La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°241)

Suite de l'épisode 237 - Mary au château -

Durant que Mary suçait avec avidité la verge de son Maître, le silence régnait dans la Rolls. Seuls les bruits de sucions de la soumise et celui du moteur semblaient combler le manque de mots non prononcés. Quand au bout de quelques minutes, Walter rompit le silence en s’exclamant sur un ton enjoué et tout en conduisant :

- Monsieur le Marquis, vous m’aviez promis que la prochaine .. je pourrais …
- Hein ? …Ah oui … c’est vrai Walter !! J’avais oublié ce que je t’avais dit … Bon eh bien écoute … Tu vas t’arrêter dans le petit sous-bois et tu pourras te soulager en baisant cette petite chienne à ta convenance
- Merci beaucoup Monsieur le Marquis, je savais que vous étiez un homme de paroles

Mary releva la tête à la suite de ces mots prononcés et regarda son Maître un peu inquiète. Celui–ci lui fit signe de continuer sa fellation et de ne rien dire, tout en appuyant de Sa large main sur le crâne de la belle. La chienne obtempéra afin d’apporter entière satisfaction à son Vénéré Maître… Quand la luxueuse voiture arriva près du petit bois Walter se gara près d’une petite cabane de chasseurs. C’est à ce moment là que le Marquis d’Evans lâcha, en de nombreux râles de plaisirs, des giclées de spermes dans la bouche de sa femelle qui avala tout et nettoya la noble verge avec application. Quand tout d’un coup, elle sentit deux puissantes mains la tirer en arrière par les hanches. Walter venait d’ouvrir la porte arrière de la Rolls pour en sortir la soumise de son patron. Celle-ci surprise lâcha un cri mais compris vite que son Maître avec autorisé à son majordome de chauffeur de la baiser. Elle se laissa donc faire sous les yeux satisfaits du Noble.

Walter déposa Mary sur le sol avec une rapidité surprenante, pour l’attr de nouveau par les épaules pour la position debout puis il retourna Mary et lui obligea à se pencher ventre contre le capot et lui écarta les jambes.

Mary n’ayant pas de culotte, le cul bien rond et la chatte furent vite exhibés quand Walter sortit son énorme membre qu’il mouilla abondamment de sa salive et c’est d’un coup qu’il enfonça sa queue dans l’anus de la chienne. Celle-ci se mit à crier d’abord de douleurs puis vite, très vite de plaisirs. Walter masturbait la chatte de Mary tout en besognant son cul de sa verge raide comme un pieu. Tout cela sous les yeux amusés du Marquis d’Evans qui debout et bras croisés était venu en face de sa soumise. Il fixait les yeux de la belle. Mary croisa les yeux de son Maître et elle comprit vite le plaisir que celui-ci avait de la voir prêtée, baisée ainsi comme une prostituée. Le chauffeur au bout d’un moment laissa éclater sa jouissance en donnant de puissants coups de reins. Il se vida les couilles dans les entrailles de la chienne. Tandis que Mary laissa aussi éclater un très fort orgasme sous les yeux du Marquis satisfait …

Le reste du voyage se passa tranquillement, Mary ayant eu le droit de venir se blottir contre la poitrine du Marquis d’Evans à l’arrière du véhicule. Le châtelain lui caressait avec une infinie tendresse ses cheveux. Elle était si bien, elle se sentait protégée, en sécurité dans les bras de son Maître. Une dizaine de minutes plus tard elle aperçu le château quand la Rolls s’enfila dans la grande allée en traversant la grille du domaine.

La Rolls stoppa devant le perron du château. Walter, en bon chauffeur sortit le premier pour aller ouvrir la porte du côté de son patron. Celui-ci sortit et tous deux contournèrent le véhicule. Le chauffeur ouvrit la porte de Mary, prit le bout de la laisse et la présenta pour la donner au Marquis d’Evans. Le Noble, la tête haute, tira sur la laisse en disant à Sa chienne.

- Tu vas sortir de la Rolls à 4 pattes et ainsi tu monteras les escaliers du perron pour entrer au château derrière moi en bonne chienne attachée à sa laisse.

Le Maître tira de nouveau sur la laisse en se retournant.
Il aida Sa soumise à descendre à quatre pattes, Il lui donna avec fierté une tape sur les fesses puis Il avança tirant d’un coup sec sur la laisse. Mary avança péniblement car les gravillons rouges de la cour lui faisaient mal à ses genoux et à la paume de ses mains. Puis les marches en pierre écorchèrent légèrement sa peau. Walter avait devancé le couple pour ouvrir la massive porte d’entrée du château. Le Maître et Sa soumise entrèrent dans l’immense hall d’entrée où chaque pas raisonnait comme dans une église. Mary appréciait le carrelage lisse en damier noir et blanc qui malgré sa froideur ne blessait pas l’épiderme de ses genoux. Sans plus attendre, le châtelain se dirigea de suite vers une porte latérale à double battant. Un énorme tapis épais permit à la soumise d’apprécier le moelleux du sol sous ses genoux endoloris. La première chose que Mary entendit, fut un petit bruit sec d’une boule frappée. Quand elle osa relever légèrement la tête, elle aperçut un volumineux billard américain trônant en plein milieu de la pièce richement décorée de tableaux, bibelots et tentures. Autour du billard, 2 hommes Dominants aux costumes impeccables de bonne facture. Il s’agissait de deux blacks géants ayant pour chacun une canne à la main et qui réalisaient une partie de billard des plus acharnées. A l’entrée du Maître des lieux, ils arrêtèrent la partie, se retournant et saluant avec un grand respect le Marquis d’Evans

- Bonjour Benjamin, bonjour Victor, dit aimablement le Noble.
- Bonjour Monsieur le Marquis.
- Regardez ce que je vous ramène mes chers amis africains ! Quand vous êtes arrivés en tant qu’Invités VIP et Maîtres incontestés de votre beau pays le Sénégal, je vous avais dit qu’ici vous pourriez profiter de Mes esclaves… Voici ma dernière acquisition, cette belle petite chienne blanche du nom de Mary…. Je vais vous la laisser du temps que j’ailles me changer, faite-en ce que bon vous semblera … Ha ha ha ! … dit le Marquis tout en tapotant, avec affection de sa large main, la tête de Sa chienne.


Le Marquis sourit et sortit lâchant la laisse sans dire un mot de plus. Mary se retrouva seule, nue, à 4 pattes et quelques peu apeurée devant ces 2 inconnus qui déjà lui passaient des mains baladeuses sur sa croupe et son dos. Benjamin, le plus baraqué, prit la laisse et la tira à lui, obligeant Mary à le regarder. Il approcha son visage dominant de celui de la belle et lui dit dans un accent africain :

- Tu sais jouer au billard, petite femelle de France ?
- Heu … oui un peu mais …

Deux claques fusèrent sur les joues et Mary ne les vit pas venir qu’elle faillit en tomber à terre étant quelque peu déséquilibrée

- Tu réponds : ‘’Heu … oui un peu, Maître Benjamin !’’ OK ? Chienne …
- Heu … oui un peu, Maître Benjamin !’’
- Bien alors voila ce que tu vas faire, tu vas jouer à ma place et donc tu vas frapper la boule blanche et si aucune autre boule entre dans un des trous du billard, ça voudra dire que tu me fais perdre et tu seras punie à chaque fois que tu me feras perdre. Et si tu arrives à me faire gagner, c’est mon frère Victor qui te punira car tu l’auras fait perdre… T’a compris petite femelle à punir …
- Mais … ? Je … (Mary compris qu’il valait mieux ne pas contester quoi que ce soit voyant la main du Maître black se lever) .. Oui oui j’ai bien compris Maître Benjamin …

(A suivre …)

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