui aussi de ce jeu pervers. Lucas m’a fait jouir de sa bouche, je le ferai jouir de même.
J’enserre, suce, aspire, avec rapidité le gland et les anneaux rigides, ma main enferme et presse. Je remonte la queue raide sur le ventre de Lucas tout en la caressant de mes deux mains et ma bouche s’empare de ses boules que je gobe et que ma langue dessine a l’intérieur. Il est fou de plaisir. Le temps d’un regard vers la fente ouverte, les filaments lubrifiants unissent mes lèvres et mes doigts au membre redressé. Je reprends mon œuvre de suceuse appliquée, je sens les convulsions qui annoncent les spasmes. Plus vite plus fort plus loin je suce et suce encore, les doigts dans mes cheveux se crispent, Lucas voudrait défoncer ma bouche. J’ai chaud de l’excitation que je donne, mon sexe mouille pour les plaisirs que je sens sur mes lèvres et dans ma bouche, sur ma langue aussi. Je regarde en gros plan le mandrin que j’astique avec ferveur. Il va jouir, alors je suce et branle, je serre la bite et l’enveloppe dans mes joues. J’ouvre la bouche, ma main accompagne l’éjaculation sur ma langue et entre mes doigts, abondante encore. Il se vide en râlant et en me laissant serrer son membre. Je l’assouvis seule jusqu’à la dernière goutte puis j’avale la semence déposée sur ma langue, avec un regard aux deux hommes. Quelle bonne salope je fais…C’est vrai que là on est loin de l’épouse BCBG….sourire.
Je me relève et en passant auprès de mon mari je dépose sur ses lèvres un baiser. Il me suit jusqu’à la salle de bain, c’est une envie commune…
A notre retour Lucas a patienté et s’apprête à prendre congé. Je glisse à l’oreille de JF que j’aimerais que Lucas dorme ici, d’une moue convaincante je lui dis que c’est notre dernier jeu avec ce garçon.
« Lucas, reste dormir ici on a tous besoin de repos je pense… ». Lucas obéit à JF.
Nous dormirons à trois au moins un temps.
Au lever du jour je fais tout pour que Lucas me prenne en levrette et s’écroule en m’écrasant au moment du coït. J’avais ce fantasme en tête avant d’aller dormir…Je l’ai vécu, ardemment, profondément, vigoureusement, vraiment bien vécu, je savais que la taille, la forme, la rigidité, du membre allait avoir un effet des plus aphrodisiaques. Son membre gonflé excitait divinement le devant de mon vagin rempli, clito écrasé sur le lit et finalement dans la main de Lucas. J’ai fini anéantie, tremblante, des larmes de plaisir aux yeux. Ecroulée de jouissances lascives et de fatigue, écrasée, je me suis endormie sous le poids de mon amant encore bandé en moi, mouillée de son jus gluant, mes seins dans ses mains. Les miennes ont relâché les draps, mes doigts de pieds aussi se sont détendus tout comme mes fesses que le ventre de Lucas a aplaties et écartées.
J’ai dormi jusqu'à midi, Lucas était parti. JF somnolait érotiquement dans mon dos.
J’ai ostensiblement proposé ma fente chaude, humide et poisseuse pour qu’il s’y glisse délicatement, mon sexe encore dilaté des effets de Lucas…
Tendresses et amours ont bercé notre somptueuse journée de couple.

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