Au Camp

Une odeur de frites, accompagnée de celle de la viande qui grille. Une rareté depuis des mois. Ca me donne la dalle. Je suis seul au mess, les autres sous offs sont en mission de surveillance. Je vais m’en mettre plein la panse. Une ombre passe la porte, j’oubliais la nouvelle adjointe : une fille que j’ai à peine aperçu à son arrivée au corps. Le serveur, un 2° classe, nous porte nos « rations ».
Elle s’est assise en face de moi avec un joli sourire. Je crois que c’est le premier sourire féminin que je remarque depuis…depuis, je ne sais plus. Si la dernière fois était avec une femme au bord d’une rivière quand je l’avais satisfaite.
• Salut, je m’appelle Julie. Je viens d’arriver ici.
• Moi, c’est Antoine, je suis ici depuis longtemps.
• On se tutoie, non ?
• Bien sur entre collègue.
• Tu t’es battu déjà ?
• Oui, vaguement et toi ?
• Jamais, tu m’apprendras.
• T’appendre, quoi, faire la guerre, ne compte pas sur moi, pour autre chose oui.
• Je pensais aux autres choses.
• Ne m’excites pas trop.
• Je n’oserais jamais, jamais au grand jamais.
• Tu as raison, on sait ou ça commence on ne sait jamais où ça se termine.
J’arrête de parler, elle m’excite sans qu’elle s’en doute ou alors elle le fait exprès. Une femme dans l’armée sait qu’elle va susciter des vocations particulières. Et moi je ne sais jamais résister.
Nous finissons de déjeuner quand elle a un bon geste en prenant ma main : personne ne nous voit, elle en profite. Nous sommes comme deux ados qui se connaissent à peine qui n’osent pas trop aller plus loin. Je tiens sa main, je me lève en l’entrainant. Le camp est dessert. Je la guide vers mon chez moi. Je ferme bien la tante, je la fait s’assoir sur mon lit. Je suis assis près d’elle, je me penche sur sa bouche : elle me donne et sa bouche et sa langue. Elle embrase plutôt bien. Nos langues s’accordent pour se caresser. Je glisse sur son cou, je l’y lèche.

Elle a un réflexe que j’adore, elle lève sa tête pour recevoir mes lèvres. En passant une main entre deux boutonnières j’arrive vers son sein. D’une part il est dur et d’autre part elle se déboutonne la chemise.
Je sens qu’on va bien passer notre temps. Je ne sais jusqu’où elle voudrait aller, moi le plus loin possible. Elle se laisse aller complètement sur le lit. Je suis sur elle, je l’embrasse encore, je pose mes lèvres sur un sein découvert. Elle tient pas une de mes fesses. Péniblement j’arrive à lui faire retirer sa chemise, elle ne m’aide pas, elle s’occupe à passer une main sous le pantalon, toujours avec le même but, mes fesses. Je ne force pas mais elle ne m’aide pas quand je lui enlève le soutif. Là, j’arrête mes baisers pour la regarder. Ses seins sont gonflés, ses tétons pointent. Elle envie. Moi aussi, je bande.
Sa main arrive sur mes fesses. Elle est douce sur moi. Elle cherche quoi ? J’ai la réponse rapidement, elle passe dans ma raie. La vache, elle va chercher la petite bête ? Elle me caresse dans la raie, en allant plus bas chaque seconde. Je ne pensais jamais qu’une fille fasse ce qu’elle fait. Je sens un doigt sur mon anus. Oh, il reste pudique encore en caressant le tour du cul.
J’ai défait la fermeture éclair de son pantalon, j’ai ma main sur sa chatte. Je sens son humidité. Pour moi c’est visible quand je bande, pour elle il faut aller fouiller son intimité pour savoir si elle est excitée.
Nous ne pouvons pas parler : nos bouches sont occupées à embrasser. Nos gestes suffisent pour dire à l’autre ce qu’on désire. Je commence à la masturber quand elle met son doigt dans l’anus. Et boum, une première. Je lui mets un doigt dans son con, je caresse le clitoris avec le pouce. Sa main tourne sur mes cuisses. Elle va heureusement à la recherche de mon zigouigoui. Sans hésitation elle le prend à pleine main. Ni pour elle ni pour moi nos gestes sont commodes. Nous sous relevons pour être nus.
Je suis plus grand qu’elle, ma queue bande presque à la verticale.
Elle la regarde avec attention. Elle est bien fichue, je regarde ses seins en premier, sa petite fourrure en second. J’y vois des gouttelettes accrochés aux poils.
Elle me pousse sur le lit. J’attends son assaut : elle attaque ma bite avec son arme la plus proche : sa bouche. Ce n’est pas comme en Irak une arme de destruction massive, c’est une arme de paix immédiate. Ses lèvres englobent ma pine, l’avale en partie. Mes couilles sont l’objet de caresses particulièrement réussies. Elle ajoute à mon plaisir un doigt sur le cul, puis dans le cul.
Je lui demande de me donner sa chatte pour la lui lécher. Elle se tourne vite en 69. Qu’elle odeur de con un peu transpiré. Elle me fait bander encore un peu plus. Je me venge en mettant deux doigts au fond de son anus qu’elle ouvre plus que facilement.
En la désirant au départ, je ne pensais jamais tomber sur une telle fille chaude, bien au courant des nouveautés sexuelles. Elle le montre en oubliant pas longtemps ma queue. Elle s’étire pour arriver à mettre sa langue sur l’anus. Surpris de la nouveauté. Une langue de femme sur mon cul, pardon dans mon cul. Elle aime faire cette chose, elle doit aimer qu’on le lui fasse. Je pose ma langue sur son anus. C’est doux tout autour, c’est doux aussi dedans. Nous passons un bon moment à nous lécher l’anus. Je suis surpris de sentir ses muscle fessiers se crisper elle jouit comme ça, sans rien dire. Elle en oublie mon cul, elle revient heureusement sur ma pine. Ca y est, elle a faim de moi. Elle me lèche le fut de la queue, le gland qu’elle mordille de temps en temps. Ma langue est toujours dans son anus. Je subis ses léchages, c’est agréable. Elle sait sucer une pine c’est certain. Et elle arrête tout….
Elle est sur moi dans le bond sens. Elle est assise sur ma bite. Elle la dirige avec sa main sur son con. Elle s’assoit très lentement, comme pour en profiter le plus possible. Je me laisse faire.
Elle se couche sur moi sa chatte plein de ma queue ; Elle s’agite tellement que je ne peux résister à son assaut, je pars en grandes giclées de sperme en elle.
Je dois lui avoir donné son plaisir en même temps que le mien. Ses crispations vident ma queue complètement. Elle me laisse en elle un bon bout de temps.
Je sens son sexe se resserrer, me masser en elle : elle me fait encore bander. Elle recommence ses va-et-vient. Je grossis en elle juste au moment où elle se dégage. Elle change de secteur elle me met sur son cul.
Là changement de régime : c’est plus étroit, elle se resserre même volontairement. Ses yeux me fixent intensément : elle me dit en silence qu’elle prend son plaisir. Je ne jouis que bien plus tard : pour elle je suis incapable de dire combien de fois elle a eu d’orgasme.
Dès que nous le pouvons, nous nous retrouvons chez elle ou chez moi. Qu’elle bonne baiseuse !

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