Jean Louis, L'Autre Client Du Kiosque À Tabac. 1

Elle pensait encore à Marc, il lui avait annoncé qu'il devait être muté, mais ils n'ont pas eu la possibilité de baiser une dernière fois en étant conscients qu'ils n'allaient plus se revoir.
Elle a compris, qu'elle ne baiserai plus avec lui, et regrettais déjà sa grosse queue.
Elle était rentrée à nouveau dans sa routine quotidienne, servant les paquets de cigarettes et souvenirs de la ville aux nombreux clients de la gare.
Un jour, en milieu de matinée, un homme lui demande un paquet de cigarettes.
Il lui sourit, il n'est pas vraiment beau, il est plutôt grand, assez musclé, cheveux courts, avec de grandes mains.
Son sourire lui donne du charme, elle ne sait pas pourquoi, mais elle est séduite.
"C'est quoi votre prénom? sans vous obliger bien sûr!".
"Lisa!"
"Enchanté, Lisa! Moi c'est Jean Louis! vous êtes charmante, j'adore vos yeux!".
"Merci! C'est gentil!".
Elle se déplace pour ranger des cartes postales, que des clients ont déplacé.
En découvrant sa silhouette entière, il ajoute:
"Apparemment, y a pas que vos yeux que j'adore!".
elle se retourne et vois qu'il reluque son cul avec insistance.
elle lui sourit avec un air coquin.
"Il y a moyen de boire un verre ensemble?".
"Euh, je sais pas, je devrais pas!".
"Allez ça me ferais plaisir, et ça n'engage à rien".
Elle repense à Marc, mais réponds malgré tout.
"D'accord, je fini vers 14h30 ! Vous pouvez passer me prendre!".
"Vous prendre! Avec plaisir! Bon, je plaisante! Ok, je pense qu'on peut se tutoyer! Non?".
"C'est vrai!", répond-elle en riant.
"A tout à l'heure Lisa! J'ai hâte!".
A nouveau, elle est toute émoustillée par la perspective de cette rencontre, elle sait désormais qu'elle va lui succomber.
Elle s'imagine déjà dans ses bras puissants, et ses grandes mains. Ce détail qui l'excite tant, elle pensait que les hommes aux grandes mains avaient aussi un gros sexe.


Elle pensait que c'était proportionnel, elle s'est rarement trompée, même si ce n'est pas une règle infaillible.
Comme avec Marc, le reste de son temps de travail sera perturbé par ses pensées lubriques.
L'heure enfin arrivée, Jean Louis entre dans le kiosque, faisant mine de chercher des souvenirs.
Ma belle dit au revoir à sa remplaçante et sort du kiosque, il la suit jusqu'à la sortie de la gare.
Elle l'attend, il la rejoint:
"Bon, ou est-ce que je t'emmène?".
"J'ai déjà un copain, je préfère être discrète! Ca t'ennuie?".
"Pas de souci, c'est clair au moins, on peut aller chez moi, si ça te fait pas peur!".
"D'accord!".
Sur le trajet, il a du mal à ne pas la prendre dans ses bras.
Mais il est aussi content de savoir, qu'il n'aura pas besoin de la charmer longtemps pour avoir ses faveurs, elle est toute menue à ses cotés et ce n'est pas pour lui déplaire.
Il craque en regardant sa taille fine et ses fesses cambrées.
Les clefs tournent dans la serrure, la porte s'ouvre sur un petit studio sans prétention.
"Ne regarde pas la déco, je ne suis là que de passage! Tu veux boire quelque chose?".
"De l'eau, ce sera parfait!".
Elle porte le verre a sa bouche, et boit la moitié du liquide. Jean-Louis a posé ses larges mains sur ses hanches.
"Tu me plais beaucoup, tu sais!".
Elle lui tend ses lèvres, ils s'embrassent fougueusement.
La main droite de Jean Louis, remonte le long de son corps pour aller chercher un sein sous le soutien gorge de ma belle.
Il le malaxe fermement, elle adore cette caresse, étant très sensible de la poitrine.
Elle se blottit contre son torse, pour se laisser aller au plaisir qu'il lui donne.
Il défait ses vêtements tout en la caressant.
Pendant qu'il s'occupe de son sein droit avec sa main, il dévore l'autre avec sa bouche, elle a un orgasme mammaire, mais Jean Louis ne s'en rend pas compte (Peu d'hommes connaissent l'existence de ce plaisir).

Le plaisir étant retombé, elle est maintenant excitée, et cherche la queue de Jean Louis avec sa main.
Il la regarde faire, et l'aide à accéder à son membre.
Elle saisit sa queue fermement, entre ses doigts, le sexe est gonflé et dur, elle est excitée par sa taille bien large et longue, son gland est moins proéminent que le sexe de Marc.
Elle aime l'aspect veiné de sa bite, et sa courbure légère.
Elle se penche pour s'empaler la bouche.
"Humm, tu caches ton jeu! Petite coquine!".
Elle ne réponds pas et le suce tendrement.
Il accompagne ses mouvement buccaux de coups de queues légers. Il l'entends gémir.
"T'aimes ça apparemment!".
"Humm, j'adore sucer des hommes! c'est excitant!".
"Ben, je vois ça! En te voyant, on t'imagines pas aussi cochonne! j'adore ce contraste!".
"Ca t'excites?".
"Oh, oui, la timide Lisa est une vraie petite salope en fait!".
"Hummmmmmmmm, ouiii!".
"Tant mieux, on va bien s'amuser alors! J'adore les filles comme toi!".
Elle le pompe énergiquement, excitée d'être découverte en temps que salope.
Il la relève et la tourne contre le mur, il va la pénétrer quand elle l'arrête en lui demandant de se couvrir d'une capote.
"Je m'excuse, je veux plus prendre de risque avec le sida, j'ai une fille et mon mec, je préfère que tu mettes un préservatif.
"Pas de souci, j'y pense moi aussi avec tout ce qui arrive en ce moment! On est d'accord!"
Il se couvre et la pénètre debout contre le mur.
"Ahhhhhh, Jean Louis! C'est bon! Je te sens bien!".
Il s'agrippe à ses nichons en lui malaxant pendant qu'il la baise profondément. elle se cambre pour mieux le recevoir. Il la défonce, un long moment jusqu'à son premier orgasme vaginal.
"Déjà?".
"Oui, je sais! je jouis très vite, mais je jouis plusieurs fois aussi, j'ai toujours envie que tu me baises, t'inquiètes pas!".
"Pas de souci, j'adore au contraire! donc, tu vas encore jouir, crois moi!".

Il la plie en deux, pour qu'elle s'appuie sur le dossier d'une chaise et la défonce encore par derrière.
"Ahhhhhhhh, oui , tu me baises bien, Jean Louis, encore! Ahhhhhhhhh".
Ses grands coups de queues, l'emmènent immanquablement à un autre orgasme.
"J'adore te faire jouir! Tu m'excites! Viens sur le lit!".
Elle se couche sur le dos, il plonge entre ses cuisses et la suce goulument, en dévorant sa chatte jusqu'à un orgasme.
Il la pénètre d'un coup, et s'amuse encore à la faire jouir sous ses assauts répétés.
Il ôte sa capote.
"Suces-moi un peu, après je te prendrai encore!".
Elle se couche au dessus de lui qui s'est allongé, et lui rend le plaisir qu'il lui a offert.
Elle se régale de sucer cette belle queue qu'elle adore déjà, sa forme courbée et son épaisseur, lui ont procuré d'énormes sensations.
"Tu l'aimes ma queue?".
"Je l'adore, elle est bonne, tu m'as bien baisée!".
Elle reprend sa profonde fellation, par moment, tendre et d'autres moments, plus lubrique.
"Oh, Lisa, arrêtes! S'il te plait! Je vais jouir!".
Pour toute réponse, elle lui dit:
"Viens!".
Il éjacule dans sa gorge en râlant de plaisir, interminablement, pris de spasme dans la queue.
Ma belle avale son jus avec avidité. Puis continue comme à son habitude de sucer sa bite jusqu'à la sentir, ramollir un peu.
Elle se couche a ses cotés, et lui dit:
"Hummm! C'était bon!".
"T'as raison! C'était super bon! Tu sais que t'es une bonne baiseuse? Lisa!".
"Ca, je sais pas! c'est pas moi qui peut le dire!".
"Donne moi ton numéro, on s'appelle dès qu'on peu, si ça te déranges pas!".
"Ok, pas souci, j'allais te le proposer! Mais entre nous, ce sera que du sexe!".
"Pas de problème, on est d'accord! moi aussi, j'ai quelqu'un!".
"Bon, je dois y aller, mon mec va se demander, pourquoi je suis pas encore rentrée".
Quand elle passe la porte, elle se rend compte que je ne suis pas à la maison.

"Ouf! je n'aurai pas à trouver d'excuses". Pense t-elle.
Elle va boire une peu de boisson gazeuse, pour enlever le goût âpre du sperme de Jean-Louis dans sa bouche, en pensant déjà à leur prochaine rencontre.
Je rentrerai, plus d'une heure après, ignorant que ma belle avait trouvé un nouvel amant.

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