Tu N'As Rien Dit

Pour L
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Vendredi, 18h45. Enfermé dans mon bureau à la si jolie vue sur la Seine, je regarde une colonne de chiffres défilée sur mon tableur en griffonnant quelques notes. J’attends mon dernier rendez-vous de la journée, celui auquel je pense depuis ce matin. Un certain calme règne dans nos locaux, la plupart des salariés sont partie profiter de leur week-end.
On frappe à la porte. Une petite poussée d’adrénaline accompagne ma réponse : « Entrez !».
Tu franchis le pas de la porte timidement, un dossier à la main. Tu m’as toujours attirée, avec ton look BCBG, ta ligne parfaite et tes yeux d’un bleu azuréen contrastant avec tes cheveux d’un noir de jais. Tes hauts talons, ton tailleur strict et tes longues jambes systématiquement gainées de nylon ont toujours eu un effet dévastateur sur le reste de l’équipe, qui dès que tu as le dos tourné ne tarit pas de commentaires allant de l’éloge au salace.

Tu fais quelques pas puis t’immobilise au milieu de la pièce, devant moi, tenant toujours ton dossier à la main. Sans un mot, je me lève, contourne le bureau puis me dirige vers la porte restée entrouverte. Je la referme puis la verrouille, le « click » du loquet résonne dans le silence en ajoutant un cran à la tension dans la pièce. Je continue mon tour pour fermer un a un les stores donnant sur le reste de l’open-space, maintenant vide.
La pièce est maintenant un cocon isolé du reste de l’étage, seule les fenêtres donnant sur l’extérieur font rentrer la lumière de cette fin de journée.

Tu n’as pas bougé. Je reviens vers toi et me m’assied sur le coin de mon bureau. « Vous avez quelque chose pour moi ? ». Sans un mot, tu me tends la chemise que tu portes à la main, avec dans les yeux un regard mélangeant défi et excitation.
J’ouvre le dossier cartonné, et j’y trouve exactement ce que j’espérais : ton string en dentelle, fine lingerie de marque déposée en offrande. « C’est bien ».

Te laissant debout et immobile, je m’assois sur une chaise à côté de toi et dépose délicatement une main sur ta cheville, goutant le doux touché du nylon.

Je remonte doucement ma main vers tes genoux, puis tes cuisses. Je me glisse sous ta jupe droite et sent sous mes doigts la dentelle du haut de tes bas. Imperceptiblement, tu écartes les jambes pour me laisser monter plus haut. J’atteins enfin la douceur de ton intimité, libre de toute contrainte, qui s’ouvre lorsque mes doigts l’effleurent. Je joue quelques instants avec la douceur de ta peau, sentant ta respiration s’accélérer. Sans autre préalable, j’enfonce brusquement deux doigts dans ton antre, que je sens à la fois se contracter et s’humidifier sous l’agression. Je me redresse et me colle dans ton dos, laissant mes doigts continuer leurs vas et viens en toi. Tu halètes sous la surprise et le plaisir, pendant que je dépose un baiser dans ton cou offert. Je remonte ma main couverte de ton jus devant ta bouche et glisse a ton oreille « Tu mouilles déjà comme une petite salope. Lèche ton jus ». Toujours silencieuse, tu ouvres la bouche que j’y glisse mes doigts.

« C’est ton anniversaire, j’ai deux cadeaux pour toi ». M’écartant de ton corps, je contourne mon bureau pour ouvrir un tiroir. J’en sort 2 objets que je pose sur le bureau pendant qu’un éclair passe dans tes si beaux yeux. Je reviens me positionner derrière toi et commence à ouvrir ton chemisier, libérant ton soutien-gorge. Caressant la fine dentelle, je libère ta poitrine et att tes deux pointes. Je les pince et les malmènes, te faisant gémir pendant qu’elles gonflent sous le désir. Tes pointes sont prêtes, je récupère sur le bureau la double pince à seins reliée par une chainette. Je la fixe au bout de chaque sein, tu gémis lorsque le métal mord tes tétons dressés.
« C’est bien, maintenant remonte la jupe et penche-toi en avant ». Comme une automate, encore haletante, tu remontes ta jupe, découvrant complètement ton porte jarretelles et ton magnifique cul sans culotte. Tu te penches sur mon bureau, bombant les fesses. J’att le deuxième objet, que j’approche de ta bouche. « Humidifie-le, tu sais où je vais le mettre ».
Sans protester, tu prends en bouche le petit plug anal orné d’un brillant bleu. Je le sors ensuite de ta bouche pour le présenter devant ton petit trou plissé. De mon autre main, je caresse ta chatte qui n’a cessé de couler depuis que tu es entré dans ce bureau. Je trouve facilement ton clitoris que je stimule vivement quelques instants avant d’enfoncer, presque par surprise, le plug dans ton cul. Il prend sa place solidement, ne laissant que le brillant bleu orner ton fessier. Je contemple avec bonheur le résultat, et en profite pour te porter quelques claques sonores.

Je te redresse, et te retournes en face de moi. « C’est bien, maintenant que tu es prête, tu vas te mettre à genoux et me sucer ». Docilement, tu te mets au sol et commence à ouvrir mon pantalon. Je bande déjà comme un cerf, en réalité je suis dans cet état depuis que je t’ai envoyé le défi du dossier par texto. Ma queue jaillie de mon boxer, et tu commences à la branler timidement à deux mains. Tu reprends de l’assurance et me prends en bouche, dévoilant toute ton expertise sur le sujet. Ta langue monte et descends sur mon pieux, pendant qu’une main me caresse les couilles et l’autre me branle. « Avale-moi aussi loin que tu peux ». Obéissante, tu enfonces mon chibre loin dans ta gorge, bavant un peu sur mes boules. J’adore cette vision, cette femme BCBG superbe mais perçu comme distante, en train de m’avaler la bite à genoux dans mon bureau avec une chaine aux seins et un plug dans le cul. C’est divin.

« Relève toi. Installe-toi dans fauteuil, mets tes jambes sur l’assise et écarte les. » Tu t’exécutes. « Maintenant, regardes moi droit dans les yeux et caresse toi ». Levant les yeux vers moi, tu tends ta main vers ta chatte dégoulinante et commence à te frotter le clito. « Mieux que ça, montre-moi la petite chienne que tu es ». Ta deuxième main rejoint la première, et tu enfonces trois doigts dans ton puits. Je te vois lâcher complètement prise, tu aimes être exhibée ainsi à mon regard.
Ni tenant plus, je me lève et me rapproche de ta chaise pour enfoncer ma queue dans ta bouche. Pendant que tu te branles de plus en plus fort, j’att la chaine pour tirer sur tes seins et démultiplier tes sensations. Pendant que je baise ta bouche, tu atteins un premier orgasme, profond et puissant, qui te laisse hébétée.

Haletante, tu veux reprendre ton souffle mais je suis beaucoup trop excité pour t’en laisser le temps. Sans trêve, je te retourne à genoux sur la chaise, appuyée sur le dossier. Je mate ton cul offert, ta rondelle remplie par le plug bleu et ta chatte largement ouverte par ta session de branlette. Je n’ai jamais autant bandé. Je m’enfonce dans ta chatte brulante d’un seul coup, jusqu’à la garde. Tu encaisses avec un petit cri suivi d’un long soupir, je sais que tu te sens remplis par ma queue plutôt large et surtout longue… Je commence mes vas-et-viens, pas trop vite au départ, en profitant de chaque sensation. Je te sens contracter ton vagin autour de la bite, les sensations sont irréelles. Je sors presque à chaque fois, avant de me renfoncer toujours plus loin.

L’excitation monte encore, et je ne suis plus qu’une bête en rut montant sa femelle, mes coups de queue deviennent frénétiques. De ton côté, tes râles se sont peu a peu transformés en gémissements et en cris. J’espère vraiment qu’il n’y a plus personne sur le plateau, sinon... Tu te sens pleine, entre cette queue qui te laboure, ce plug qui te remplis et cette chaine ballottant au bout de tes seins. Avide de sensation, ta main vient se coller à ton clitoris pour le stimuler lui aussi. Au bout de plusieurs longues minutes de bonheur lubrique, je lâche de long jet de foutre tout au fond de ta chatte. Me sentant venir, et redoublant d’effort, tu jouis également pour la deuxième fois dans un feulement sourd.

Essoufflés, nous nous décollons l’un de l’autre. Tu retombes sur ta chaise pendant que je reprends mon souffle.

Le dossier traine sur mon bureau, ta culotte toujours à l’intérieur.
Je crois que je vais la garder en souvenir… Tu te rhabilles doucement, sans culottes mais en gardant sur toi tes « cadeaux ». Tu me lance un long regard complice avant de ressortir de mon bureau. Et pendant tout ce temps, tu n’as rien dit…

Bon anniversaire

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