Une Visite Impromptue

On passe en auto en bas de chez JC, rue St Denis. Une place se libère juste devant chez lui. Une aubaine. Je me gare. Je dis à Chantal qu’on va monter lui faire un petit coucou.
Au troisième, on sonne, un judas coulisse derrière la porte. Des frottements, un silence et il ouvre. Il est en peignoir.
- Ma petite Chantal ? Quelle joie !
Vite il l’attire à lui et la fait entrer dans son couloir. Il l’embrasse dans le cou, elle rit heureuse car elle aime bien JC. Moi il me lance un salut à peine marqué. Elle se laisse faire quand il lui prend la bouche. Il l’entraîne, la porte même dans son salon. Elle est amusée, se laisse pousser. Et soudain, il la retourne et la culbute sur l’accoudoir de son canapé. Tout va tellement vite qu’elle ne peut se reprendre. Et avant de pourvoir se refuser, je vois qu’il a retroussé sa jupe haut sur les reins et sa culotte est à mi cuisses. Son cul apparaît. Sa bite aussi car il est nu sous son peignoir et déjà il est tout droit et dur. Chantal, je le vois se retourne vers lui et lui dit :
- Qu’es-ce que tu fais fait ? Non, s’il te plait ! Mais elle sourit en même temps.
Mais sa révolte est toute molle et d’un coup son gland s’enfonce dans sa chatte. J’ai bien vu en cet instant qu’au lieu de refuser l’introduction, les fesses de ma femme sont allées au devant de la bite tendue. C’est comme si c’était elle qui le baisait.
Elle gémit en remuant la tête de plaisir. Lui, souffle déjà. Sa bite quand elle ressort montre les sécrétions, la mouille de ma femme qui prend du plaisir. Cela va très vite. D’un coup il râle quand il se déverse en elle. C’est aussi ce moment qui la fait jouir, violemment sans aucune pudeur. Elle se laisse mettre là sans aucune retenue seulement guidée par son désir de se faire prendre, baiser.
Quand il ressort, le foutre s’échappe d’entre ses fesses. Quelle giclée il lui a mise !
- Putain que tu es bonne, lui souffle-t-il dans le cou. Tu m’as bien fait jouir.


Moi, il ne s’est même pas inquiété de savoir ce que je pensais. A vrai dire je bandais aussi.
Sans même la relever, il se rajuste et file à son bureau comme si rien ne s’était passé. Mais en passant devant la porte de sa chambre je l’entends dire.
- Vous pouvez venir les gars, elle ne demande que ça ! C’est une chienne de bourgeoise et son mec ne la fait plus reluire depuis longtemps.
Je suis effaré, deux de ses potes que je connais bien, sortent de la chambre la queue dressé à la main. Ils ont bien sûr assisté à la scène.
Chantal qui s’est relevée et à peine rajustée, au lieu de se refuser, leur lance un joyeux bonjour avec un large sourire. Je n’y crois pas ! Ma femme si revêche à baiser avec moi. Elle est toute rouge encore toute excitée par cet assaut, cette saillie brève mais jouissive.
Alors, c’est encore mollement et en riant qu’elle fait semblant de se refuser. Les deux gars l’entourent, son chemisier est ouvert ses seins jaillissent. On les pelote, suce leurs bouts et vite, ils la poussent sur le divan et dans la même position. Sa culote est arrachée. Le premier la prend sans ménagement, la pénétrant d’autant plus facilement qu’elle est lubrifiée par le foutre de son premier amant. Il la pilonne rapidement. Il a une grosse bite et ne tarde pas à la faire feuler à son tour puis crier quand il lui gicle dedans, planté au fond de son ventre comme pour bien la féconder. Repus il sort en lui donne une tape sur les fesses. Chantal ne bouge pas, elle sait qu’une autre saillie l’attend. Une autre bite dans son ventre. Et c’est vrai ! Le second complice présente sa bite et sans bienséance ni convenance l’enfonce dans ce con tout souillé de foutre.
Lui aussi la lime brutalement comme elle aime, en la traitant de pute, de chienne de salope. Cela l’excite je le sais et très vite elle jouit pour la troisième fois en poussant des cris qui ne laissent aucun doute sur l’intensité de son plaisir. Moi je jouis dans mon slip sans même avoir à me toucher.

Quand il se retire, un jet de foutre jaillit d’entre les lèvres distendues de sa chatte. Elle se redresse, rajuste juste sa jupe sans même essuyer le foutre qui s’écoule maintenant entre ses cuisses. Elle a ses joues d’un rouge intense, vif, marquées par la jouissance qui vient de la submerger à l’occasion de cette baise aussi brève que violente et inattendue.
Les deux gars se sont éloignés. Ils ont eu ce qu’ils voulaient. Je les entends rigoler avec JC et je comprends alors qu’ils ont pris des photos bien excitantes.
- Dis donc, je lui dis, pour une femme qui ne veut plus baiser avec moi, tu t’es bien laissée faire non ?
- Oui, c’est vrai, mais ils ont des arguments eux. Leurs bites sont bien plus grosses que la tienne !
Quand on quitte l’appartement, ils nous saluent à peine, reprenant leurs occupations.

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