Première Partouze

La vie reprends son cours normal, Michel me baise et m'encule régulièrement, nous faisons souvent l'amour avec Marie et plus rarement tous les trois. Pour mes 19 ans, Marie me demande de me libérer pour le samedi soir, ce qui ne pose pas de problème. Mes parents tiennent à ce que nous le fêtions autour d'une bonne table au restaurant. Je leur propose donc de faire ça le samedi midi, mon père se charge de réserver. Le repas se passe bien, mes parents me font un très beau cadeau, comme à chaque anniversaire. Mais j'ai envie que le soir arrive vite car je devine qu'une belle soirée m'attend, sans savoir ce qui va m'arriver exactement.

Je quitte donc mes parents dès la fin du repas, d'autres rendez-vous m'attendent : esthéticienne, coiffeuse et enfin retrouvailles avec Marie sur la place du Capitole, à 18h00, pour qu'elle choisisse et m'offre une robe pour le soir. Je la rencontre à l'heure dite et elle m'entraîne vers sa boutique de luxe préférée. Elle choisit pour moi une très belle robe noire avec un décolleté plongeant jusqu'au nombril, juste nouée autour du cou. Derrière, elle est dos nu jusqu'au ras des fesses. Elle est bien sûr très courte et moulante. Nous sommes rentrées à la maison vers 19h30. Marie me demande d'être prête pour 21h00, d'aller dans leur chambre, d'y entrer sans frapper puis de me laisser faire. Je me dis qu'on va sûrement faire l'amour à trois, qu'ils m'ont préparé une merveilleuse nuit d'amour… Je suis prête 10 mn avant, trépignant d'impatience derrière la porte de séparation.

Ca y est, c'est l'heure. Au moment où je m'apprête à pousser la porte, elle s'ouvre toute seule, c'est Michel qui vient me chercher, il me prend dans ses bras en me félicitant sur ma tenue et m'embrasse à pleine bouche. J'entends de la musique venir de leur chambre, Hotel California, j'adore ce morceau.
Michel m'entraîne vers la chambre et sur le seuil de la porte ouverte en grand, je m'arrête devant le spectacle : Marie est en train de danser avec un homme qui l'embrasse, un autre est derrière elle en train de lui peloter les fesses sous la jupe, c'est un grand noir.

La lumière est très tamisée, je remarque deux autres hommes assis sur le canapé en train de picorer dans les plateaux de toasts posés sur la petite table, accompagnés de deux bouteilles de champagne ouvertes. Tous se retournent vers moi dès que Michel m'entraîne dans la pièce et me prend dans ses bras pour danser.

Au bout de quelques courtes minutes, Marie prend sa place et me dit : « Tu es surprise, ma chérie, choquée ? » Surprise oui, mais choquée non ! Elle ajoute : « On va s'occuper de ces messieurs toutes les deux jusqu'à ce que leurs couilles soient vides ». Je suis étonnée par ces mots vulgaires mais je commence à être excitée. Elle continue à me parler avec sa voix si douce : « Ce sont quatre garçons que je connais depuis longtemps, ils m'ont souvent fait l'amour, ils sont super, tu verras. Pas besoin de capotes avec eux, on va pouvoir se faire remplir de sperme toutes les deux ! » Ses paroles m'excitent de plus en plus, je mouille beaucoup, et comme je n'ai bien sûr pas de culotte je sens que ça coule entre mes cuisses. Marie met fin à la danse et m'entraîne vers le canapé, elle me présente aux quatre hommes :
« Je vous présente Amélie, la petite salope dont je vous ai parlée, elle est à vous messieurs ! » Puis elle me présente les garçons en commençant par le noir : « Grégoire, la plus belle bite de Toulouse, Jacky, Yves et Marc ». Elle me sert une coupe de champagne, nous trinquons et elle porte un toast en me regardant dans les yeux : « A ta première partouze ! »

Nous grignotons quelques toasts, buvons une seconde coupe de champagne, puis une troisième.
J'examine les quatre garçons, ils sont grands, plutôt minces, entre trente-cinq et quarante ans, plutôt beaux gosses. Je m'interroge sur ce que Marie a voulu dire en parlant de l'organe du black… Je connais la réputation des blacks, donc je me doute un peu qu'elle parlait de taille. J'aime bien les blacks, je les trouve souvent très beaux et c'est le cas avec celui-là, il doit être plutôt métis en fait car il n'a pas les lèvres énormes comme certains et étant donné son prénom, il ne doit pas être africain.
Baiser avec lui sera aussi une première fois pour moi. Je suis un peu crispée et me pose des tas de questions : serais-je à la hauteur, allais-je tenir la distance, allais-je satisfaire Marie ? Coupe après coupe, je me décontracte, je me dis qu'il suffit que je me laisse faire…

Michel se lève pour mettre un nouveau CD de slows, l'un des garçons m'invite à danser en écartant d'emblée les bretelles de ma robe, dégageant mes seins et les caressant en dansant : pas besoin de me draguer, je suis déjà à lui. Je vois Marie qui danse à côté, un devant et l'autre derrière, elle est déjà nue.
Un autre se place derrière moi et relève le bas de ma robe, qui devient une ceinture, pour me caresser les fesses. Mes escarpins me gênent et je me dégage un instant pour les enlever, je quitte aussi ma robe et me remets entre les deux gars. Sans mes talons, je me retrouve nettement plus petite qu'eux et le sentiment exquis de honte, que je connais bien, m'envahit. Les garçons sont encore habillés, et moi je suis là, à poil, totalement à leur disposition. Celui qui est en face de moi me saisit par les cheveux pour m'obliger à relever la tête et à le regarder, il me fixe d'un air dédaigneux et me dit :

« Tu sais ce qui t'attends petite pute ? »
« Oui, je sais »
« Dis-le alors, salope »
« Tu vas me baiser »

Il me tient toujours la tête fermement et élève la voix en me pinçant fortement un téton :

« On n'a pas gardé les vaches ensemble, pétasse, qui t'as permis de me tutoyer ? »
« Pardon, monsieur, vous allez me baiser »

Il élève encore un peu plus la voix :

« Regarde-moi dans les yeux quand tu t'adresses à moi ! »

Je relève les yeux.

« Vous allez me baiser »
« Et tu crois qu'on va se contenter de ta moule ? Dis-moi tout ce qu'on va te faire »
« Vous allez me baiser, m'enculer et je vais vous sucer. Je ferais tout ce que vous voulez »
« Tu seras une bonne chienne ? »
« Oui monsieur, je serai une bonne chienne ».


Il relâche ma tête et me roule une pelle bien baveuse. Ses paroles ne laissent aucun doute sur ce qu'on attend de moi, je suis leur jouet, soumise à leurs envies et je me laisse aller dans leurs bras, toute excitée par la situation. Marie est à deux mètres de moi, à genoux devant ses deux partenaires, elle les suce à tour de rôle ou les deux ensemble. Rapidement, je me retrouve dans la même position, à sucer chaque bite qui se présente avec délectation. Les gars se sont déshabillés et passent de l'une à l'autre bouche.
Les ordres fusent toujours en termes très vulgaires, on me demande parfois de répondre et j'use de le même vulgarité pour me qualifier. Même Marie est traitée comme moi et répond dans les mêmes termes que moi. La seule différence est qu'elle tutoie les hommes présents, alors que moi je dois les vouvoyer et les appeler monsieur. J'entends aussi les commentaires salaces qu'ils échangent entre eux en parlant de nous. Quand Grégoire, le black, me présente son engin, je comprends pourquoi c'est la plus belle bite de Toulouse. Il est énorme et très long, il rentre à peine dans ma bouche et je ne parviens pas à le prendre dans ma gorge. Il n'insiste pas et se contente de ce que je peux faire. Marie et moi passons ainsi de main en main durant un long moment.

À un moment, je me retrouve dans une position très inconfortable mais je présume très excitante pour ceux qui regardent : je suis tenue tête en bas, fermement serrée par la taille, et je dois sucer celui qui me tient pendant qu'il me suce le clitoris. J'ai les cuisses maintenues écartelées par un autre qui me lèche l'anus, y rentre parfois un doigt ou deux pour m'ouvrir, pendant qu'un troisième rentre ses doigts dans ma chatte. Je me sens plus obscène que jamais. Au bout d'un moment, un garçon me porte jusqu'au lit et m'allonge à côté de Marie qui se fait prendre en levrette par Grégoire, mes cuisses sont relevées et je suis pénétrée par l'un des gars. Il me bourre violemment pendant quelques minutes, puis un autre prend sa place, je pousse des cris de plaisir, j'entends des « bouge ton cul salope » sans savoir si c'est pour moi ou pour Marie, alors je tortille un peu mes fesses.
Le second gars cède sa place à Grégoire, je sens la différence de taille du sexe, je me sens remplie, il bute au fond de mon vagin me faisant presque mal.

Soudain, je vois Marie se dégager et ramper jusqu'à moi, elle m'embrasse. Un commentaire fuse : «
Regardez les gars, nos deux chiennes se gouinent ». Marie me demande si ça va, si j'aime ça, je hoche la tête en la regardant pour dire oui, je ne peux pas parler. Elle se met à califourchon sur mon visage, du sperme coule de sa chatte. Elle m'ordonne de la nettoyer avec ma langue, ce que je fais en avalant ce que je peux. Grégoire accélère ses va-et-vient puis éjacule puissamment au fond de mon ventre. Je hurle de plaisir, j'ouvre mes yeux mais je ne vois que des étoiles devant un brouillard épais. Grégoire se relève, ce qui me permet de baisser mes cuisses, je reprends mes esprits, mais on me laisse peu de répit. On me pince un téton en disant : « A quatre pattes pouffiasse, je vais te péter le cul ». Je m'exécute et je tends mon postérieur, deux mains saisissent mes hanches et un des gars s'enfonce d'un coup dans mon anus.
Je crie de douleur, il se bloque sans bouger au fond de moi, j'entends Marie dire : « Fais doucement Yves, ne lui fais pas mal ! ». Maintenant je sais qui est derrière moi, il commence à me pistonner doucement, il doit sentir que je me crispe à chaque plongée dans mes entrailles car c'est douloureux, mais de moins en moins, puis il accélère. Petit à petit, je commence à apprécier et je l'encourage en cambrant mon dos pour m'ouvrir et je recommence à crier, mais de plaisir cette fois. D'un seul coup, je le sens se raidir et il éjacule en moi dans un grognement. Je m'affale à plat ventre sur le lit.

En tournant la tête, je vois Marie à califourchon sur Grégoire, Marc est derrière elle en train de la sodomiser en même temps, elle crie : « Encore, encore, défoncez-moi ! » et pas mal d'autres obscénités.
Je suis retournée, tirée et je me retrouve sur le dos avec la tête qui pend au bord du lit, je vois Michel debout derrière moi qui approche sa queue de ma bouche, je l'ouvre et je commence à le sucer, il se penche en avant, pose ses mains de chaque côté de mon visage et s'enfonce au fond de ma gorge, en ressort avant d'y rentrer à nouveau, il me baise la bouche. Je me concentre pour ne pas vomir et adapter ma respiration à ses va-et-vient. On me relève les cuisses et je suis à nouveau prise par l'anus, je distingue du coin de l'œil les visages de Marc et de Michel, joue contre joue pendant qu'ils me besognent.
Puis Michel se contracte, je sens qu'il vient, je me concentre sur lui, il rugit en m'envoyant une giclée directement au fond de ma gorge. Ça provoque chez moi une envie de tousser, je le repousse et relève la tête, Marc se retire aussi et je m'assois sur le lit pour tousser. J'ai du sperme qui coule sur une joue et dans le cou.

Je reprends mes esprits, tous me demandent si ça va aller, je dis que c'est bon mais je dois aller aux toilettes. Je vacille un peu en me levant, Michel me tient par un bras pour m'aider, j'entends Marie s'approcher de moi et décréter une pause.

Nous partons toutes deux vers la salle de bain pour soulager nos vessies. Avant de revenir dans la chambre, Marie me demande si je vais bien, si la surprise me plaît. Bien sûr que ça me plaît, je jouis beaucoup et je me sens très bien quoiqu'un peu fatiguée. Elle me demande si je suis prête à continuer, je lui réponds que oui, mais après une petite pause. Nous revenons dans la chambre, je remarque en passant que le radio réveil indique 23h00, ça fait déjà deux heures que nous subissons les assauts des cinq garçons. Ils sont assis autour de la table en train de boire et de manger des toasts. Je m'assois sur le canapé entre Grégoire et Michel, Marie s'assoit sur le tapis entre les deux autres. Grégoire se passe la main dans les cheveux et me demande si je vais bien, je lui réponds : « Ça va, ne vous inquiétez pas »,
Michel rit et ajoute : « Tu peux nous tutoyer maintenant, le vouvoiement c'était pour le jeu » puis il dit : « Sauf Marie bien sûr », alors Marie explique aux garçons que c'est un choix entre elle et moi que je la vouvoie.

Nous discutons un peu tout en buvant une coupe et en mangeant des toasts, j'ai faim et je dois reprendre des forces pour la suite, car je vois que certains ont déjà la bite dressée, dont Grégoire à mes côtés.
J'examine l'organe que je n'avais pas encore vu de près et comprends pourquoi il butait au fond de mon ventre : il est plus long et plus gros que tous les autres, de loin pour la grosseur. Grégoire me tient par le cou et sa main caresse délicatement mon sein droit en effleurant parfois son téton, de temps à autre il le prend à pleine main pour le malaxer, je sens le désir me tenailler le ventre. Je repose ma flûte vide sur la table, Grégoire saisit ma main et la pose sur sa bite durcie. Je commence à aller et venir le long de son sexe, mes doigts ne font pas la moitié de sa circonférence, il est vraiment très gros. Michel commence à me caresser le ventre, je m'ouvre sous la caresse. Grégoire me demande si sa bite me plaît, je lui réponds : « Oui monsieur », le jeu reprend et le vouvoiement aussi :

« Viens t'empaler comme une bonne salope alors ! »

Je me place à califourchon sur ses genoux et de ma main je guide sa queue vers ma chatte. Il me maintient sous les fesses de ses deux mains pour ne pas s'enfoncer trop vite en moi. Il faut un long moment pour que mes fesses reposent sur ses cuisses et qu'il soit totalement en moi. Je ne ressens pas de douleur mais je me sens très distendue. Au bout d'un moment, il se lève, j'enroule mes bras autour de son cou, il enroule mes jambes autour de sa taille, je dois me contracter pour qu'elles restent ainsi, mes lèvres vaginales serrent sa bite, me donnant l'impression d'être encore plus pleine. Il place ses mains sous mes fesses pour me retenir puis s'avance vers le lit, s'arrête en disant : « Merde il n'y a plus de place ». J'ouvre les yeux pour voir Marie et les trois autres en plein travail : elle est à quatre pattes au milieu du lit en train de se faire baiser en levrette par Marc, les deux autres sont allongés tête bêche de chaque côté d'elle et elle les suce alternativement. Effectivement, il n'y a plus de place.

Michel dit alors à Grégoire : « Attends, suis-moi, on va aller dans sa chambre ». Pendant qu'il se dirige vers ma chambre, je reste empalée sur lui et sa marche fait bouger sa bite en moi, m'arrachant des gémissements. Arrivés à la porte, il prononce une phrase qui sur le coup me terrorise :

« T'aurais pas du gel par hasard, qu'on lui prépare le fion avant que je l'encule ? »

Je m'entends dire : « Non pas ça », mais la réponse fuse de la bouche de Michel :

« Ta gueule pouffiasse, on n'a pas besoin de ton accord pour te bourrer l'oignon ! »

Je me tais, vaincue mais terrifiée. Michel ressort de la pièce, surement pour aller chercher le lubrifiant.
Grégoire m'allonge sur le lit sans sortir de mon ventre et commence à me pistonner, je hurle de plaisir, secouée par un orgasme violent. Il se retire sans avoir joui.

Michel est revenu, j'aperçois aussi Marc. On me fait mettre à plat ventre, je sens un gel glacé couler sur mon anus, quelqu'un se place à califourchon sur mon dos puis m'ouvre les fesses à deux mains. Je suis coincée, impossible de bouger. Je me laisse aller car je sais que de toute façon je vais y passer, autant être bien préparée. Du gel coule encore dans ma raie, des doigts commencent à masser ma rondelle, puis la pénètrent : un, puis deux…

Celui qui est assis sur mon dos rentre deux doigts de chaque main puis écarte mes fesses, je sens du gel glacé dans mon anus, les doigts me massent puis s'écartent à nouveau, de plus en plus à chaque fois, en me maintenant ouverte plusieurs secondes. Puis ils s'arrêtent et me retournent, Marc se place entre mes cuisses et me sodomise d'un seul coup. Je suis surprise que ça rentre aussi facilement, sans douleur, ils m'ont bien préparée. J'enroule mes jambes autour de sa taille et je pousse sur ses fesses avec mes pieds afin qu'il s'enfonce encore plus en moi. Il me pilonne, c'est très bon et je commence à gémir.
Brusquement, il se retire, j'ouvre les yeux et je vois Grégoire prendre sa place. Il fait pénétrer son gland, j'ai un mouvement de recul qui le fait ressortir. Il rentre à nouveau et me saisit fermement par les hanches. Il est très précautionneux et s'enfonce en moi centimètre par centimètre, en s'arrêtant un long moment entre chaque poussée. J'ai les reins en feu, l'impression d'avoir l'anus éclaté et déchiré, mais la douleur est supportable. Il lui faut très longtemps pour arriver à rentrer en entier, surtout quand il atteint des zones ou personne n'était encore allé. Quand il est enfin à l'intérieur, il va et vient tout doucement, puis de plus en plus vite. La sensation n'est pour moi ni agréable ni trop désagréable, mais je ne parviens pas à l'orgasme. J'entends les commentaires salaces des deux autres qui regardent, il me semble percevoir les cris Marie au loin. Sans m'avertir, Grégoire s'enfonce en moi et lâche sa semence en poussant un grognement qui dure une bonne minute. Il m'inonde de plusieurs giclées très abondantes.

Lorsqu'il se retire, je sens immédiatement son sperme couler de mon anus. Grégoire se relève et quelques secondes plus tard, Michel s'empare de moi, s'allonge sur le dos, me pose sur lui et me pénètre la chatte. Marc se place derrière et pousse sur mon anus qui n'est pas refermé. Je me retrouve prise en sandwich, pilonnée des deux côtés à un rythme soutenu, le plaisir m'envahit et je suis secouée par un orgasme violent qui provoque comme une décharge électrique interminable. Grégoire approche sa bite de ma bouche alors que je suis encore remplie par les deux autres, elle me repousse, j'y voie des traces marrons. Je proteste vigoureusement pour qu'il n'insiste pas, il sort de la chambre pour aller se laver.
Après avoir joui, ils me laissent seule sur le lit, en chien de fusil, et je plonge dans la somnolence.
Soudain, quelqu'un me baise par derrière, je me laisse faire, à moitié endormie, il éjacule en moi rapidement puis se relève. Ensuite, le trou noir, je m'endors.

Je me réveille le lendemain, saisie par d'agréables odeurs de sperme, de sueur et de mâle mélangées qui émanent du lit et de mon corps tout entier. Bien que le soleil soit déjà levé que j'aperçois au travers des rideaux tirés, je décide de traîner au lit. Je repense à la nuit que je viens de vivre avec délectation. Je suis toute courbaturée, j'ai les lèvres intimes gonflées et j'ai encore du sperme entre les cuisses. Je suis étonnée de ne pas avoir trop mal à l'anus, surtout après le passage de Grégoire. Je m'étire, att mon journal dans le chevet et j'écris tout ce que j'ai vécu ou ressenti durant la soirée. Je griffonne ainsi pendant plus d'une heure à la fin de laquelle je suis de nouveau excitée. Je range mon journal et me replonge sous la couette pour me masturber. Je me caresse longuement en revivant chaque instant de la soirée, puis je saisis l'oreiller à côté de moi et le colle sur mon nez pour renifler les odeurs de cette nuit, tout en accélérant violemment mon doigt sur mon clitoris. Je pars dans un orgasme violent lorsque je vois Marie, assise, qui me regarde en souriant tendrement. Je vais au bout de mon plaisir devant elle. Pendant que je reprends mon souffle, je l'entends dire « Bonjour ma chérie ». Je lui demande l'heure, il est midi.
Elle dépose un baiser sur mes lèvres mais ne se colle pas à moi : je suis en sueur et encore souillée de la veille alors qu'elle est toute fraîche et vêtue d'une belle robe.

Je me souviens qu'une petite cérémonie doit avoir lieu à la mairie du village en début d'après-midi. Nous parlons un peu de la soirée, je lui avoue que j'ai adoré. Elle me dit que les garçons ont adoré aussi, que j'ai été parfaite. Je souris de satisfaction. Elle me dit que Marc et Yves sont repartis tôt ce matin car ils venaient de Pau et que Grégoire, Jacky et Michel nous attendent pour prendre un petit déjeuner. Je me lève et je fonce aux toilettes faire pipi. Elle me rejoint alors que je suis devant le lavabo en train de me brosser les dents. Elle me caresse délicatement les fesses et le dos, je regarde mon visage défait, le maquillage a coulé. Je me retourne pour attr mon démaquillant, Marie me saisit le visage à deux mains et m'embrasse, nos langues s'enroulent, une de ses mains effleure mes seins et mes tétons qui se mettent à durcir.

Elle quitte mes lèvres et me dit : « tu es très belle comme ça. Veux-tu toujours que je décide pour toi ? »
Le désir de lui faire l'amour me brûle le ventre et je lui réponds que oui. Elle reprend : « Alors tu restes comme ça toute souillée pour descendre, ça voudra dire aux gars que tu as aimé ce qu'ils t'ont fait. » Je réponds : « Si vous voulez Marie » et elle me prend par la main pour la suivre, me demandant juste de remettre mes escarpins au passage.

Arrivées dans le salon, les trois garçons sont en train de discuter debout devant la piscine, ils sont tous habillés et fraîchement douchés, ce qu'indiquent leurs cheveux encore mouillés. Marie s'exclame : « Voilà notre petite Amélie que je viens de tirer du lit, regardez dans quel état vous l'avez mise ! » puis en arrivant près d'eux elle rajoute : « Elle était en train de se branler en pensant à vos bites quand je l'ai surprise et vu le pied qu'elle a pris, il ne fait pas de doute vous l'avez bien baisée cette nuit. »

Je rougis de honte. Je suis là, nue et sale devant eux tirés à quatre épingles et en plus, ils savent que je me suis masturbée. Les trois hommes m'embrassent sur la joue, Grégoire me dit : « Tu es magnifique comme ça » puis tous trois me félicitent et me remercient pour la soirée. Marie nous sert un petit déjeuner très copieux qui est le bienvenu. Dans la discussion qui suit, j'apprends que Marc et Yves ont 42 et 45 ans et qu'ils sont avocats à Pau, Jacky a 38 ans et est notaire à Saint-Lys. Quant à Grégoire, il a 36 ans et est chirurgien dans une clinique d'esthétique à Toulouse. Tous se sont connus par le milieu échangiste il y a plusieurs années.

Michel propose une balade dans le parc, tous acceptent sauf moi : j'ai besoin de me doucher, mon odeur corporelle commence à me gêner. Marie me dit : « Tu nous rejoins après», je fais signe que oui et je monte rapidement vers ma salle de bains. En passant, j'ouvre la fenêtre de ma chambre pour aérer, tout en laissant les rideaux fermés à cause de la chaleur. Je me démaquille (le peu qui en reste) et prends une bonne douche qui me revigore. Quelques gouttes de parfum et me voilà fringante. Je farfouille dans mon dressing en quête d'une tenue pour la journée lorsque j'entends parler en-dessous de la fenêtre, près de la piscine. Je m'approche sans être vue et tends l'oreille :

Jacky dit : « Elle assure quand même, c'est rare une gamine aussi jeune qui assure comme ça »

Le terme de gamine me gêne un peu mais je n'oublie pas que je suis bien plus jeune qu'eux.

Grégoire ajoute : « Tu l'as bien éduquée Marie, si vous l'amenez en soirée elle va faire un tabac »
Marie répond : « Moi je n'ai pas fait grand-chose, juste la guider un peu, maintenant pour les soirées c'est elle qui décide de ce qu'elle veut faire. Si elle n'a pas envie, on ne va pas la forcer, il faut la laisser avancer à son rythme. »
Jacky répond : « Oui, tu as raison, faut pas la brusquer, en tout cas elle est magnifique »

Je suis contente et fière de moi, je retourne à mon dressing et je décide de m'habiller hyper sexy. J'opte pour un simple petit débardeur en mailles fines qui tombe juste en dessous de mes fesses. Il ne cache rien de mon corps à travers les mailles et je me trouve belle dedans, j'enfile des tongs, puis descends.
Marie me voit passer depuis la cuisine où elle prépare du café, elle m'appelle. Elle me dit que je suis superbe et m'embrasse longuement. Elle m'invite à les rejoindre sur la terrasse, me suivant avec le café.
Mon arrivée provoque des exclamations de satisfaction au vu ma tenue. Je sens un de mes tétons passer entre les mailles, je le laisse comme ça. J'ai droit à quelques mains baladeuses que je trouve agréables, puis Marie nous invite à rentrer prendre un autre café.

Les discussions se poursuivent sans que je participe trop, ne connaissant pas les gens dont ils parlent.
Alors que je suis plongée dans mes pensées, repensant à la soirée d'hier, j'entends vaguement qu'ils parlent d'une fille qui n'accepte toujours pas que Grégoire la sodomise lors des soirées échangistes.
Marie lui répond que cette fille n'est pas vraiment échangiste, mais qu'elle est raide dingue de son mari et que c'est pour lui faire plaisir qu'elle vient à ses soirées. Grégoire me demande alors :

« Est-ce que je t'ai fait mal lorsque je t'ai sodomisée ? »

Je réponds que non, qu'il a été très doux, qu'il a su prendre son temps et que bien que je n'ai pas pu jouir, j'ai quand même appréciée cette sodomie. Il bombe un peu le torse sous le compliment et Marie enchaîne à mon encontre : « Tu verras, avec le temps et la pratique, tu jouiras d'être sodomisée quelle que soit la taille » puis, se tournant vers Grégoire :

« Ça ne fait que 3 ou 4 mois qu'elle a commencé. »

Quelques minutes plus tard, Michel annonce à Marie qu'ils doivent partir pour la mairie, ils y ont rendez-vous. Ils n'ont pas très envie d'aller à cette cérémonie mais ils y sont obligés. Tout le monde se lève et aide Marie à débarrasser la table. Grégoire est contre moi et me tient les fesses d'une main, puis il dit : «
En attendant que vous reveniez, Jacky et moi resterions bien remettre le couvert avec la demoiselle.
Qu'est-ce qu'elle en dit ? » Je comprends qu'ils veulent encore me baiser mais je ne suis pas sûre d'en avoir envie. Je cherche que répondre dans les yeux de Marie, elle me dit : « Comme tu veux ma chérie, c'est toi qui décide. Personne ne t'en voudra si tu ne veux pas. » Elle ne m'aide pas beaucoup. Pensant qu'elle appréciera, je décide de dire oui. Je monte l'escalier devant les deux garçons et les guide vers ma chambre.

Je suis encore toute courbaturée de la veille, je n'ai pas une envie intense, juste envie de douceur, et je constate vite que les garçons, qui sont des habitués, l'ont compris. Ils s'allongent sans se déshabiller de chaque côté du lit, je quitte mon débardeur et m'allonge nue entre eux deux. J'écarte instinctivement mes jambes et les pose sur la jambe de chacun d'eux. Ils commencent à me caresser délicatement, leurs mains effleurent juste ma peau, me procurant de doux frissons. Petit à petit, le désir monte, leurs caresses se concentrent sur ma chatte et mes seins. Jacky se place entre mes cuisses et me pénètre délicatement. Il va et vient doucement et tendrement. Je fais comprendre à Grégoire que je veux le sucer en m'emparant de sa bite et en ouvrant la bouche. Jacky me tire alors vers le fond du lit sans sortir de mon ventre afin de mettre ma bouche à hauteur. Je tourne ma tête vers la bite de Grégoire et je commence à le sucer pendant que Jacky me besogne toujours très lentement. Je suis bien, je trouve ça très agréable et je commence à gémir. Ils échangent régulièrement leurs places sans que je n'aie à changer de position.

Ça doit faire au moins 30 minutes que ça dure, je sens l'orgasme monter en moi, je sens aussi qu'ils se retiennent pour ne pas éjaculer, je relève la tête pour regarder Grégoire et lui dis : « Dans ma bouche », puis je reprends ma fellation. J'ai très envie de goûter son sperme chaud que je ne me souviens pas avoir reçu ainsi la veille, si ce n'est en nettoyant son sexe. Grégoire prend sa bite en main et commence à la masturber en laissant juste son gland dans ma bouche ouverte, Jacky a accéléré le rythme et me bourre maintenant violemment, je jouis juste au moment où il s'enfonce profondément pour lâcher son sperme dans mon ventre. Je voudrais crier mais Grégoire m'en empêche en éjaculant au même moment dans ma bouche. Je me masturbe violemment le clitoris pour faire durer l'instant, tout en avalant le sperme de Grégoire.

Allongés côte à côte sur le dos pour reprendre nos esprits et notre souffle, je pensais qu'on en resterait là, que les gars étaient aussi épuisés que moi, mais je me trompais. Rapidement, ils se remettent à me caresser tendrement, je sens leurs sexes reprendre de la vigueur contre mes cuisses. Je fus encore prise plusieurs fois, Grégoire éjacula une fois de plus en inondant mes seins, Jacky prit son plaisir dans mon cul.

Je remarque qu'on était en fin d'après-midi car le soleil ne tape plus derrière mes rideaux bien qu'il fasse encore jour. Je finis par m'endormir entre les garçons.

Je me réveille, entendant des voix autour de la piscine. Un peu de fraicheur pénètre dans la chambre et je trouve ça agréable. J'ouvre les yeux pour voir Grégoire accoudé sur le flanc à côté de moi, Jacky n'est plus là. Je lui demande l'heure, il est 20h00, je me suis assoupie 45 minutes. Il rajoute que Jacky vient juste de partir sans oser me réveiller pour m'embrasser : les voix que j'entends en bas sont la sienne, celles de Marie et de Michel. Je sens contre mes cuisses la queue de Grégoire à nouveau dure et je me dis que ce gars à une sacrée santé. On vient de passer toute la nuit puis toute l'après-midi à baiser et il bande encore. Il me caresse le dos très délicatement en m'embrassant, j'entends des plongeons dans la piscine, je me laisse aller à ses caresses. Je n'en reviens pas que le désir monte à nouveau en moi. Il me fait me mettre sur le dos, relève mes cuisses et me suce le clitoris, un peu douloureux au début, puis il me fait rapidement gémir en l'aspirant dans sa bouche entre deux coups de langue. J'ai un petit orgasme dans sa bouche.

Il se rallonge à côté de moi, je vais rapidement aux toilettes en ayant du mal à marcher, reviens et m'allonge aussi à ses côtés. Il n'a pas pris son plaisir, je lui dois bien ça, alors je le suce un peu, mais ma mâchoire me fait mal. Je m'allonge sur le dos, cuisses ouvertes, il me caresse à nouveau en effleurant ma peau, mes seins puis mes petites lèvres qui écartent les grandes tant elles sont gonflées. Son doigt se met à caresser mon anus, je m'ouvre un peu plus pour lui faciliter l'accès. Ça doit l'encourager car il commence à enfoncer ce doigt dans mon trou. Il entre et sort la première phalange et parvient à m'arracher quelques gémissements. Je sens sa bite de plus en plus dure sur ma cuisse. Je vois le tube de gel resté sur le chevet, je m'étire pour l'attr et le lui tendre sans un mot. Je vois dans ses yeux qu'il est satisfait que je lui offre ainsi mon cul. Il me dit « t'inquiète pas, je me doute que c'est sensible, je vais y aller doucement et si ça ne va pas, dis-le moi ». Je relève mes cuisses très haut en les tenant de mes mains et je les écarte au maximum. Je sens encore du sperme de Jacky qui coule de mon trou. Grégoire me prépare longuement l'anus en mettant deux ou trois fois du gel autour et dans le trou. Puis, comme la veille, il me prend petit à petit, ressortant souvent pour s'enduire le sexe de gel. Il s'écoule au moins ½ heure avant qu'il ne soit au fond de mes entrailles sans m'avoir fait mal. Je me sens très dilatée par ce pieu énorme. Très lentement, il commence à me pistonner. Je perds la notion du temps car ça dure très longtemps. Je commence à pousser des petits cris de plaisir, ce qui l'encourage et le fait accélérer petit à petit jusqu'à me bourrer très fort. Soudain, il s'enfonce à fond, je hurle de plaisir et de douleurs mêlées quand il gicle dans mon ventre. Il reste planté au fond de mon cul tout le temps de mon orgasme et quand il se retire, il est tout mou. Il m'a fait jouir du cul malgré la taille de son engin, je m'affale totalement exténuée.

Au bout de quelques minutes, il me dit qu'il est 22h00 et qu'il doit partir. Il me demande s'il peut prendre une douche, je lui réponds que oui, bien sûr. Je reste là, sans bouger, j'ai envie de le rejoindre sous la douche mais je suis incapable de me lever. Puis il se rhabille et s'assoit au bord du lit, m'embrasse et enfin me remercie pour ce beau week-end. Marie entre au moment où il se lève. Je les entends discuter une dizaine de minutes dans le couloir puis il part.

Marie, en peignoir, s'assoit au le bord du lit :

« Ça va Amélie ? »
« Oui, mais je suis exténuée »
« Vous avez baisé toute la journée ? »
« J'ai dormi ¾ d'heure mais le reste du temps on n'a fait que baiser »
« Tu n'as pas faim ? »
« Si, un peu »
« Moi aussi. Michel est déjà couché car il part de bonne heure demain pour Bordeaux. Nous n'avons pas mangé non plus. Tu as de quoi grignoter dans ton frigo pour que je nous prépare quelque chose ? »
« Il est plein, fais comme chez toi »

Après s'être affairée dans la cuisine, elle m'appelle, j'enfile mon débardeur et la rejoins sur le canapé. Elle a préparé une omelette, diverses crudités ainsi que le plateau de fromage, nous mangeons sur la table de salon. Elle me parle alors des quatre garçons : Yves et Marc, avocats associés à Pau, qu'elle et Michel ont rencontrés dix ans plus tôt au cours d'une soirée échangiste. Ils s'étaient vus souvent pendant 7 ou 8 ans mais les deux avocats, maintenant mariés avec des femmes non échangistes, ne participaient qu'à de très rares soirées. Marie continuait à coucher avec eux de temps en temps.

Jacky, notaire et ami de longue date aussi, était dans le même cas. Mais comme il était installé dans la banlieue toulousaine, ils se voyaient plus fréquemment. Marie allait même de temps en temps coucher avec lui dans un hôtel proche de son étude.

Quant à Grégoire, ils s'étaient connus avec Michel sur les bancs de l'école. Marie l'avait connu à 20 ans, quand elle avait rencontré Michel. Elle m'explique qu'il avait été sa première expérience échangiste à 21 ans : De retour d'une soirée bien arrosée, ils avaient fait l'amour à trois presque naturellement. C'est tous les trois qu'ils ont petit à petit intégré le monde échangiste. Ils se voyaient donc depuis suffisamment souvent pour que Marie ait accepté les rapports non protégés avec eux quatre.

Grégoire est chirurgien plastique et les contraintes de son métier font qu'à 36 ans, il est toujours célibataire. Marie rajoute que ses gros besoins sexuels en ont aussi découragées certaines, elle précise qu'elle et maintenant moi sommes les seules qu'il prenne sans capotes.

Elle me parle aussi travail, m'annonce qu'elle va embaucher deux personnes et les installer dans un bureau en ville. Ils géreront les affaires courantes de la SCI, par contre elle et moi resterons dans le bureau ici. Nous gérerons ce qu'elle ne veut pas déléguer, soit pas plus de 2 jours de travail par semaine, en comptant ½ journée au bureau en ville pour faire le lien. Comme je lui fais part de mes interrogations sur mon sort, elle me dit que je suis promue secrétaire de direction attitrée, avec une augmentation de salaire. De cette manière, nous aurons du temps à nous. Elle prévoit cette mise en place pour janvier 2010, soit 4 mois plus tard.

Nous terminons de manger et nous débarrassons, elle me demande alors si ça me gêne qu'elle dorme avec moi. J'accepte avec joie, d'autant qu'elle prévoit une grasse matinée le lendemain et de ne commencer à travailler que l'après-midi. Je lui dis que je vais prendre une douche, elle m'en dissuade car elle aimerait passer la nuit avec les odeurs de sperme et de sueurs. La chose me convient aussi car j'aime bien dormir dans ces effluves qui me rappelleront jusqu'au lendemain le merveilleux week-end que je viens de passer.

Nous nous caressons un peu sans faire l'amour, je lui raconte dans le détail l'après-midi et la soirée que je viens de passer sans elle. Elle me dit que la veille, elle était allée se coucher après 4h00 du matin et qu'à cette heure-là, toutes les portes étant restées ouvertes, elle m'entendait encore crier sous les assauts. La nuit avait pour moi été plus longue que je ne croyais. Elle me parle aussi de Grégoire qui, avant de partir, lui avait demandé si j'accepterais de le revoir de temps en temps, rien que tous les deux.
Elle lui avait répondu qu'elle me poserait la question, refusant de lui donner mon numéro de portable sans mon accord. « C'est d'accord », lui dis-je. Elle l'appellera demain.

Nous nous endormons assez rapidement dans les bras l'une de l'autre pour ne nous réveiller que tard le lendemain matin.

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