Leslie La40

Leslie LA40 - Laure, le journal intime - Une randonnée sympa

Un jour en vacances, j’ai fait une randonnée avec des amis, trois filles et quatre gars, et nous étions partis faire une escapade de trois jours dans les Pyrénées au-dessus de Perpignan, et la première journée fut marquée par un évènement qui allait changer la tournure de notre petite sortie.
En effet, j’étais partie le matin, avec mon bardas dans mon sac à dos et en m’habillant j’avais décidé de ne pas mettre de culotte et de rester nue sous mon short, ce qui fait que je me suis donc baladée toute la journée avec le bas des fesses qui dépassait du bas du short, et à ma grande surprise sans que cela ne choque personne.
Peut-être parce qu’allant à la plage avec eux, il m’avaient vu avec un maillot qui ne couvre pas grand-chose. Par contre pour moi de savoir que j’avais les fesses à l’air sous mon short, m’a procuré une certaine excitation.

Ce n’est qu’en fin de journée, par mégarde, je me suis accroché la poche arrière de mon short dans un fil de fer et à cause de la déchirure, je me suis retrouvée réellement avec une fesse à l’air.
Cela a tout d’abord surpris mes copines et bien fait rire les garçons, mais cela ne s’est pas arrêté là, car le soir au bivouac, pressée par les copines, j’ai dû avouer que j’aimais bien me balader sans culotte sous mes vêtements.
Alors elles m’ont provoquée en me suggérant de porter une jupe, le lendemain, si je voulais vraiment montrer mes fesses à tout le monde et elles m’ont misent au défi de le faire.
Je me suis exécutée dès le lendemain….

La jupe n’était pas trop courte et elles se sont empressées de vérifier que je ne m’étais pas dégonflée avant de partir. Au début, cela se passa très bien car je m’arrangeais pour n’avoir personne derrière moi et je la tenais quand le vent me la relevait. Mais au fil des heures, j’y faisais de moins en moins attention et bien entendu, une bourrasque en rattachant mes lacets et ce fut l’éclipse de lune en plein jour.


Résultat, on me fit passer devant pour que tout le monde puisse profiter du panorama. Au début, j’étais super gênée et mes copines jubilaient de la situation dans laquelle je m’étais mise. Mais bizarrement, l’idée que tout le monde me mate les fesses et le reste par la même occasion, commençait sévèrement à m’humidifier l’entrejambe.

Le soir dans ma tente, je me suis imaginé les deux garçons et la copine célibataires qui nous accompagnaient se masturbant en pensant à mes fesses et je n’ai pas pu m’empêcher d’en faire de même.
Le lendemain matin, Sophie une de mes copines me confia que j’avais mis son copain dans un tel état, qu’il lui avait fait l’amour comme un dieu et aux petits yeux de Chloé, je crois bien qu’il en avait été de même. Je n’étais pas peu fière de moi, même si finalement, je fus celle qui en profita le moins.
La dernière journée s’est passé normalement, mis ce n’est qu’en nous séparant que le troisième mec, célibataire me glissa à l’oreille :
- Quand tu veux pour t’accompagner en ballade !

Dans la semaine, je l’invitais à m’accompagner pendant le week-end pour faire une nouvelle ballade, il s’appelait Jérôme, plutôt beau gosse, sportif et bien foutu.

Hormis les chaussures de randonnée et les chaussettes adéquates, obligatoires pour ce genre de ballade si l’on ne veut pas revenir les pieds en sang, j’avais une petite jupe mi-cuisses et un petit débardeur bien décolleté qui mettait bien en valeur ma poitrine nue en dessous, partis tôt aux aurores j’avais mis une veste pour la fraicheur matinale.
Quand vers les dix heures, j’ai mis ma veste dans le sac, il m’a découverte dans toute ma splendeur, d’autant plus que l’on commençait à attaquer les chemins plus étroits et qu’il s’est retrouvé plusieurs fois derrière moi avec mon postérieur sous les yeux.
Mais toujours pas de réaction, il l’avait découvert lors de la ballade précédente et je le soupçonnais de me faire languir en profitant du spectacle…
Jusqu’au moment où, pour franchir un passage plus escarpé, il m’a attrapé les fesses sous la jupe pour me pousser, à cet instant je fus aux anges et je m’écartais plusieurs fois du chemin pour qu’il ait l’occasion de recommencer.


Au bout du cinquième passage, je me suis retournée et s’agenouillant aussitôt devant moi, c’est sa bouche qui est allée retrouver mon entrejambe enflammé.
Il m’a dévoré le minou, sans un mot, pendant plus de vingt minutes en équilibre sur les rochers.
Moi qui habituellement ferme les yeux pendant ce type de caresse, là je regardais l’immensité du paysage qui s’étendait devant moi et je savourais les ondes de plaisir qui me parcouraient la colonne vertébrale.
Il m’a ainsi bien fait jouir et pour le remercier, on a échangé nos places et je l’ai gratifié d’une belle fellation, jusqu’à ce qu’il se vide dans ma bouche.
On s’est ensuite embrassés alors que j’avais encore du sperme plein la bouche, ce que les garçons n’aiment pas trop d’ordinaire, mais cela n’eut pas l’air de le gêner.
Il devait être quatorze heures quand nous sommes arrivés au bord d’un lac où nous nous sommes baignés nus.
On s’est enlacé tendrement dans l’eau et je savourais la douceur de ses baisers et il m’a fait l’amour en missionnaire sur le bord du lac, mais dans un tel cadre, ses coups de reins avaient une saveur délicieuse et sans avoir un orgasme sensationnel, j’ai ressenti un doux état de plénitude.
On est reparti car le refuge était encore à plus quatre heures de l’endroit où nous nous situions.

On y est arrivé autour des vingt heures, mais pendant le trajet j’ai eu droit à nombre de caresses furtives ou plus appuyées et je n’avais qu’une hâte, c’était qu’il me prenne à nouveau.
Le refuge était plutôt spartiate, mais pour mon plus grand bonheur, il était désert.
On a grignoté un peu, avant que je me foute à poil et qu’il vienne me lécher la chatte et me labourer ensuite avec beaucoup de vigueur le minou.
Ce soir-là j’aurais adoré qu’il me la mette dans le cul car je ne déteste pas me faire sodomiser, mais je ne me voyais pas carrément lui demander de m’enculer comme ça la première fois…
Nous nous sommes endormis ivres de fatigue…

Le lendemain nous voilà reparti pour une deuxième journée.

Au milieu de cet isolement, après une heure de marche, je suis mise complètement à poil pour le plus grand bonheur de mon compagnon de ballade, et j’avoue qu’il en a profité pour me caresser à chaque fois que cela était possible, si bien qu’en fin de matinée, il faisait une chaleur épouvantable tant dans la nature que dans mon corps. Cela m’excitait beaucoup de me balader nue avec ce copain, au risque d’une rencontre imprévue, je m’imaginais surprise par des beaux mecs qui ferait ce qu’il voudrait de moi sous le regard ahuri de mon copain.
Au fil des kilomètres, je commençai à ne plus tenir compte de ma tenue et seul le balancement de ma poitrine dans les descentes un peu tendues me le rappelait.

A un moment je me suis retournée et j’ai vu Jérôme qui était en pleine érection, alors me plantant devant lui, je lui ai dit :
- Si tu bandes à cause de moi, dis-toi que j’en suis flattée !
Il s’est déshabillé, à l’ombre d’un grand pin et m’a attiré à lui
Il m’a demandé de le sucer un peu, puis en me faisant prendre appui sur le tronc de l’arbre, il s’est mis derrière et sans attendre il m’a pénétré.
Quand il est rentré et qu’il a commencé à s’activer, c’était divin, mais il a éjaculé un peu trop vite à mon goût, sans me faire jouir, il devait être trop excité.
Alors nous avons déjeuné à l’ombre du grand arbre, nus en nous regardant, puis je lui ai dit en le regardant dans les yeux ;
- Ca me tenterait bien que tu m’encules !

Il s’est levé, les yeux rivés sur moi alors que je mettais en levrette, et il m’a dit :
- Alors toi, t’es une sacrée salope !
- Ah, oui et pourquoi, demandais-je candidement.
- C’est la première fois qu’une fille me demande de l’enculer !
Il se positionna derrière moi et présenta son gland à l’entrée de mon petit trou et s’y enfonça très lentement.
J’ai eu un orgasme juste au moment où elle fut rentrée entièrement.
Puis il a commencé à remuer en cadence, et j’ai eu un monstrueux plaisir, cette colonne de chair qui s’enfonçais en moi, dans ma partie la plus intime, dans un paysage grandiose, c’était un véritable cataclysme des sens.

Les « oh oui » que j’ai poussés à cet instant, n’avaient rien à voir avec ceux que l’on balance pour faire plaisir à un amant, ils venaient du plus profond de mon être. Je crois que même mes masturbations solitaires ne m’avaient jamais procuré un plaisir aussi long et surtout aussi fort.

Plus tard, alors qu’il commençait à faire un peu sombre, cette semi obscurité me rendait encore plus électrique, il m’a une nouvelle fois sodomisé, ce fut plus sensuel que dans l’après-midi, car on s’est embrassé, il m’a prise debout, couchée, à quatre pattes et même penchée les mains au sol, il m’a fait jouir plusieurs fois, me laissant à chaque fois la bouche grande ouverte et la tête en vrac.
Quand on a eu fini, il faisait nuit noire et j’étais complètement vannée, on a sorti les duvets, que nous avons assemblés, et nous nous sommes glissés nus dedans.
Je pensais faire une bonne nuit en m’endormant près de lui, mais le dos tourné à lui, mes fesses contre son sexe, il m’a de nouveau sodomisé.
Le cul en feu, je me suis dit en me faisant enculer qu’il prenait goût à mon petit trou…

A suivre…

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