Nouvelles Expériences 5

Le vendredi après-midi, Géraldine a préparé la table du salon pour le repas du soir avec une assiette de plus, j’ai à nouveau préparé mon apéro canon puis nous avons attendu en nous câlinant un peu sur le canapé. J’étais en pleine forme, secrètement heureux de pouvoir enfin avoir mes trois maîtresses dans mon lit en même temps. Il n’y avait qu’une ombre au tableau. Je n’avais aucun souci pour ma femme adorée Géraldine ni pour Ma chérie de très long terme Marie-Christine. On se connaissait si bien. Celle qui m’inquiétait le plus, c’était Ursula, je ne la connaissais pas suffisamment pour la comprendre, anticiper ses réactions, je n’avais pas eu le temps de l’étudier, je n’avais fait que la baiser, guidé par mon épouse. En dehors du fait qu’elle était lesbienne et que je l’avais dépucelé, je ne connaissais rien d’elle. Enfin comme dit le dicton « qui vivra verra » .
Dix neuf heure trente, on sonne à la porte. Géraldine part ouvrir j’entends papoter dans l’entrée, je vais voir. Dans l’embrasure de la porte je reste en arrêt devant le spectacle, j’avais en file trois magnifiques femmes, une blonde, une brune et une rousse. Le rêve. Ursula se met à faire les présentations. Marie-Christine joue très bien son rôle de femme entièrement soumise, il ne lui manque que le collier de chien et la laisse. Nous passons tous au salon et en servant les verres je déclare :
- Confies-nous Ursula, où as-tu trouvé une si belle copine ?
- Ce n’est pas ma copine, c’est mon esclave, j’en fais ce que je veux.
- Non, l’esclavage n’existe plus de nos jours, tu ne peux pas lui imposer tout ce que tu veux.
- Oui, je t’assure, regardes. Marie-Christine, déshabilles-toi.
- Oui, maîtresse.
Silencieusement elle se lève et se déshabille doucement. Je n’en reviens pas, elle joue son rôle à merveille. Un fois qu’elle est entièrement nue Ursula ordonne :
- Montes sur la table basse et caresses-toi.
- Oui, maîtresse.


Elle s’exécute et rapidement se met à gémir de plaisir.
- Stop, ne jouis pas, viens plutôt me faire jouir.
- Oui maîtresse.
Elle descend de la table, s’agenouille entre les jambes d’Ursula, lui remonte sa jupe et se met à lui lécher le sexe. Rapidement Ursula gémit de plaisir, Marie-Christine lui pistonne maintenant le sexe de ses doigts, les gémissements s’amplifient pour terminer en râle de jouissance.
- Stop, arrêtes, ça suffit maintenant.
- Oui maîtresse.
Géraldine, les yeux écarquillés, demande :
- Elle peut aussi me faire jouir ?
- Oui, retires ta culotte et assieds toi là. Marie-Christine, fait lui comme à moi.
- Oui maîtresse.
Rapidement Géraldine râle de plaisir sous les caresses de Marie-Christine. Après qu’elle ait crié son orgasme, Ursula ordonne :
- Stop, viens t’asseoir pour prendre ta récompense.
- Oui maîtresse, tout de suite maîtresse.
Elle s’assied à coté d’Ursula qui se met à la caresser doucement. Je m’élance :
- Ton esclave pourrait me faire jouir à moi aussi ?
- Oui, bien sur, elle fait tout ce que je lui demande.
- Demande-lui de me faire un pompier pour voir.
Il m’a semblé voir un sourire sur les lèvres de Marie-Christine qui commençait à jouir. J’ai sorti mon chibre, Ursula lui a ordonné :
- Vas sucer Jean-Marc.
- Non maîtresse, je ne peux pas.
- Vas-y ou tu prends une fessée.
Elle s’est avancée vers moi et timidement m’a pris le sexe dans sa main avec un air dégoûté. J’étais intérieurement hilare, je l’ai regardé faire, comme si ça l’écœurait, elle a avancé sa bouche et s’est mise à me sucer. Au bout d’un moment j’ai demandé qu’elle arrête pour ne pas lui jouir dans la bouche. Ursula s’est exclamée :
- C’est très bien ma petite, tu obéis bien, il ne faut plus que tu dises non quand je t’ordonne quelque chose. Compris.
- Oui maîtresse mais les hommes, moi, ce n’est pas mon truc.
- Je m’en fous, tu fais tout ce que je t’ordonne et tu seras récompensée, tu ne le fais pas, je te battrai.

- Oui maîtresse.
Je me marrais tellement à voir comment Marie-Christine jouait son rôle de femme soumise que j’ai du partir faire un tour aux toilettes. Je ne me serais jamais imaginé que ça puisse être aussi marrant de faire marcher Ursula qui se croit vraiment la maîtresse de Marie-Christine. Après cet intermède nous sommes passés à table. Ursula n’a pas arrêté de donner des ordres à la pauvre Marie-Christine mais elle a bien gentiment continué à jouer son rôle d’esclave soumise. Je pense que sa vengeance va être terrible. Elle en aura trop bavé. A la fin du repas, j’étais aux anges. J’avais bien mangé, bien bu, j’étais entouré par trois magnifiques femmes presque nues qui ne rêvaient que d’une chose, que nous passions au lit. Pour débloquer un peu la situation j’ai commencé à demander :
- Dis moi, Marie-Christine, as-tu déjà connu des hommes ?
Elle a regardé Ursula.
- Réponds à Jean-Marc.
- Non monsieur, je n’ai jamais connu d’hommes.
J’ai failli éclater de rire devant toute l’assistance mais je me suis contenu.
- Il va falloir réparer cet oubli de ta vie ma petite. Tu es d’accord Ursula ?
- Bien sur, si tu te réserves un peu pour moi.
- Et moi alors on y pense un peu.
- Oui, je me réserverai pour vous toutes mais je pense qu’il y a une priorité, cette pucelle doit connaître la bite, d’accord ?
Ursula et Géraldine ont approuvé. Ursula a ordonné :
- Marie-Christine tu vas suivre Jean-Marc et tu feras tout ce qu’il te demande, c’est bien compris ?
- Oui maîtresse.
Je me suis levé et je l’ai entraîné à l’étage dans la chambre. Là nous nous sommes fougueusement embrassés, je me suis déshabillé et nous nous sommes mis au lit. En entrant en elle je lui ai chuchoté à l’oreille :
- Tu es la reine des comédiennes, je ne sais pas comment tu as fait pour garder ton calme mais moi, j’ai failli craquer et éclater de rire plusieurs fois.
- Moi aussi j’ai failli éclater de rire surtout quand j’ai du mimer la dégoûtée en te suçant alors que j’adore ça.

- Penses que tu es vierge, prête à crier ?
- Oui, vas-y.
Elle y a mis tout son cœur, je suis sur que même les voisins ont du entendre son hurlement puis ce fut des cris de plaisir qui ont raisonné dans toute la chambre je me contrôlais un maximum pour lui faire avoir plusieurs orgasmes sans jouir puis j’ai senti des mains me caresser le dos, les fesses, les couilles, elles étaient montées et me poussait à jouir pour prendre la place de Marie-Christine. Au moment où j’allais éjaculer, Géraldine m’a fait sortir et c’est Ursula qui s’est empalée sur moi pour que je me vide en elle. La nuit fut très agitée, je n’ai pas eu beaucoup de repos. Après chaque jouissance, elles s’activaient sur moi pour me refaire bander. Je crois qu’à la fin je devais éjaculer de la poussière tellement elles m’ont vidé.
Le lendemain quand j’ai refais surface, il était dix huit heures, j’avais dormi toute la journée, dans la maison il n’y avait plus que Géraldine ma femme chérie, j’avais le sexe douloureux. Elle m’a embrassé et m’a confié :
- Je ne te savais pas si performant, tu nous as honoré toute les trois pendant toute la nuit. C’était merveilleux. Tu as bien réussi ton coup avec la petite Marie-Christine, de lesbienne pucelle elle est devenue nymphomane c’est moi qui l’ai faite se pousser pour que tu ne jouisses pas en elle, elle ne doit pas se protéger. C’est encore « l’outre à sperme » qui prenait à chaque fois. J’espère que tu seras bien en forme vendredi prochain je les ai à nouveau invitées.
Le lundi, je me suis bien reposé au bureau, le mardi matin je suis passé voir un copain pour qu’il me donne un remontant pour augmenter ma production de sperme, l’après-midi je suis passé voir Marie-Christine, nous avons été très sages, je me suis contenté de boire un café avec elle en riant de la soirée que nous venions de passer puis je l’ai faite jouir en la caressant mais je ne lui ai pas fait l’amour. Je me réservais pour le vendredi suivant. Le jeudi, j’avais mes couilles qui avaient presque doublées et j’avais très mal.
J’ai été obligé de faire l’amour à Géraldine pour faire baisser la pression. Les médicaments que m’avait prescrit mon copain le médecin marchaient super bien.
Enfin le vendredi soir, j’avais à nouveau très mal aux couilles tellement elles étaient gonflées de foutre. Après l’arrivée des filles pendant l’apéro, j’ai baissé mon pantalon pour leur montrer mon problème j’ai eut l’impression de voir trois gamines devant un beau gâteau à la crème, la première à réagir a été Marie-Christine qui m’a pris par la main pour m’entraîner vers la chambre. Nous nous sommes rapidement déshabillés puis elle m’a poussé sur le lit et m’a chevauché en râlant de plaisir. Les autres sont arrivées au moment où j’étais sur le point de libérer ma première décharge. Géraldine a plongé sur nous pour me faire sortir de Marie-Christine en disant :
- Ne la remplis pas, elle ne se protège pas, tu vas la mettre en cloque !
Marie-Christine a résisté et s’est a nouveau empalée sur moi en disant :
- Tu peux y aller j’ai mis un diaphragme, je ne risque rien et j’aimerai te sentir te vider en moi.
Elle a continué à s’activer. Géraldine s’est mise à me caresser les couilles et j’ai explosé.
Pendant que je reprenais mon souffle, j’ai entendu un truc qui m’a fait naître des frissons dans le dos. C’était Ursula qui demandait :
- Qu’es-ce que tu entends par se protéger ?
- C’est porter un diaphragme comme Marie-Christine ou prendre la pilule comme moi.
- Mais ça sert à quoi ?
- A ne pas se retrouver en cloque pourquoi ?
- Non, rien, moi je ne prends pas la pilule.
- Tu portes un diaphragme ?
- Non.
- Tu t’es fait poser un stérilet alors ?
- Non, rien, je ne fais rien et je ne suis pas comme tu dis en cloque c’est des histoires tout ça.
- Et mes gosses tu crois que c’est la cigogne qui me les a apportés ? Si tu n’es pas en cloque avec tout ce que Jean-Marc t’a mis depuis qu’il te baise c’est que tu as vraiment beaucoup de chance.
- Je ne sais pas, je m’en fous, pour moi ce qui compte c’est le plaisir que j’ai.
- Arrêtes de dire des bêtises, viens on va faire jouir Marie-Christine.
Elles se sont jetées sur elle, m’offrant un spectacle merveilleux. Géraldine l’embrassait et lui caressait la poitrine Ursula lui pistonnait le sexe. Elle n’arrêtait pas de gémir de plaisir. J’étais comme hypnotisé par l’action d’Ursula, elle avait commencé avec deux doigts, maintenant c’était sa main entière qui entrait et sortait du sexe de Marie-Christine, ce spectacle m’a fait bander très fort, Ursula l’a remarqué et s’est mise à me branler de son autre main.
Au bout d’un moment je l’ai vu retirer sa main puis la replonger en tirant sur mon chibre pour que j’entre en elle puis de sa main à l’intérieur de ce vagin brûlant, elle s’est mise à me branler. C’en était trop pour moi, me faire branler de la sorte à l’intérieur du ventre d’une belle femme j’ai à nouveau rapidement jouis très fort et me suis écroulé comateux.
J’ai été tiré de mon coma par des frissons, je ne sais pas comment elles avaient fait mais je bandais encore, Marie-Christine me léchait les couilles, Ursula me chevauchait énergiquement et Géraldine m’embrassait le ventre et la poitrine. J’ai bien voulu me retenir mais je n’ai pas réussi, j’ai à nouveau éjaculé très fort en elle. Sous la violence de l’orgasme j’ai replongé dans une sorte de coma.
Je ne sais pas combien de fois ça s’est passé mais à mes rares moments de lucidité je découvrais une nouvelle femme sur moi et je jouissais pour replonger. Finalement au petit matin je me suis réveillé, je suis sorti du lit tout doucement pour ne pas réveiller les nymphes qui dormaient profondément. En posant le pied par terre j’ai senti un truc froid et gluant, je l’ai ramassé et l’ai jeté à la poubelle sans même le regarder. J’ai regardé mes couilles, elles avaient à nouveau un aspect normal. Je ne sais pas si je vais continuer à prendre ce médicament, je sais que j’ai joui toute la nuit mais j’en garde presque aucun souvenir, je n’étais finalement que le jouet, le distributeur de foutre de ces trois magnifiques femmes. J’ai pris un copieux petit déjeuner et je suis remonté me coucher au milieu de mes maîtresses. On a dormi longtemps, quand nous nous sommes réveillés la nuit tombait a nouveau.
A la demande générale, je n’arrête pas de prendre le médicament que m’a prescrit mon copain médecin. Géraldine a été la première à revendiquer.
- Tu m’as fait passer une nuit de rêve mon chéri. Même au début de notre rencontre, tu ne pouvais pas jouir autant de fois et nous étions que nous deux. Hier soir tu t’es surpassé. Tu as joui abondamment au moins cinq fois avec chacune de nous, la nuit que tu nous as fait passer est à marquer dans les annales.
Ursula a renchéri.
- C’était une nuit fabuleuse, je ne sais pas comment tu as fait, quel est ton secret, mais tu jouissais avec une et quelques minutes après tu bandais de nouveau pour donner du plaisir à une autre. Je n’avais jamais vu ça de ma vie. En plus, ça a duré toute la nuit. Je suis sure que si tu ne nous avais pas épuisé toutes les trois, nous serions encore entrain de baiser.
- D’accord, ça a été une magnifique soirée pour vous trois, mais moi, j’en ai presque aucun souvenir. Je me souviens d’avoir beaucoup joui mais c’est presque tout. J’ai des flashs qui me reviennent par moment c’est tout. C’est pourquoi je voulais arrêter ce produit, ce que je préfère dans l’amour c’est pouvoir contrôler, me retenir ou jouir en même temps que ma partenaire. Là, j’ai été votre gode vivant, c’est tout, je ne contrôlais plus rien, je n’aime pas trop ça.
Marie-Christine s’est mise à demander :
- Arrêtes si tu veux de prendre ce produit mais fais-le la semaine prochaine qu’on puisse en profiter encore vendredi. C’était trop bon, je ne m’étais jamais sentie aussi remplie que cette nuit. Je t’en supplie, nous le voulons toutes, continues à prendre ce médicament cette semaine.
- Je me plie à la volonté de la majorité, Géraldine s’occupera de me le donner.
Elles sont reparties ravies en pensant aux plaisirs qu’elles auront le vendredi suivant. Moi, je me suis recouché pour reprendre des forces.
A suivre

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