La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°255)
Suite de l'épisode précédent N°254 - L'histoire de Thaïs et son Maître Vénéré -
Thierry est toujours tremblant sur le lit, bougeant comme il peut dans ses liens pour chercher à se dégager des morceaux de glaçons qui lui brûlent carrément les peaux les plus sensibles et qui ne semblent pas vouloir fondre rapidement. Leau glacée dégouline sur tout son corps et réveille les douleurs des coups de cravache qui ont marqués son corps. Il commence à se demander si son calvaire prendra fin un jour ou sil doit se résoudre à accepter dorénavant une vie bien différente de celle quil avait avant, faite de sévices, de souffrances et dincertitudes mais également dun plaisir intérieur quil ne peut nier, car il sait que malgré la douleur quil ressent, il apprécie ce quil est contraint de subir et en retire un bien-être profond et pourtant si contradictoire. Le Marquis ne lui laisse pas beaucoup de temps pour vaquer à ses réflexions internes et enchaîne aussi sec.
- Dailleurs, je ne tai toujours pas posé la question de savoir si cétait bien ce que tu voulais devenir, un esclave à mon service, dévoué et fidèle. Tout à lheure, je tenlèverai ton bâillon et tes liens et menottes et tu auras le choix de te jeter à Mes pieds pour mimplorer que je daigne devenir ton Maître, ou à linverse tu seras libre de tout engagement à Mon égard, à lexception dune chose que jimpose dans les deux cas de figure. Tout à un prix sur terre, en contrepartie de la remise du DVD enregistré, tu devras accepter loffre dacquisition que tu as reçue pour le terrain provenant de la société X, qui en fait mappartient indirectement. Je sais que cest la moins intéressante au niveau financier pour vos actionnaires puisque cest la plus basse, mais sur ce plan là, tu nauras pas le choix. Je suis Marquis et Maître, mais avant tout je suis aussi un businessman et un bon gestionnaire. Les affaires sont les affaires et mon but était de maximiser mes intérêts en récupérant ce terrain qui mintéresse tout en tâchant de vous le payer bien moins que sa valeur vénale.
Le Marquis se recule un peu du lit, et se tournant vers Thaïs qui attendait un signe ou un mot de son Maître, IL lui fait signe de sapprocher simplement du bout du doigt et lui montrant le sol et son pied, lui faisant comprendre ce quIL attend de sa soumise qui sagenouille dans la seconde et tend la langue vers la semelle qui sest approché de son visage.
- Lèche bien avec application, Ma chienne, car je veux que la petite chose là-haut sur le lit te regarde pendant que tu oeuvres et quil comprenne quêtre à Mes pieds, ce nest pas quune expression en lair. Je tiens à ce quil voit de ses yeux que je nai pas besoin de menottes, ni de cordes pour te contraindre, que je nai pas besoin de bâillon pour te faire taire, et quune soumise-esclave bien dressée reçoit avec honneur les fessées dont son Maître daigne lhonorer.
Tandis que Thaïs sévertue à quatre pattes, la croupe bien relevée, de lécher les chaussures de son Maître, ce dernier abat régulièrement, tour à tour sur chacune de ses fesses, Sa main avec les doigts écartés et la paume bien à plat, et ceci de toutes ses forces, sans la moindre réaction, ni le moindre cri de la soumise qui se plie bien volontiers aux désirs de celui à qui elle a offert son corps et sa vie.
- Suffit maintenant, Ma chienne, mes chaussures ont été assez lustrées. Je nai pas de temps à perdre et pas envie de me fatiguer les mains pour mettre un peu de chaleur et dexcitation sur ton postérieur, fut-il, avec ses formes généreuses, aussi tentant que celui dune Vénus callipyge. Je nai par contre pas lintention de différer ma punition. Sais-tu quelle était ce matin la cause de mon courroux ?
- Non, mon Maître, je suis vraiment désolée de savoir que par mon comportement ou mon manquement, jai pu Vous courroucer et Vous déplaire de quelque manière que ce soit. Je vous remercie de bien vouloir me punir pour me permettre de maméliorer à mieux Vous servir dans lavenir. Serait-il possible, cependant, mon Maître Vénéré, que Vous mindiquiez en quoi je Vous ai désobéi, afin que je ne reste pas plus longtemps dans lerreur.
- Et bien, je vais accepter que tu ailles relire mon dernier sms qui doit toujours être enregistré sur ton téléphone. Et reviens ici te mettre à genoux devant la télé. Jai encore quelque chose à te montrer à la suite de ce que je vous ai diffusé tout à lheure.
La soumise, de plus en plus angoissée, se lève, récupère son téléphone dans la poche de son vêtement pendu dans larmoire et se met à lire le sms en entier, qui termine par ces quelques phrases qui commencent à raisonner dans sa tête : « Mais pour cette nuit, je veux que tu te débrouilles pour que ton amant, que tu as bel et bien piégé, dorme le moins possible. Fais-toi baiser toute la nuit, laisse la lumière allumée et tâche de trouver ses points faibles, car il doit bien cacher quelques perversités enfouies que tu vas devoir faire ressortir au grand jour. Je veux que tu me le mettes dans tous ses états et quil se lâche devant la caméra. Si jen ai besoin, je nhésiterai à me servir de ses frasques pour le faire céder encore plus.
Revenu comme son Maître le lui a demandé, elle sagenouille devant le téléviseur que le Marquis remet en route et elle regarde avec attention la fin du film qui montre Thierry et Isabelle en train de sendormir lun après lautre. Le silence se fait dans la chambre et la télé continue à tourner sur un plan qui reste presque figé, puisque les deux dormeurs ne bougent presque pas et ne font aucun bruit. Les larmes commencent à perler des yeux de Thaïs qui comprend enfin ce que son Maître voulait lui montrer, et qui se sent si triste davoir failli et laissé sa fatigue physique lemporter sur son désir de servir et de contenter son Maître.
- Alors, tu crois vraiment que mon sms était de nature à tautoriser à tendormir. « Fais-toi baiser TOUTE la nuit ! », est-ce que ce nétait-ce pas un ordre assez clair ? Tout le reste de la nuit, je suis restée devant deux caméras qui filmaient deux dormeurs immobiles ! Et qui plus est, ce matin, il a fallu que je vous réveille. Tu étais tellement endormie que tu mas fait attendre et perdre de précieuses secondes avant de répondre au téléphone. Je dois avouer que cest en partie grâce au fait que vous dormiez que jai pu aussi facilement changer mes plans et neutraliser celui que tu mapportais sur un plateau dargent. Mais je ne peux pas, malgré tout, laisser passer ton manquement et ta désobéissance, même si je sais que jen ai profité largement, car ce serait laisser des portes ouvertes pour lavenir, ce que je ne veux pas. Tu vas donc être punie pour avoir fauté, et néanmoins en même temps jaurai pu presque te remercier de lavoir fait. Ceci dit, att la cravache et présente-moi là. Mais juste avant as-tu quelque chose à rajouter ?
- Mon Maître Vénéré, je reconnais maintenant en quoi jai pu Vous déplaire en désobéissant à Votre ordre. Je suis néanmoins heureuse de savoir que grâce à cela, Vous avez pu en profiter pour intervenir plus aisément, et jaccepte tout à fait la punition que Vous mimposerez, dont je Vous remercie déjà par avance, car elle maidera à maméliorer.
Thaïs revient tenant la cravache bien droite posée sur lintérieur de ses deux mains. Elle sagenouille, sincline profondément et levant les bras au dessus de sa tête en direction de son Maître, elle lui tend linstrument qui va servir à sa correction.
- Lève-toi, tu sais que je naime pas devoir punir une de mes esclaves, mais je ne peux déroger à la règle, car il nest pas question de laisser une faute impunie. Tiens-toi bien droite, jambes écartées, les bras au dessus de la tête. Ferme les yeux et ne tavise pas de les ouvrir, je nai pas de bandeau sous la main à te mettre, mais je nhésiterais pas à doubler la punition si tu me désobéis une fois de plus. Et tâche dendurer en silence, je ne tautorise pas à crier, seulement à compter les coups que tu recevras à voix haute pour que lon puisse tentendre. Te voir accepter, librement sans entraves et courageusement sans bruit, ton châtiment va être la première leçon que va recevoir ce futur soumis, car je sais déjà, même si lui lignore ou feint de se le cacher encore, quil se jettera à Mes pieds à son tour dans très peu de temps.
Le Maître fait plusieurs fois siffler la cravache dans lair, prenant un malin plaisir à ce petit jeu pervers qui fait monter la pression. Ce n est quau bout de deux minutes qui ont dû paraître interminables à la soumise en attente, concentrée pour ne pas crier lorsque le premier coup viendrait sabattre sur son corps offert et à la merci de son Maître. Et cest dans une certaine excitation dans son bas ventre que Thaïs commence à mouiller de plaisir, les mains moites, les tétons de ses seins qui pointent, lexcitation sexuelle monte en elle en ne sachant où Il choisira de frapper, que Ce dernier se décide enfin à
.
(à suivre
.)
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