Marie Ma Nouvelle Voisine - 16 - Fin Du Samedi Apres Midi

Nous buvons à nouveau du punch, Hervé est déjà un peu saoul, il bande désormais sans se cacher ... et son gland a taché son maillot de sorte qu'une auréole ne sèche pas ... pareil pour Laurent ... quant à vous Cello, vous déformez tant votre maillot que personne ne peut manquer de constater que votre sexe fait au moins deux fois celui de mon mari ...

Après ton second verre, tu te lèves et tu nous dis que tu vas prendre une douche, rincer ta robe et te changer pour le repas, nous laissant seuls entre hommes

Oui, je veux aller me doucher et me changer car ma robe est trempée mais comme je suis gênée de vouloir remettre ma robe et sortir dans la rue (nous n'osons pas dire à Hervé que la porte entre nos 2 jardins peut s'ouvrir), vous proposez que je me lave dans votre salle de bain et passe un corsage et une jupe qu'une de vos copines à laisser là. Pendant que je vous laisse entre hommes.

Laurent prends la parole :
"Dis donc Cello, tu aimerais bien rendre un service à Hervé ?"
Pendant que vous répondez "bien-sûr", Herve commence à avoir peur de ce que Laurent va bien pouvoir dire... Et en effet celui ci poursuit:
"Hervé était très excité dans la piscine de te voir masser Marie, peut être même autant que lorsque tu l’as branlé à la faire jouir ..."
C : oui et alors ?
L : Et bien il bandait tellement, d'ailleurs moi aussi, il faut dire que Marie est sacrément bandante avec ses gros pis, enfin bref, on bandait tellement qu'on a du se soulager, et Herve m'a avoué qu'il aimerait beaucoup voir son épouse se faire ramoner par un autre homme... Tu ne voudrais pas la baiser devant lui par hasard ? Hé ! Hervé c'est bien ce que tu m'as dit ? Tu m'as même dit, si je me souviens bien que la grosse queue de Cello t'excitait drôlement et que l'imaginer goûter la chatte de ta femme te faisait bander ? C'est bien celà ?"

Honteux, d'autant plus que son maillot ne peut cacher sa bandaison, Herve répond :

"Je heu.

.. et bien je heu... ça m'ennuie de dire ça mais je heu... oui c'est vrai, vous voir la masser et qu'elle se laisse faire çà me donne plein d'idée en tête, et je ne vous parle même pas lorsque vous lui avez beurré les seins et la chatte et que vous l'avez branlée et fait jouir... Vous comprenez elle est assez timide et même prude d'habitude, je ne la reconnaissais pas".

C : En tout cas ,ça vous fait bien bander Hervé, vous aimeriez que je baise Marie ? Si vous la faites boire un peu ce soir, ce n'est pas impossible, vous avez du voir qu'elle était assez docile et soumise à tout ce que je lui propose et si vous ne manifestez aucune réticence, je pense qu'elle n'est pas loin de se laisser aller... Marie semble déjà un peu saoule, je n'aurais pas de mal à la prendre par tous les trous.

Mais excusez moi de dire ça mais vous devriez aller prendre une douche et vous changer avant le repas, vous ne croyez pas.

Alors que je finis ma douche, j'ouvre un peu la fenêtre pour enlever la buée et me voir dans le miroir et j'entends ... J'entends mon mari dire qu'il a envie de vous voir me baiser avec votre grosse queue... J'ai hâte de passer à table et de jouer à se donner des gages

Dans la salle de bain, je suis trempée d'excitation et j'enfile sur ma poitrine nue, un corsage cache cœur en coton et élasthanne très fin, il est un peu juste et me fait un décolleté très prononcé ... en plus il ne faudrait qu'un peu d'aide pour en faire sortir mes gros seins ! Dans le miroir, je peux deviner le contour de mes mamelons autour de mes tétons dont le renflement est lui tout à fait visible ! Je prends ensuite la jupe d'été, ample mi cuisses ... je crois qu'une fois assise elle va me remonter jusqu'en haut des cuisses et dévoiler mon intimité ... je me retiens de me caresser et descends vous rejoindre bien consciente que le repas qui va arriver va vous permettre de me posséder devant mon mari cocu à mes cotés ...

Oui le corsage emprunté à l'une de mes amies, est un peu juste et tu ne peux boutonner le haut du corsage, laissant apparaître le haut de ta poitrine et ton sillon mammaire, quant à la jupe, elle est très courte et tu auras certainement du mal à cacher ton absence de dessous.


Lorsque tu viens me rejoindre dans la cuisine, je suis seul, Laurent est rentré chez lui, se doucher et se changer et Hervé a fait de même en rentrant chez toi. Je te félicite pour le choix de ta tenue et t'attirant près de moi, je t'embrasse à pleine bouche tout en levant ta jupe et constater que tu es trempée d'excitation. Tu en profites pour me raconter ce que tu as entendu de la fenêtre de la cuisine, encore excitée, et abasourdie de savoir que ton mari rêve de te voir prise par un autre que lui.

Tout en te caressant la chatte, je te dis :
"Tu sais que ce n'est pas bien d'être curieuse, je pense que pour cela tu mérites une bonne fessée, surtout que cela fait longtemps que tu n'en as pas reçues. Allez, retrousse ta jupe et viens t'allonger sur mes genoux".

Sans manifester aucun désaccord, tu t'exécutes. Je commence par te caresser les cuisses, puis les fesses, passant parfois ma main sur ton sexe imberbe, avant de te donner une claque sur ton joli cul, bientôt suivi de beaucoup d'autres. Après une dizaine de claques sur chaque fesse, je reprends mes caresses, alternant ainsi, claques, caresses et doigtage de ta chatte. Ton souffle devient très vite de plus en plus court, et tu te trémousses davantage sur mes genoux, écartant totalement tes cuisses, offrant ainsi ton sexe à mes caresses et claques, jusqu'à la jouissance. Mais je continue ,te faisant de nouveau jouir une deuxième puis une troisième fois, avant de t'ordonner de venir t'agenouiller entre mes jambes et de déboutonner ton corsage.
Je saisis alors tes mamelles à pleines mains et les malaxes furieusement, étirant parfois tes tétons, avant de les tordre, puis je me mets à gifler tes pis les faisant aller de gauche à droite et de haut en bas. Tu jouis de nouveau sous les coups sur ta poitrine, puis tu t'allonges sur le canapé, après avoir reboutonné ton corsage.

Tu es allongée sur le canapé, la jupe retroussée, le corsage dégrafé et la tête sur mes genoux et je te caresse les mamelles, lorsque Laurent sonne à la porte.


Dring ! Dring !

Tu te redresses aussitôt et réajuste ta tenue pendant que je vais ouvrir. Il est vêtu d'une chemise blanche, un jean et une paire de mocassin. J'ai à peine le temps de lui dire que j'étais en train de te peloter les pis et le mettre dans la confidence du but de la soirée que...

Dring ! Dring !

Cette fois-ci, c’est Hervé, aussitôt tu t'assois sagement sur le canapé, en face de Laurent qui s'est posé dans un fauteuil. J'accueille ton mari, qui est vêtu sensiblement de la même façon que le toubib et l'invite à prendre place dans le second fauteuil près du toubib et face au canapé. Je propose d'ouvrir une bouteille de champagne, alors qu'Hervé remarque ta tenue très sexy, mais n'ose faire de commentaire.

Après deux coupes chacun, et la bouteille vide, je vous invite à passer à table. Je te fais asseoir en bout de table , avec Laurent et Hervé à ta gauche et moi à ta droite, ce qui me permets d'avoir une vue dans l'échancrure de ton corsage.

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