Le Traquenard Du Colonel Davis

Je m’appelle Jonathan BRANSON, j’ai 22 ans et je viens du Colorado. Il y a 3 ans et je me suis engagé dans l’US Army au sein du 75th Rangers. Je dois cette destinée à ma volonté, l’amour de mon pays et surtout mes qualités physiques : 1,75m pour 80kg, très endurant et solide sur mes jambes. Il faut dire que j’arpente les montagnes depuis que je suis , mon physique a su se forger au fil des années.

Je suis actuellement déployé en Irak avec mon bataillon pour des missions de reconnaissance. Nous vivons dans un grand camp fortifié au sud de Bagdad où 10.000 militaires vivent dans la promiscuité et la chaleur étouffante du pays.

Nous sommes le 7 octobre, et je suis convoqué chez le médecin militaire. Me voilà donc devant le bureau du médecin en chef SULLIVAN, rasé et habillé en treillis de service. Je toque, il me fait entrer et m’invite à m’assoir. Sa silhouette élancée contraste avec ma carrure de boxeur et mes gros biceps comprimés dans mon treillis. Il n’a pas l’allure d’un bagarreur, mais il faut de tout dans une armée.
« Sergent, je vous mets à la disposition du colonel DAVIS à partir de ce jour et ce jusqu’à la fin de la semaine pour une mission d’assistance »
Et allez, je la sens la mission bien pourrie à nettoyer les toilettes d’un colonel atteint de la tourista. Il reprend :
« Vous vous rendrez à 18h devant le logement du colonel, en face du hangar des humvee, et attendrez ses ordres. Reçu sergent ? »
« Fort et clair mon capitaine ».

Me voilà donc valet de chambre. Je suis un Rangers merde ! Pas une femme de ménage. Mais les ordres sont les ordres, et me voilà devant le logement du colonel à 20h précise. La porte s’ouvre avant même que j’ai pu toquer. Le colonel se tient face à moi, en tenue de sport et le front luisant : il revient du footing. Bien que je sois habitué à côtoyer de sacrés bonhommes, le colonel m’impressionne : la quarantaine passée, il doit faire presque 2m de haut, un cou aussi large qu’un gorille, les yeux bleus, une barbe rousse bien taillée, le parfait bucheron irlandais.

Il me fait entrer et je le suis le long du grand couloir de marbre. Cela fait bien longtemps que je n’ai pas vu une maison en bon état, il ne s’embête pas le colon. Il enlève soudainement son t-shirt et me demande :
« Vous voyez cette balafre sur mon dos sergent ? Je dois nettoyer cette blessure soigneusement pendant ma douche mais je n’ai pas la souplesse nécessaire »
Tu m’étonnes ! Ses bras devaient être aussi larges que mes cuisses, ce mec est une armoire.
« C’est pourquoi vous allez m’aider à nettoyer ça »
Bon, c’est toujours mieux que de nettoyer les chiottes ceci-dit.

Le colonel me fait alors entrer dans la salle de bain avec lui, c’est une belle pièce carrelée de bleu marine, avec une grande douche fermée de grandes vitres. Avec une absence totale de pudeur digne des militaires, le colon se déshabille et laisse apparaitre son corps. C’est un homme très musclé, quoique recouvert d’une légère couche de graisse comme la plupart officiers en fin de carrière. Mais ce qui me stupéfait le plus est son impressionnante bite qui ballote de droite à gauche entre ses jambes. Je n’ai jamais vu ça, même les afro dans ma compagnie n’ont pas un tel engin. Mais je n’ai pas le temps de réfléchir longtemps, l’officier rentre sous la douche et tourne le robinet d’eau chaude.
« Déshabillez-vous sergent ! »
Je bégaye pour répondre
« Co…Comment ça ? »
« Vous n’allez pas rentrer dans la douche en rangers, déshabillez-vous. »
« A vos ordres mon colonel »
Je m’affaire et défais rapidement mon treillis. Je regarde et pense à ma bite qui doit faire tout la moitié de celle du colonel, je me sens ridicule. Je rejoins ce dernier qui me tend le pot de pommade. Je m’affaire à nettoyer sa blessure pendant qu’il se douche. J’ai à peine fini lorsqu’il m’ordonne
« Maintenant branlez moi sergent. »
Je reste choqué et je ne sais plus où me mettre. Je suis nu dans la douche d’un officier et j’ai pour ordre de branler son énorme bite.

« Branlez-moi c’est un ordre ! »
Je prends peur et rapproche donc ma main de son engin qui commence déjà à se redresser. Ma main ne fait déjà plus le tour de sa grosse bite circoncise, je m’emploie tant bien que mal à le branler. Il commence à grogner tout en continuant sa douche. Ce moment de gêne intense se poursuit quelques minutes et sa bite atteint son érection maximale, elle doit faire au moins 25cm de long pour 15cm de circonférence.

Il se retourne brusquement vers moi, m’att par le cou et me plaque au mur
« Maintenant que je suis bien excité je vais t’enculer mon beau »
Je panique, je suis tétanisé face à ce colosse, je n’aurai sûrement aucun mal à me battre mais mon corps refuse de bouger. Il me met au sol, me plaque la tête contre le carrelage et relève mes fesses. Je sens un liquide visqueux couler sur mon anus, et deux doigts me pénètrent violemment. Je lâche un cri, ses doigts sont si larges et mon anus si serré. Il accélère rapidement ses mouvements de va-et-vient et rajoute un doigt : mon anus souffre le martyre. Je sens sa tête s’approcher de mon oreille, il me murmure « Une fois que ma bite rentrera dans ton cul, tu seras ma pute »

Je n’arrive pas à réfléchir à ses paroles tellement mon cul encaisse. Au bout de deux minutes, il sort brusquement ses doigts, laissant mon cul dilaté en souffrance. Je sens de nouveau ce liquide visqueux couler dans mon orifice. Je sens ses mollets se caler contre mes côtes et le colonel se mettre au-dessus de moi : il va m’enculer. Je veux protester, j’ouvre la bouche mais voilà qu’il rentre en moi d’un coup sec. Je lâche un râle de douleur. Sa queue me remplit littéralement, je n’arrive plus à réfléchir entre la douleur et cette sensation étrange. Et voilà l’officier qui commence à faire des vas-et-viens dilatant de plus en plus mon anus déjà éprouvé. Il accélère son mouvement, venant claquer son pubis contre mes fesses, j’ai l’impression que ma tête s’enfonce dans le carrelage de la douche.
Le rythme de pénétration devient très intense et j’en déduis que le colonel ne va pas tarder à cracher sa semence. Mais il n’en est rien : il continue de me chevaucher pendant 10min en gardant la cadence. Puis il me relève la tête et me glisse à l’oreille : « Maintenant que tu es bien ouvert on va passer aux choses sérieuses, lève-toi. ». Il me saisit par la nuque et me relève sans difficulté, je suis tremblant sur mes jambes, je suis épuisé par cette épreuve et n’ai plus la force de résister. Il m’emmène dans une pièce adjacente et me jette sur un lit. Ce colosse n’est-il jamais fatigué ? Sa queue est toujours dressée fièrement, suintant de lubrifiant, le gland tendu et rouge. Que va-t-il bien pouvoir me faire de plus ?

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