L'Autre Épisode De La Vie De Louis ....

Voici le deuxième et dernier récit de louis...



Bonjour, Georges. Je vous envoie le récit du voisin retraité.
Mon épouse (Nicole) marre des transports en commun et n'accepte plus, et changement d'adresse de l'agence de verre optique ou elle travaille. De République ou elle était installé, la voilà, transférer à Créteil. De plus le Président de La République de l'époque, évoque le 1er Janvier 1981, d'une possibilité de guerre du au conflit en Pologne. Mon épouse désire un troisième , nous mettons tout en œuvre. Mon frère voulant lui revenir sur Paris ou sa région pour travailler, laisse donc sa maison qu'il achète en viager libre. Fin Mars, mon épouse m'annonce qu'elle est enceinte, en plus des vomissements lors des voyages en RER et métro, notre médecin l'arrête, et demande un arrêt à la campagne. La maison de mon frère libre depuis le 1er avril va devenir notre habitation. Cette maison est située entre Auxerre et Avallon dans l'Yonne. Belle région que la Bourgogne, Champignon, escargot, châtaigne etc... Bien sûr bons Vins. Nous arrivons début Mai, après quelques aménagements et transformations, nettoyage de l'étable et du garage, poulailler, grenier etc. Nous voilà avec un poney une chèvre et ses deux petits un male et une femelle, un veau ( nommé MITERRAND ) car né le jour de son élection, des poules pondeuses coqs et poulets à engraisser pour mettre au congèle, et bien sur après avoir fait labourer le jardin de 2000 mètres carré , et avoir passé le motoculteur dans tous les sens pour casser les mottes de terre laissée par la charrue, nous voilà semer des haricots verts et au beurre, radis carottes et courgettes, pour ces dernières on plante toutes les graines c'est sans compter que ce légumes se plait bien dans toutes les régions et pousse vraiment très bien, lorsque le légumes est près à ramasser, j'y aller avec la brouette et je faisais plusieurs tours, on n'est jardinier, vraiment amateur.

Et, nos voisins de droite une famille avec trois s des âges de nos filles, deux garçons et une fille. Ce sont les fermiers qui nous ont labouré le jardin et qui nous vendent le lait tous les soirs, là les vaches ne prennent pas de week-end. De l'autre côté un retraité qui a perdu sa conjointe. Nous sommes encouragés par nos voisins de nous voir nous afférer comme cela auprès de cette terre inculte depuis le départ de mon frère et de sa femme et ses deux fils. Ma sœur aînée demeure dans ce village à 200 mètres de notre maison, une famille de fermiers les parents retraité le fils et sa femme ainsi qu'un fils de 4 ans et comme mon épouse attend son deuxième. Nous ne sommes pas nombreux dans ce village du bas car il y a le village du haut, nous sommes 15 adultes dans ce village du bas et et 11 s. Le haut compte à peu près 50 habitants. Toutes les maisons du bas sont adossées à une petite colline de pierre . Notre maison est constituée d'une grande salle ou est la cuisine et le séjour et de 3 chambres, et une salle de bain qui a remplacé l'ancienne cuisine. et au-dessus une grande pièce de la superficie de toutes les pièces du bas, elle est en surplomb de bien 2m.20 par rapport à la cour une belle terrasse qui forme un U par un chemin ou sont installés des cages à lapin et ou, on étend le linge sur des fils suspendus entre deux T ( étendage "peut-être appeler") et donne sur une pièce qui est située sous le poulailler, et un escalier qui descend sur la cour coté garage, ensuite la pièce ou l'on coupe le bois et enfin l'étable avant d'arriver au portail, en repartant de l'autre côté nous avons le WC , puis nous avons l'escalier pour arriver au perron de la porte d'entrée à gauche et devant celui-ci la terrasse. Bien sûr, nous avons fait connaissance de notre voisin de gauche ce retraité, qui se plaint de sa solitude et parle sans cesse de sa défunte femme. En attendant la fin de la traite une grande partie du village du bas et quelques uns du haut discutent de choses et d'autres, avant que ce retraité vienne rejoindre le groupe.
Les gens bien intentionné parle de cet homme en son absence et c'est comme cela que nous avons appris mon épouse et moi-même que Pépé-Fraisier (je l'appellerais ainsi, car son nom de famille était proche de celui-là. Et qui donnait de nombreuses fraises à mon épouse car, elle avait des envies de fraise. Donc, nous apprenions que ce Pépé avait une jeune femme de ménage de 20 ans qui venait chez lui et qu'elle ne mettait pas de petite culotte, cela faisait rire toute l'assemblée. Mon épouse aussi ne mettait pas de sous-vêtement. Fin juin Pépé nous invite à boire un café chez lui, c'est un dimanche, la veille j'avais fait la route pour repéré le trajet car la boite d'intérim m'avait enfin trouvé du travail dans une laiterie assez loin de la où nous demeurions. Il y avait 3/4 d'heure de route. Nous buvons ce café et discutons, et mon épouse dit à Pépé vos voilages sont sales, le fait était qu'ils en étaient gris. Et elle demande à Pépé :
- Nicole : Que fait votre femme de ménage d'aide à domicile.
- Pépé (un peu gêné qui en rougit) : Elle fait, la vaisselle et boit le café avec moi tout en discutant.
- Nicole : Elle ne fait rien d'autre,
- Pépé (honteux) : Comme : (une hésitation) puis : comme ça, cela me fait de la compagnie.
- Nicole : Vous ne dîtes rien pour ce manque de travail.
- Pépé : Elle ne vient que deux fois deux heures çà passe très vite.
- Nicole : Elle vient en plus deux fois.
- Pépé : Oui, le mardi et le vendredi après-midi de 14 à 16 heures
- Nicole : Demain, je viendrais enlever vos voilages pour les laver.
- Pépé : Vous êtes gentille Nicole.
- Moi (loulou) : Fait attention c'est haut (les murs font 2m70 de haut au lieu de 2m50 habituellement)
- Nicole : Je ne suis pas handicapée, je suis enceinte de 3 mois seulement.
- Pépé : Je suis là, et il y a un escabeau dans le WC avant d'entrée (son WC est sur le perron)
Nous continuons de parler de choses et d'autres, et il nous fait visiter : après la porte d'entrée, une petite entrée une porte à gauche qui donne sur une petite salle de bain ou il y a un lavabos et une baignoire sabot, puis en face de ce couloir la cuisine à droite le séjour ou nous étions, le couloir tourne à droite et dessert la chambre de Pépé, du séjour une porte fermée et qui conduit sur un couloir et dessert deux chambres coté Sud, Mais ce sont le s qui ont les clés.
En visitant, nous avons pu constater que le ménage n'est pas du tout fait, du linge sale par terre dans la chambre et dans la baignoire. Sur lui même Pépé laisse apparaître une certaine négligence, il n'y a pas que du bronzage. Nous retournons boire un autre café et le pousse café, c'est mon épouse qui part dans la cuisine faire un autre café. Le café finit elle, nous sert celui-ci et Pépé rempli les verres à digestif, c'est une prune un peu forte dit-il.
- Nicole : Oui (en s'étouffant par l’alcool) le fait-est qu'il est fort
- Pépé : Ça, fait du bien et çà fait digérer.
- Nicole : Il y a pas mal de ménage à faire chez vous Pépé, je viendrais demain toute la journée, et vous prendrez une douche.
- Pépé : Nicole, vous n'êtes pas obligé.
- Nicole : C'est pour vous, c'est à elle de le faire, au lieu de vous faire voir son cul.
- Pépé : Vous êtes au courant qu'elle ne met pas de culotte et en plus elle me fait quelques gâteries. Les ragots courent toujours aussi vite ici.
- Nicole : Elle pourrait en faire un peu plus tout de même.
- Pépé : En deux heures, elle n'a pas trop de temps...
- Nicole : Tout de même, cela est vite fait une gâterie, non, pas vrai.
- Pépé et Moi : Eh, bien Nicole.
- Nicole : Quoi c'est vrai, waouh j'ai chaud.
Le sujet s'arrête là et nous rentrons chez nous. Le lendemain je pars à 5 heures moins le quart, pour ne pas être en retard car je commence à 5h45 tous les matins du lundi au samedi et je quitte d'après ce que m'avait dit l'intérim à 16h45. On faisait 10 heures par jour. Le lundi soir je rentre entre 17h30 et 17h45, je rentre la voiture dans la cour, mon épouse étend le linge ce sont des voilages, elle est en minirobe blouse, elle se trouve en surplomb j'arrive vers elle avant de prendre l'escalier du côté garage, je la regarde elle est sur la pointe des pied et les bras levés pour épinglé ces voilages et je vois son cul nu, je monte les escaliers et arrivé à sa hauteur je l'enlace et lui roule une pelle en relevant sa minirobe pour lui peloter les fesses, elle se laisse faire et me dit :
- Nicole : Laisse- moi finir, en attendant sert nous un café avec un nuage de lait chaud pour moi.

- Moi : Ouais comme d'habitude.
Elle termine d'étendre le linge et me rejoint :
- Nicole : J'ai lavé les voilages de Pépé, quel jus noir qui est sorti, je les ai lavés deux fois tellement ils étaient sale.
- Moi : Tu y as été vêtue comme çà.
- Nicole : Toi, tu vois le mal partout.
- Moi : Tu es montée sur l'escabeau pour les retirer les rideaux.
- Nicole : Bien-sur sinon c'était trop haut.
- Moi : Tu es comme sa femme de ménage tu lui montre ton cul.
- Nicole : Ah! Voilà, tu n'es qu'un jaloux...
- Moi : Eh! bien quand même, il en a profité non
- Nicole : Eh bien oui ! En plus il a tenu l'escabeau et il a pu profiter de la vue de mon minou en plus, t'es content.
Sur ce, j'arrête là, un peu contrarié, de savoir qu'elle retire les rideaux de Pépé complètement nue sous une de ses minirobe. Arrive l'heure d'aller chercher le lait, j'aime bien y aller car souvent je bois le ratafia avec François le fermier. Pépé arrive plus tôt que d'habitude tout frais tout rose , lavé, rasé, coiffé, et porte des vêtements repassés , pantalon noir et une chemisette blanche, chaussures cirées, les réflexions vont de bon train du genre. Eh, bien Pépé, il va neiger. Ou : Tu t'es trouvé quelqu'un : Qui est-ce? Ce n'est pas ta petite pute, etc.etc. C'est çà la campagne, je n'en revenais pas.
La soirée ce passe, mon épouse ne dit plus rien, je n'entame aucune conversation non plus, et nous, nous couchons, j'ai installé une télévision aussi dans notre chambre. Les heures de travail et de route me font souvent somnoler, le film du soir se termine, elle continue à regarder la télé, je commence à la caresser en passant ma main sous sa chemise de grand-père qui lui sert de chemise de nuit, celle-ci est bien fendue sur les deux côtés, je lui caresse les cuisses et ma main va se réfugier du plus naturellement possible sur ce minou brûlant et à peine effleurer ses grandes lèvres, elle a la chair de poule, je commence à vouloir introduire un de mes doigt entre ses grandes lèvres pour découvrir son berlingot.
- Nicole : Non, tu rêves
- moi : Tu fais la gueule
- Nicole : Non ce que tu penses de moi
- Moi : Oh! Tu as fait pire dans le métro
- Nicole : ah! Ne commence pas, dort
La nuit se passe, le lendemain mes 3 collègues féminines et ma chef, me demande ce que j'ai, car elles ont vu qu'il y avait quelques choses qui n'allait pas, et ma chef une femme de 40 ou 45 ans bien faite, avec comme tous les hommes disent : elle a ce qu'il faut ou il faut. Me demande après l'heure de sorti ce que j’ai. Je lui explique que mon épouse a été chez le Pépé lui retiré ses rideaux pour les laver et qu'elle était nue sous sa minirobe, et que le Pépé a même vue son minou car il tenait l'escabeau et j'ajoute que c'est elle qui m'avait dit que Pépé tenait l'escabeau. Elle me raconta son histoire, lorsqu'elle était au lycée, elle se faisait de l'argent de poche en faisant le ménage chez un homme de 59 ans seul, et qu'elle aussi aimait se balader à poil sous ses jupes courtes ou robes. Et ce qui lui en a coûté de tomber enceinte à 16ans et 9 mois, et que ses parents ont voulus qu'elle se mari, et que cela fait déjà 25 ans l'âge de sa fille. Et elle ajouta, si votre femme aime cela, vous n'y pourrez rien, car elle le fera même si, je ne le veux pas car elle a toutes ses journées pour le faire, pendant que je bosse. Cela, m'avait réconforté un peu et puis je lui avais expliqué ce que j'avais appris de mon épouse. Je rentre vers 18 heures, et comme la veille nous buvons le café et on parle de choses et d'autres puis, étant debout à côté de moi, elle m'avoue qu'elle a été laver les carreaux du Pépé, et remettre ses voilages en place avec l'escabeau que tenait Pépé,( cela me démange, de réagir, mais je suis le conseil de ma chef, je ne fais rien ) En me disant cela, elle passe sa main sous sa robe pour se gratter une de ses fesse pour me montrer qu'elle n'avait pas de culotte. Je remplace sa main par la mienne et je la gratte un peu et lui caresse le fessier de ma main gauche, et me tournant vers elle je glisse main droite sur foufoune, qui est très chaude, je glisse un puis deux doigts dans sa fente et je lime nénette avec ses deux doigts, et je lui dis :
- Moi : T'aimes çà, montrer ton (et j'épelle les lettres) C, U, L. Tu mouilles ma cochonne
- Nicole : Oui, j'aime çà, j'en ai envie, baises moi
- Moi (tout en introduisant un troisième doigt dans son sexe et d'aller et venir plus rapidement et plus violemment)
Moi, aussi j'en ai envie, mes les filles risquent de rentrer à l'improviste
- Nicole : Baises moi, baises moi de suite
- Moi : Non, pas de suite il y a les gosses
- Nicole : Baisse ton froc que je m'empale dessus, aller (elle défait le bouton de ma ceinture, je me soulève pour qu'elle glisse la fermeture éclair. Elle me branle et s'empale sur ma bite tendu)
- Moi : T'es folle, mais c'est bon ma sal...(Un blanc) ma cochonne.
- Nicole : Je ne suis pas ta salope, baises moi, baises moi comme une salope, mais pas comme ta salope.
Nous avons fait l'amour, et comme tous les soirs, nous avons récupérées nos filles chez nos voisins, ma femme est chaude, nous mangeons et nous nous couchons. Le film terminé, je n'ai pas vu la fin, comme tous les soirs, je dors nu. Je sens la main de ma femme sur ma queue qui la porte à sa bouche, elle me lèche le gland tout en me masturbant pour qu'elle prenne du volume, puis, elle le prend dans sa bouche et l'avale complètement et commence des vas et viens, à l'aller elle salive bien et le prends à fond et reviens sur le gland en raclant ma tige tout le long avec ses dents, l'oiseau prend sa dimension distendue, peut-être plus que d'habitude, je ne me plains pas de se supplice, mais il me faut me retenir car cette gâterie, est folle, elle joue avec mes bourse se tape sur le visage avec ma queue, se tape la langue avec celle-ci, me glisse un doigt dans le cul. Je geins de plaisir, je prononce avec du mal des mots sans suite, mais elle s'emploie si bien à cette bouffarde, les mots sorte plus clairement lorsque je sens la moutarde montée
- Moi : Attention çà vient, çà vient, (surpris, elle continue de me sucer, d'habitude il faut que je me retire ou lui dire qu'il arrive pour qu'elle se retire) Nicole çà vie...ent, OUI, OUI-OUI c'est bon salope, c'est bon t'en fait autant à Pépé
Elle a tout pris dans sa bouche je ne l'ai pas vue recracher (pour une femme qui n'aime pas çà soit disant)
- Moi : C'est bon, t'aime çà, dis-donc
- Nicole : Non je n'aime pas trop çà, mais quand je suis enceinte, ma libido augmente, et j'ai toujours envie d'une bite.
- Moi : Ah! C’est pour çà. (Je pense que c'est pour çà qu'elle va chez Pépé à poil sous ses mini robes) (Mais je pense qu'elle a compris que j'ai dit c'est pour çà car elle est enceinte car elle ne répondit pas à cette phrase.)
- Nicole : Embrasse moi et prend moi comme une chienne, viole moi. Je veux du sexe.
Et nous avons baisé comme des fous je l'ai sucé, mordus, cinglés les seins, les fesses, le sexe le clito rougit et agrandi par des sucions à ne plus finir, de tapes sur son sexe ouvert, par mes genoux qui écartent les siens le plus possibles. Des coups de bite sur son visage, seins sur son sexe, et enfin des vas et viens tantôt lents et tendre et tantôt fort claquant mes couilles le long de ses fesses, dans un clapotis qui s'accentue au fur et à mesure que madame prends son pied en gémissant et grommelant des mots presque inaudible. Je suis obligé d'essuyer sa chatte à plusieurs reprises tellement son jus s'écoule comme des jets violents repoussant mon sexe du sien, une fois asséché, je re-claque son sexe de la main et de mon sexe, et au lieu de la pénétrer je me branle le long de son clito écartant ses grandes des mes mains, ceci la rend encore plus folle et ses mots sans aucun sens et toujours aussi inaudible à part quelques uns tel-que : "oui frappe moi, plus fort" " vas-y salaud, baises-moi" "encore, encore" j'essaie de lui faire dire des phrases du style : " je suis ta salope" ou "oui, je suis ta pute" Mais, elle ne dit rien de tout cela, j'entends de temps en temps " oui, je suis une salope" "oui, c'est vrai je suis une pute" " tu crois que tu me suffit, mais il en est rien" Et là les derniers coups de reins sont fous et violents, que l'on entend le sexe de madame évacuer de l'air et jus en un pet vaginal très sonore, ce qui nous fait rire et enfin les couilles me faisant mal même très mal de me retenir, libère en des jets puissants et chaud car elle le dit : HUMM, c'est bon c'est chaud,
Et, voilà, une bonne soirée et le boulot le lendemain ou mes collègues ne m'ont pas demandé ce que j'avais c'est plutôt du genre car les femmes n'ont pas leur langue dans leur poche surtout si le male est seul contre 4 plus ou plus belles les unes que les autres. Ce matin là : c'était plutôt : alors tu as bien baisé cette nuit. Le samedi arrive, la pause café du matin sera retardée, à midi, mes collègues m'emmènent, dans un local ou sont vendus au personnel tous les beurres et fromages qui ont été coupé en deux pour vérification de conformité et l'hygiène. Ce qui est intéressant pour les salariés. Et, elles m'avertissent et me disent aujourd'hui, nous finissons une heure plus tôt, et comme on ne déjeune pas, on termine à 14h45. Je ne préviens pas mon épouse par téléphone, l'heure de la sortie arrive, j'ai une cagette pleine de beurre et de différents fromages, j'arrive donc deux heures avant, il est entre 15h30et 15h45, je rentre la voiture dans la cour et monte avec ma cagette pleine. Je ne vois pas mon épouse, les filles sont en train de jouer à la balançoire chez les voisins, je les ai vu en passant devant, j'appelle : "NICOLE, Nicole" pas de réponse, je ressort de la maison et je me dirige vers le poulailler, toujours pas d'épouse, je rentre dans l'enclos des poules, elles piaillent, je leur donne du grains rapidement pour qu'elles se taisent, çà y est : elles ne gueulent plus, je vais vers le grillage du coté du Pépé, j'ai la vue sur sa cuisine qui est ouverte et sa chambre, dont la fenêtre est ouverte, et, là : je vois mon épouse nue en train de chevauchée Pépé, elle y va cette garce, elle s'agite comme une folle sur ce membre, que je ne vois pas. Elle monte et redescend sur cette queue, vieille mais encore verte d'après ce que je vois, je n'entends pas ce qu'ils disent, mais je les vois en action Pépé, une main voir les deux de temps en temps sur les fesses de mon épouse, qui ne cessent pas de monter et descendre sur cette tige, et elles s'avancent et et se reculent et vont de droite à gauche, le sexe de mon épouse doit -être en ébullition car mon épouse va dans tous les sens pour mieux apprécier le sexe tendu de Pépé, elle veut cette pine entièrement dans son sexe, et le sentir tout le long de ses parois. Pépé, n'arrive plus à contrôler la cadence, il subit, il lui pince d'une main les seins et surtout les tétons, il doit lui faire mal car j'entends mon épouse hurler:
- Nicole : TU ME FAIS MAL SALAUD
Pépé doit lui répondre car je vois ses lèvres bouger, mais je ne l'entends pas. Elle s'arrête, se retire, caresse le torse poilu de Pépé, des poils bruns ressortent de cette toison presque blanche, et ses mains descendent le long de son corps. Elle soulève son bassin et descend son cul vers les pieds de Pépé, les gestes sont bien synchronisés à tel point que j'ai sorti ma queue de mon froc et je me branle, j'y vais de bon cœur, lorsqu'elle saisi la queue tendu, certainement de bonne taille car étant à une trentaine de mètres et en surplomb d'un bon 4 mètres, je vois bien que la bite de Pépé dépasse d'autant que la main de mon épouse contient en l'enfermant pour le masturber et se le mettre en bouche, non elle lèche son gland et de son autre main prend ses bourses comme pour se déstressé les doigts, j'ai l'impression quelle fait tourner ses boules dans le creux de sa main tout en continuant ce jeu de boules, elle fait glissé sa langue le long de cette tige pour finir par remplacer les doigts de sa main en léchant les couilles poilues de Pépé. Comme le torse les poils sont blancs, elle remonte des couilles en léchant toujours cette tige ( la langue juste au-dessus du gland , je peux imaginer la grandeur du sexe tendu de l'ancien car la tête de son gland vient caresser la base de la chevelure brune de mon épouse) jusqu'au gland, ( il est doté d'une belle queue tout de même ) . Une fois en haut de ce gland, elle le prend en bouche, se l'enfile totalement (je n'en peu plus, je m'astique plus vite, et me dit : "qqqqquuueelle SALOPE " elle commence des vas et viens lentement au début, mais la cadence monte très vite, je sais quelle racle ses dents en remontant vers la tête du gland. Je suis la cadence et j'envoie des jets de sperme dans la nature, les mains poisseuses de mon foutre, je m'essuie la main avec mon mouchoir tout en continuant de la regarder ingurgité le sexe de Pépé. Je le vois grimacé, il ne simule pas des sons montent jusqu'à mes oreilles "HHHUUUMMMM !!! HHUM !! " Puis des mots arrivent entrecoupés, C'est bon....Salope...Tu suces comme une pute.... Et mon épouse confirme en rigolant aux éclats et s'exprime à haute voix tout en riant C'EST MARRANT : C'EST CE QUE DIT MON HOMME " et les rires continuent. Je la vois essuyer le surplus coulant le long de son menton avec ses doigts qu'elle suce goulument. Elle nettoie cette queue avec sa langue et s'allonge à côté de lui, ils discutent car je vois leur lèvres bouger, puis l'ancien l'enlace et la caresse, le cou d'abord remonte dans sa chevelure, puis redescend, vers sa poitrine tout en laissant ses doigts toucher ou effleurer sa peau, il tripote, triture ses seins dont les tétons sont érigés droit devant ses seins en forme de poire, après avoir mordu, pincé, tourné, griffé, serré, écrasé, giflé, frappé dans tous les sens ses seins rougis par se long traitement. Elle hurle de temps en temps se même mot " AIE...", le traitement lui convient car elle ne se retire pas. Il continue de descendre cette main fripée par l'âge mais experte pour infligée une série de claque sur son sexe en lui criant " ECARTE, ECARTE SALOPE . TU AIMES CA " Elle écarte ses cuisses, et subit et accepte cette longue et forte série de claque (j’imagine son clito rouge sanguin car les coups sont si violents que j'entends le bruit des coups et des clapotis, elle mouille en plus sous les coups malgré ses "AIE... " et ses " ENCORE, ENCORE " et ses " PUTAIN TU FAIS MAL " AIE... ENCORE " elle hurle sa souffrance et sa jouissance en même temps, elle en réclame, et en réclame, elle se retourne, certainement, à la demande de Pépé. L'ancien prend un objet sur sa table de nuit, je pense à un gode, mais le passant plus à la lumière, c'est une jeune Courgette, et il passe celle-ci le long de sa colonne vertébrale, il descend ce légume et le remonte le long de cette ligne que forme cette colonne vertébral, il la descend maintenant et longe le dernier os, longe le petit trou et lance " ECARTE , ECARTE les cuisses " elle obéit et écarte ses jambes le légume entre dans ce puits d'amour encore trempée de mouille, car je la connais bien. Ca y est le légume rentre sans trop de difficulté, celui-ci a un bon diamètre supérieur au sexe de Pépé et au mien en pleine action, la grandeur n'a rien à voir avec nos sexes. Il la masturbe avec, entrant celui-ci un peu plus, au fur et à mesure des vas et vient, jusqu'au moment ou il ne peut pas aller plus loin car il faut qu'il retienne ce légume pour ses vas et viens, plus de 25 centimètres sont entrées sans difficulté. Et, je les entends car ils s'expriment plus fort. Et le long de cette colline cela résonne assez pour les entendre ce coup-ci.
- Pépé : Prends çà, et çà, cela te plait sale pute.
- Nicole : Encore, encore, j'en veux encore.
- Pépé : Tu vas t'en prendre,
- Nicole : OUI, Oui, encore
- Pépé : Tu es incroyable et insatiable.
- Nicole : Encore, encore
je vois pépé laisser et ordonné certainement à mon épouse de continuer seule, lui s'en va vers la cuisine et elle se retourne sur le dos et se masturbe toute seule. Pépé prend quelque chose dans la cuisine, je n'ai pas vu ce que c'était. Il se réinstalle à ses coté et présente une carotte devant cette grotte rempli de la courgette, puis il présente les deux légumes devant l'entrée de ce puits détrempé certainement et les enfilent tout doucement dans ce sexe grand ouvert, et il reprend des vas et viens, la carotte entrée par la pointe, mais va en s'élargissant, il enfonce au fur et à mesure de plus en plus ces deux légumes ( et je me dit : " tu es comme l'histoire pas de carotte e pour les bonne sœur, tu es même plus que cela : tu es vraiment une salope et une vicieuse." Les légumes sont pratiquement entrées entièrement dans cette chatte gourmande, la grosseur de la carotte est équivalente à celle de la courgette maintenant. " Il lui arrivait, avant que j'achète un vibromasseur, qu'elle me demande de la masturber avec des concombres, mais jamais deux à la fois. " Elle est en transe, elle ne se retient plus elle hurle de plaisir de grands : " AAAAAAAAAHHHHHHHHHHH, OOOOOOOOUUUUUUUUUUIIIIIII, des choses entrecoupés comme : CCCC' CC''' EEEESSSSTTTTT BBBBBOOOOONNNNNNNNNNNN. " elle jouit, elle est complètement à la merci de Pépé qui en profite, en profite il l'astique tantôt violemment tantôt tendrement lui administrant des bisous sur son haut de sexe il cherche de sa langue la gourmandise promise, comme un gamin. Je continue moi aussi à me masturber et je suis la cadence que l'ancien sait si bien le faire. Il accélère le mouvement, moi aussi et je crache une deuxième fois mon venin, pendant que mon épouse inonde le lit de Pépé de sa mouille sous l'impulsion des vas et viens de Pépé dans son antre, les éjaculations de mon épouse se font de plus en plus rapprochés jusqu'à ce qu'elle en a les yeux presque révulsé, tant les orgasmes se font l'un derrière, l'autre, le foutre de sa jouissance sort pratiquement en continue avant qu'elle tombe dans une semi inconscience, Pépé arrête alors le traitement et lui aussi s'étend à ses côtés pour reprendre conscience de ce qui vient d'infligé à ma belle salope d'épouse. De mon côté, je redescends me laver car du sperme à couler le long de mes cuisses. Et tous les samedis j'avais droit au même scénario, mon épouse se laissant faire et dominer par Pépé.

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