Ma Chef De Service

Je suis le mari de Dominique,( voir les autres récits de Pipistrele) Daniel fonctionnaire au ministère des relations extérieures avec le parlement, c’est pas emballant comme métier mais il en faut. A notre étage nous sommes une trentaine de mecs et nanas en costard et faisons notre boulot sans faire trop de zèle. Notre chef de service s’appelle Elizabeth, belle femme, la quarantaine toujours habillée stricte et avec goût. Elle ne plaisante jamais ce qui ne l’empêche pas d’être sympa. Nous nous posons nous les hommes toujours la question quand elle déambule dans nos couloirs de ce qu’elle peut mettre comme dessous. Comme elle a l’air coincée porte-t-elle des sous-vêtements aussi élégants que ses tailleurs très BCBG, des bas ou des collants. Les filles du bureau pensent qu’elle est toujours vierge. Pas possible qu’on se dit, une belle couguar comme ça. Et les journées passent ainsi ( pas seulement à reluquer notre chef mais aussi à bosser).
Arrive le départ en retraite de l’un de nos collègue d’un autre étage et tout le monde est
invité. Il a fait les choses bien le Gérard, champagne, whisky, petits fours chauds et froids, salés et sucrés, bref l’ambiance d’un départ en retraite réussi. Tout notre étage est présent y compris Elizabeth qui pour l’occasion est habillée à la perfection tout en restant on ne peut plus stricte.Chaussures de marque à grands talons, tailleur noir qui lui moule les fesses, jambes gainées de noir, parfum discret. C’est elle qui s’y colle pour un discours. L’attention des hommes était plus attirée par cette femme que par ce qu’elle racontait, ça se voyait à la façon dont ils lui mataient le cul moulé dans sa petite robe noire. Là nous nous posions la question « bas ou collant » et va des commentaires plus graveleux les uns que les autres « je paris qu’elle ne porte pas de culotte ? » « qui c’est qui te l’as dit ? » « mon petit doigt !! » etc etc enfin des commentaires d’hommes quoi. On se croit intelligents mais qu’est ce qu’on peut être bêtes parfois surtout quand nous avons bu un petit coup.


Je n’étais pas le dernier à reluquer Elizabeth, je la voyais papillonner de chefs en chefs de tables en tables avec un verre toujours plein. En me rapprochant d’elle je m’aperçus que si son verre était plein c’est parce qu’elle le buvait instantanément et à ce rythme, la soirée avançant, Elizabeth était pompette, je ne l’avais jamais vu ainsi.
Le personnel de notre étage est resté dans les derniers et Elizabeth à ce moment était complètement ivre.
Nous ne pouvions pas la laisser rentrer chez elle dans cet état. Etant son plus proche voisin c’est à moi que revint cette( je ne sais pas si je peux appeler ça ainsi) corvée.
« Madame, je vous raccompagne chez vous »
« Tu crois » me dit elle (elle n’a jamais tutoyé aucun d’entre nous, c’est vous dire dans qu’elle état elle était ).
Elle prit son manteau avec difficulté et en titubant nous sommes allés à la voiture. Dehors il faisait nuit et froid.
« Daniel, tu es gentil toi, tu es bien le meilleur du bureau. Il faut que je t’avoue quelque chose, j’ai oublié de faire un gros pipi avant de partir et comme j’ai dû boire un peu trop, ça urge, je vais remonter aux toilettes, attends moi » bafouilla-t-elle.
« A l’heure qu’il est vous savez l’alarme est en service nous ne pouvons plus entrer ».
« Et là nous sommes dehors hein ! »
« Oui, allez venez jusqu’à la voiture vous pourrez bien tenir jusqu’à chez vous ».
« Tu Tu te rends rends pas coompte, tiens touche touche ma tête, ça ne fuit pas ?, le pipi remonte jusque là, je ne pourrais pas tenir plus longtemps, il faut absolument que je pisse, que je piiissse n’importe où, n’importe comment mais il faut absolument que je piiisse. Elle est où ta voiture je vais faire pipi derrière, tu ne regardes pas, hein ».
et sans crier gare elle met son sac à main sur le capot et elle se pose en titubant derrière un véhicule qui n’est pas le mien. Je n’ai pas fait le voyeur, je distinguais seulement son buste au travers des deux vitres de l’auto, elle faisait des effort pour trousser sa robe j’entendais le froissement de sa jupe le froufrou de sa petite culotte, et avant qu’elle n’eut le temps de finir de descendre celle-ci et de s’accroupir un bruit de cascade chuintante me parvint aux oreilles, les chutes du Niagara.
Elle pissait, elle pissait debout et ça n’en finissait plus si bien qu’un torrent, fumant et moussu traversa sous la voiture pour finir dans le caniveau.
« Ouf, t’as vu, j’avais une envie pipi pas possible, je ne sais pas ce qui m’a fait ça »
Moi je le savais bien, elle n’est pas habituée à l’alcool et je me demandais si ce n’était pas sa première cuite.
Et maintenant en voiture pour une petite heure. J’ai eû toutes les peines du monde à boucler sa ceinture, elle ne tenait même plus vraiment assise. Ce n’est pas beau une femme saoule surtout de sa classe.
Elle s’est à moitié endormie en racontant n’importe quoi quand soudain elle lâchât un gros « prrrouuut » suivi d’autres pets moins bruyants elle se penchait sur une fesse pour libérer des gaz qui couvraient l’odeur suave de son parfum, elle me dit « nous arrivons bientôt ! ? »or nous n’étions pas parti depuis plus d’un quart d’heure.
« Maintenant c’est à l’arrière que ça pousse, ça veut sortir, je crois que je vais avoir un dérangement intestinal, j’ai dû manger quelque chose de pas frais ».
Mais oui, c’est ça si tu n’avais pas tant bu me dis je. Et elle continuait de péter toujours en dégageant une fesse.
« Au prochain feu, je sais qu’il y a un bistrot d’ouvert, je vous accompagnerai aux toilettes »
« Tu me dis bien que dès qu’on s’arrête je peux aller me présenter sur le trône, t’es gentil toi, tu prends bien soin de moi »
Elizabeth était vraiment complètement paf pour me parler ainsi.
Voilà le prochain feu, il est rouge, je stoppe et je la vois qui se met à forcer. Une espèce de gargouillis foireux sortit de son cul, elle était en train de chier dans sa culotte sur mes sièges. J’ai des housses imperméables mais je ne pense pas qu’elles résisterons si elle insiste. Le feu passe au vert je redémarre car il y a des gens qui attendent derrière moi.
«On ne part pas déjà, pourquoi tu me fais ça, je n’est pas fini » et ‘frrrouttt’ elle en remet une couche dans sa culotte et par là même dans la voiture.

Je pense que, vu son état, elle se croyait sur les toilettes du bistrot, je vous dis pas l’odeur dans l’habitacle.
Le reste du parcours elle s’est à moitié endormie. Je la traînais comme je pus jusqu’à son appartement, je fouillais dans son sac pour trouver ses clés. Je ne pouvais pas la laisser comme ça. Elle était emmerdée au sens propre (si je puis dire) et moi aussi j’étais emmerdé (au sens figuré) (c’est bizarre comme la langue française est fleurie).
Je n’étais jamais entré chez elle, c’était meublé avec goût ça sentait (si je puis encore dire) le luxe. Après avoir trouvé un drap, je l’installais sur le lit, elle était dans un état second, et je me mis en devoir de la déshabiller. Il fallait avoir le cœur bien accroché, de la merde molle il y en avait partout, petite culotte, sexe, fesses, anus, dos, cuisses, collant (j’avais la réponse à notre question de ce soir, elle ne portait pas de bas mais un collant) ce qui avait peut être permis de limiter les dégats. Une éponge, une cuvette feront l’affaire et me voilà en train de laver le derrière de ma chef de service. C’était pas très ragoûtant mais je m’attardais sur sa rosette, ce beau petit trou du cul qui n’avait pas été capable de lui faire garder sa dignité en s’ouvrant mal à propos. Quand la besogne fut finie, je me rendis compte que c’était un sacré beau brin de fille. Fesses moulées à souhait, sexe épilé avec ticket de métro (qui l’eu cru) cuisses et jambes parfaites ( en parlant de ça, je m’aperçois qu’elle a perdu une de ses chaussures à talon) je ne vous parlerais pas de ses seins je lui ai laissé son soutif, il n’y en avait quand même pas jusque là.
J’aurais pu la sauter là, étendue sur le lit à poil, c’était tellement tentant que je bandais. Elle ne s’en serait même pas aperçue. Je ne l’ai pas fait, un tel acte aurait été un viol.
J’ai fait ,si je puis dire, la vaisselle.J’ai mis le drap et les vêtements souillés dans le lave linge Je lui ai mis un verre d’eau avec de l’aspirine sur la table de nuit, je lui ai enfilé son beau pyjama , j’ai éteint la lumière de son bel appartement et je suis rentré chez moi pour raconter cette aventure à Dominique mon épouse qui s’en trouvât toute émoustillée.
J’étais en forme, j’avais toujours dans la tête les formes d’Elisabeth ma chef de service, alors ma femme en a profité, on a baisé comme il n’est pas possible.

Le lundi suivant, je vois entrer notre Elizabeth toujours moulée dans un tailleur strict. « Daniel, je compte sur vous pour ne pas ébruiter ce qui s’est passé vendredi, j’espère ne pas vous avoir gaché la soirée, je me souviens vaguement que vous avez eu la bonté de me reconduire. Je ne sais pas ce qui m’est arrivée j’ai comme une absence de mémoire. Quand je me suis réveillée, j’avais mal au crâne, il flottait une drôle d’odeur dans l’appartement, un verre était posé sur ma table de nuit avec un calmant. Je me suis dis tiens quelqu’un est venu, je suppose que c’était vous, je ne devais pas être très fraîche. Je vois que vous êtes un gentleman car je sais que vous n’avez pas abusé de la situation. Je l’aurais remarquée car je peux bien vous l’avouer je suis encore un peu vierge, je vous expliquerai cela un jour, peut être. Vous avez perdu une belle occasion mon vieux, j’ai toujours eu peur du premier rapport sexuel et comme je n’étais pas dans mon état normal peut être aurais je apprécié s’il s’était passé quelque chose entre nous et je ne pense pas que j’aurais porté plainte ».

Ben merde alors (si je puis dire) quel con je fais, laissé passer une telle occasion

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