Nouvelles Expériences

Le lendemain de ces révélations, de mon bureau, j’ai appelé la fille de ma secrétaire pour lui demander de venir garder nos s pour la soirée. Elle est arrivée à la maison une heure après moi. J’ai appelé Géraldine qui préparait le repas à la cuisine et je lui ai dit :
- Laisse tomber tout ça, je t’emmène au restaurant.
- Et les s ?
- Christine la fille de ma secrétaire va s’occuper d’eux elle va les surveiller et leur donner à manger, il n’y a pas de problèmes.
- Tu l’as appelé ?
- Oui, elle est déjà là, prends ton manteau, et suis moi.
- Mais je vais me changer.
- Non, tu es très bien comme ça, viens vite.
Dans la voiture pendant tout le trajet, j’ai profité d’avoir une voiture automatique et donc une main libre pour la caresser. Quand nous sommes arrivés sur le parking du restaurant, elle était au bord de l’orgasme. Elle a fini d’exploser quand je me suis arrêté. Nous sommes restés un petit moment dans la voiture avant de descendre pour qu’elle reprenne un peu son souffle et que le rouge de ses joues disparaisse. Pour rejoindre le restaurant, Je marchais derrière elle et je sentais l’odeur de sa jouissance qui lui donnait un parfum très excitant, les hommes que l’on croisait se retournaient pour la regarder, surement attirés par cette odeur de femme en chaleur.
Je la sentais très mal à l’aise et j’en profitais. En entrant dans le restaurant plein de monde je lui ai soufflé dans l’oreille :
- Tu as bien jouis dans la voiture ?
Elle est devenue toute rouge et m’a dit :
- Tais-toi.
J’ai reposé ma question en ajoutant :
- Si tu ne me réponds pas je te le demande plus fort.
Elle s’est tue pendant que le serveur nous installait à une table puis elle m’a répondu :
- Oh oui, c’était merveilleux mais maintenant, je me sens sale, j’ai ma culotte toute mouillée.
- Retire la et met la dans ton sac.
- Ici ?
- Oui, pourquoi pas, tu disais que le risque amplifiait l’excitation, enlève la tout de suite.


- Non, je n’ai pas le courage, les gens vont me voir faire.
- Mais non, si tu t’y prends bien, ils ne verront rien, enlève la ou c’est moi qui te l’enlève.
- Tu ne le ferais pas ça quand même.
- Pourquoi pas regarde.
J’ai tendu mes bras sous la table et je lui ai caressé les cuisses et le bas ventre en effet sa culotte était trempée.
- Arrête, les gens nous regardent.
- Ça ne me dérange pas, tu l’enlèves ou je m’en occupe.
- Je l’enlève, pousse tes mains.
Je l’ai regardé se contorsionner un peu sur sa chaise puis elle s’est immobilisée, j’ai senti ses pieds contre mes cuisses.
- Prends la elle est autour de mes chevilles.
Sans rien dire je l’ai prise et l’ai enfilé dans ma poche pendant que le serveur prenait notre commande. Je la voyais toute rouge de honte, je n’arrêtais pas de lui faire des propositions a voix assez haute pour que les tables voisines puissent en profiter. Je m’amusais comme un petit fou, de voir ses joues se colorer à chaque fois que je lui disais des cochonneries.
Elle n’a presque rien mangé. Elle restait figé sur sa chaise immobile, elle n’arrêtait pas de murmurer
- Je suis sure que tout le monde sais que tu as ma culotte dans ta poche.
- Mais non, personne ne l’a vue, calme toi, c’est rien.
À la fin du repas au moment de payer, « par inadvertance », j’ai sorti sa culote odorante de ma poche devant les yeux ahuris du serveur. Elle est devenue une nouvelle fois toute rouge puis s’est levé pour partir à la voiture. Quand je suis arrivé à côté d’elle :
- Tu l’as fait exprès, Ne me refais jamais un truc pareil, je suis morte de honte. Il y avait des gens que je connais dans le restaurant.
- Ça ne t’a pas excité ?
En lui demandant ça, je passais ma main doucement entre ses jambes sur son sexe.
- Oh oui, tu es très excité, tu es toute mouillée, prête à me recevoir.
- Tu ne vas pas faire ça, ici ?
- Pourquoi pas, j’en ai très envie.

- Non, pas ici, rentrons à la maison
- J’ai très envie, et puis il fait bon, c’est agréable d’être dehors.
En disant ça j’ouvrais mon manteau, baissé mon pantalon et en sortant mon chibre. Je l’ai poussé contre le capot de la voiture et je suis entré en elle d’un coup. Elle a poussé un long râle puis s’est mise à haleter au rythme des coups de bite que je lui donnais.
En me garant, j’avais bien choisi ma place, nous étions en partie cachés par une haie de sapinette mais nous pouvions voir tout ce qui se passait sur le parking. Elle était couchée à plat ventre sur le capot de la voiture et je la besognais énergiquement. Quand elle a jouis, elle n’a pas pu retenir une série de petits cris stridents. Comme il n’y avait personne, ça n’a pas eu d’importance si ce n’est amplifier mon excitation. J’ai rapidement éjaculé en râlant en m’enfonçant un grand coup au plus profond de son ventre. Je me suis retiré, rhabillé la laissant là devant moi un peu comateuse couchée sur le capot de la voiture, sa jupe retroussée dans son dos laissait ses fesses et son sexe bien exposé à la lueur des lampadaires. J’ai remarqué le mélange de sperme et de cyprine qui s’écoulait de son sexe, je lui ai tendu sa culotte.
- Remet la pour ne pas tacher les sièges.
- Salaup, tu en as bien profité.
- Oui, mais je pense que tu as bien aimé toi aussi
- J’ai bien jouis d’accord, mais je n’ai pas aimé ça, je suis morte de honte pour ce que tu m’as fait faire.
- Il n’y a pas de raisons, c’est naturel. On rentre ?
- Oui, mais on passe par le centre-ville.
- Pourquoi ?
- Tu verras.
Ne comprenant pas trop, J’ai démarré direction le centre-ville. Elle s’est confortablement installé dans son siège puis elle a tendu le bras, a ouvert mon pantalon et s’est mise à me caresser. Rapidement je me suis remis à bander. Quand je me suis arrêté au premier feu rouge elle s’est couchée par-dessus la console centrale et s’est mise à me sucer en me branlant.
Elle s’y prenait si bien que ma concentration s’est relâchée et je n’ai pas redémarré au vert complètement envahi par le plaisir qu’elle me procurait. Ce sont les coups de klaxon qui m’ont fait sortir de ma torpeur. Au moment où je redémarrais le feu repassait au rouge et le concert de klaxon a recommencé.
- Arrête, je ne peux pas conduire comme ça.
- Mais si, tu peux.
- Non, je ne peux pas me concentrer et si un flic me voit conduire comme ça, je suis bon pour un retrait de permis.
- Alors dépêche-toi de jouir et j’arrêterais.
Pendant qu’elle me disait ça le feu est repassé au vert, j’ai démarré en trombe pour me retrouver arrêté cinq cent mètres plus loin à cause d’un autre feu. Sa bouche et ses mains faisait naitre en moi des frissons de plaisir que j’essayais de repousser pour rester concentré sur le trafic et pour pouvoir redémarrer quand il le fallait. Au bout d’un moment, un bouchon, je voyais à une quinzaine de voiture devant moi des clignotants bleu. Ah non, un contrôle de police, test d’alcoolémie. Heureusement je n’ai pas bu.
- Arrête toi vite il y a les flics.
- Jouis dans ma bouche et je m’arrêterais.
Lentement le bouchon avançait, elle pompait de plus belle. Plus que cinq voitures et c’est à moi. Je commence à paniquer, elle me pompe toujours en me caressant puis sa main est passée sur mes couilles et elle s’est mise à me les malmener, j’avance encore un peu, je commence à voir les képis, une crampe me paralyse tout le bas du corps et j’éjacule abondamment dans sa bouche. Elle se relève, du sperme coule sur son menton, je tire sur ma veste pour cacher mes attributs, tout essoufflé par l’orgasme que je viens d’avoir, j’avance encore un peu, un gendarme tape à ma vitre. J’ouvre …
- Bonsoir monsieur gendarmerie nationale, contrôle d’alcoolémie. Vous avez bu ce soir ?
- Non, rien, ah oui, avant de partir un petit apéro mais il y a longtemps.
L’agent me regarde, doit me trouver bizarre, mal à l’aise, il me tend son appareil.

- soufflez ………………. Encore………………..encore
Un bip
- C’est bon
Il reprend l’appareil, le regarde puis me fixe dans les yeux l’air sévère :
- c’est bon, allez-y mais partez vous coucher je vous trouve l’air très fatigué.
- Oui, merci monsieur l’agent, je n’habite pas loin et justement je rentrais me coucher.
A peine j’avais démarré qu’elle a éclaté de rire puis elle m’a dit :
- Tu as aimé, j’espère ?
- Non, pas du tout, j’ai failli perdre mon permis à cause de toi.
- Pourtant tu as bien jouis.
- Oui, peut-être mais je n’ai pas du tout aimé ça.
- Et bien tu vois, pour moi, c’est pareil, j’ai bien jouis mais je n’ai pas du tout aimé ce que tu m’as fait au restaurant. On est quitte.
- Moi, ce que je constate c’est que ton histoire d’excitation démultipliée par le danger c’est du vent, je n’ai pas été plus excité à cause du flic bien au contraire.
- oui, tu as raison il faudra que je relise ce livre pour mieux comprendre ce qu’ils entendent par « risque ».

À suivre pour une nouvelle tranche de vie

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