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- Ça ne peut plus durer benoit, tu es le seul homme que j’ai connu, lorsque j’entends parler mes amies de sexe avec leurs mari, je reste muette, j’ai honte de moi, j’ai honte pour toi, c’est autre chose que ce que tu me donnes, je n’ai jamais jouis autrement qu’en me masturbant, seule sous la douche, est-ce que ça vient de ta verge trop petite ? Treize centimètres au plus ? Alors que mes copines parlent toutes de dix huit à vingt centimètres et de vingt minutes a une demi-heure de pur bonheur, en plus tu éjacule trop vite, trois minutes ‘préliminaires’ compris, peut-ont parler de préliminaires avec ton doigt qui me chatouille maladroitement ? ! et je ne parle pas des positions, tu n’en connais qu’une ! Non franchement j’ai été trompée sur la marchandise ! je VEUX connaitre autre chose
- Je sais Brigitte, c’est ma faute, si tu veux te trouver un amant je t’y autorise
- Il n’est absolument pas question d’amant, essaie de t’arranger ? prend des cours ?
- Je vais prendre rendez vous chez un sexologue, pour nous deux
- Hé bien voilà, c’est un début !

La semaine suivante le docteur G nous reçois, un homme autoritaire, des yeux vicieux derrière des petites lunettes rondes aux verres épais

- Alors madame est en manque de sexe ? tout d’abord pour comprendre la situation, vous allez répondre franchement à mes questions : madame ? qu’attendez-vous de la pénétration ? en dehors de vouloir procréer, évidement
- C’est simple, je veux avoir le vagin rempli par une bonne verge, qui tient raide le temps de m’amener au septième ciel et aussi connaitre des positions autres que la ‘missionnaire’ être une femme tout simplement !
- Vous ne pratiquez même pas ‘la levrette’ ?
- Benoit ne connais pas ce mot !
- Bien, benoit, déshabillez vous
- Moi ? entièrement ?
- Entièrement je veux me rendre compte par moi-même, soyez rassuré, après ce sera le tour de Brigitte
- Voilà docteur… je suis nu
- Otez le slip aussi que diable !.

.. ha oui… je comprends mieux …votre sexe est vraiment très petit, bon, masturbez- vous que je vois la différence en érection
- Comme ça ? a froid ? si je n’ai rien pour m’exciter je ne banderais jamais
- Que vous faut-il ? une revue ?
- Non, voir l’entrejambes de ma femme m’aiderais beaucoup
- Brigitte ? ôtez vos vêtements, assoyez-vous sur le bord du siège et ouvrez-vous face à votre mari
- Face à mon mari ? c’est quasiment face a vous aussi
- Peut être, mais je suis le docteur …et je dois décrypter toutes les phases, obéissez que diable vous n’êtes plus pucelle !!

Son autorité m’électrise, comme une automate je pose mes habits sur le dossier du fauteuil, pourquoi cette situation m’excite ? Je ne saurais le dire, mais une étrange sensation s’empare de moi à chaque vêtement retiré, je cache vite mon slip humide sous la pile, puis, je m’assois face a mon mari, peu a peu je me détends, mes genoux se relâchent, le sexologue pousse le vice à décaler son siège afin de profiter du panorama, pour qui est-ce que je m’exhibe ? Cet inconnu ou benoit ? Toujours est-il que mes cuisses sont à l’équerre

- Haaaa oui chérie c’est super… tu veux bien tirer sur tes lèvres ?
- Comme ça ?
- Huuummmm, tu mouille comme je ne l’ai jamais vu !
- Pardon ? vous dites qu’elle n’a jamais été aussi humide ? intéressant… est-ce que ça vous fait bander ?
- Ça vient docteur
- Fait attention de ne pas jouir trop vite…
- D’après vous, il est en érection totale maintenant ?
- Oui
- Effectivement, sa verge est limite, pour satisfaire décemment une femme normalement constituée comme vous Brigitte il faut bien plus, en tous cas, mes compliments, vous avez un corps magnifique
- Merci docteur… vous me faites rougir …

En disant ceci le docteur masse sans honte la bosse qui s’est formée depuis peu entre ses jambes, tandis que benoit se met à glapir

- HAAAA ça y est j’ai déchargé…
- Deux minutes trente… je comprends votre désespoir madame
- Je ne vous ai pas menti, c’est après que je vais me finir sous la douche
- Vous devriez me montrer votre façon de vous caresser madame…
- Je ne l’ai jamais fait devant personne….

- Faites ce que je demande….
- Va-y chérie, c’est pour notre bien

Une jambe sur un accoudoir, je ferme les yeux mes deux mains partent entre mes cuisses, l’une tient mes lèvres ouvertes, l’autre débusque mon clitoris qui n’a jamais été aussi gros, mon index va puiser de la liqueur a l’entrée de mon vagin pour enduire le mini gland fragile, je tourne autour avant de peser carrément dessus, je me mords la lèvre pour ne pas hurler de joie, je me branle devant deux hommes ! Curieuse de voir leur réaction, j’observe entre mes cils, mon mari se tripote sa nouille flasque, mais ce n’est pas le cas du docteur, en douce un manipule une trique qui me donne envie, elle dépasse largement de la braguette ouverte, le gland décalotté a l’air d’une grosse prune violette au creux de sa paume, c’en est trop ! Tout en continuant à titiller mon clito j’enfonce trois doigts dans ma moule et les fait aller venir vigoureusement, des gouttes abondantes tombent sur le carrelage

- Benoit ! Vite benoit ! Par pitié vient me baiser !
- Benoit qu’attendez-vous pour soulager votre femme ?
- Mais docteur voyez ma queue ! elle reste désespérément molle !
- Elle ne peut pas demeurer ainsi !
- Allez-y vous, baisez là, je suis d’accord
- Je vais donc me sacrifier, ne m’en veuillez pas si elle jouit !

J’entends le médecin se défaire a la hâte de ses vêtements, pour sauver les apparences il faudrait que je fasse semblant de refuser, mais la tentation est trop forte, mon autre jambes posée sur le bras du fauteuil, la moitié des fesses dans le vide, j’attends…ainsi ouverte qui pourrait résister a l’appel d’une chatte affamée
Je m’attendais à être embrochée d’un coup, mais c’est une langue qui vient recueillir ma cyprine, l’homme lape en émettant de grognements indélicats, jamais benoit ne m’a tétée ainsi, puis, il enfonce deux doigts très loin dans ma vulve, ça suffit à me faire jouir en sourdine, seul lui peut s’en apercevoir, car j’ai envie qu’il continue, je veux sa queue dans mon ventre

- Baisez-moi docteur VITE !!
- Elle est vraiment en manque votre pauvre femme
- Elle a besoin de jouir
- Je vais la satisfaire, soyez tranquille
- Faites ce qu’il faut, prenez votre temps

Soudain mes jambes sont relevées et posées sur ses épaules, sa grosse queue frotte ma fente avant de s’y engouffrer en totalité, je mes sens prise, pleine, comblée, et lorsqu’il se met en mouvement c’est irréel, mon vagin absorbe délicieusement les martèlements de ses coups de reins virils, lui seul peu sentir les contractions de ma moule sur son membre lorsque je jouis silencieusement, car j’en veux encore
- Voyez cette petite fente qui avale facilement mon gros nœud
- C’est impressionnant ! Ça n’te fait pas mal chérie ?
- HUUUMMMMM, c’est trop bon ! Il va si loin dans ma chatte qu’il découvre là où tu n’as jamais été, HAAAAAAAAAAAAAAAAOOUUUUUUIIIIIIIIIIII, Encore ! Encore !
- Je vais la secouer, regardez ses seins qui sautent, tenez les bien ! Tien salope ! Tien ! Tien ! Tien !.
.. Elles aiment qu’on leur dise des gros mots… Prend ça sac a bittes ! Espèce de chaudasse, putain !!
- Faut lui parler comme ça ?
- Quand on a une queue qui assure, oui, ça favorise l’orgasme, sinon fermez votre gueule, vous prendrez des baffes !
- Bon dieu, y’a de la mousse qui se forme autour de votre verge
- Je fais de la mayonnaise avec sa mouille…muuuuuuuuuummmmmm …..

Le sexologue fait comme moi, il jouit en sourdine, les jets puissants qu’il m’envoie au fond du con en percutant mon utérus passent inaperçus aux yeux de benoit, sa queue reste dure comme un roc et pourtant il se retire….

- Retournez-vous à genoux Brigitte…. Dites-moi ? L’avez-vous déjà sodomisée ?
- Ben non…
- Regardez ce p’tit cul il ne demande que ça, partie comme elle est, elle ne va même pas s’apercevoir du changement de trou !
- J’entends tout docteur, ho oui, enculez-moi
- Qu’est-ce que je vous disais ! Elle veut la totale votre rombière
- Mais… ? y’a du sperme qui s’échappe de son vagin…mais ????
- Y’a pas de ‘mais’ je vais la sodomiser…

C’est avec joie et sans douleur que j’accepte le gland qui élargit mon cul, c’est complètement différend de la pénétration vaginale, plus serrée, mais je suis sûre de jouir par là aussi, benoit reste muet devant ce spectacle, lentement le membre ramone mon conduit, une fois le ‘passage’ fait il accélère, la tête coincée dans le fauteuil, je donne des coups de cul pour mieux me faire embrocher, ma chatte continue de suinter, ses muqueuses sont sollicitées a travers la mince paroi, un tremblement monte, puissant, cet orgasme-là je ne vais pas pouvoir le dissimuler, le docteur le perçois et donne tout ce qu’il a, nous jouissons dans une parfaite harmonie

- Haaaaaaaaaooooooooo ! Je gicle dans son cul ! HAAAAAAAhaaaaaaaaaaa

Quelle jubilation ce foutre chaud qui coule entre mes reins ! Je tremble comme une feuille, cette fois je suis gavée… Mais pour combien de temps ???? Et benoit que fait-il ?

- Docteur ? Poussez-vous, je bande, je veux baiser ma femme !
- C’est votre droit, je vous laisse la place
- Va-y chéri ! Baise ta petite femme !

Je garde la position, mon mari se colle à moi, sa minie bitte entre trop facilement dans ma chatte, puis il ressort très vite pour pénétrer mon cul resté ouvert et là, son foutre asperge immédiatement mon conduit

- MERDE ! Merde ! Et merde !! Excuse-moi mon amour, c’est la pression…
- Ce n’est pas grave, je suis habituée
- Je suggère que pour l’équilibre de votre femme, qu’elle vienne me voir en consultation une fois par mois
- Vous croyez que ça suffira ???????

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