J'Ai Payé De Mon Corps

Je suis désespérée, maman est convoquée chez le proviseur pour discuter de mon avenir dans l’établissement. J’ai fait une grosse bêtise : quelqu’un m’a prise en photo à mon insu, avec un portable, dans une posture équivoque... dans les bras du prof de sport…
Ce ne serait pas si grave que cela si celui-ci n’avait pas la main sous ma jupe et aussi dans ma culotte… Aucun doute possible, car ma jupe retroussée prouve le péché ; ma jambe relevée laisse voir les doigts que l’on suppose entrés dans ma chatte, on peut même voir que je suis blonde naturelle. Très belle prise de vue, mais très compromettante… Je n’ai pas avoué toute la vérité à maman.
- Ne panique pas, Laurène. Bien sûr, c’est grave d’embrasser un prof dans l’établissement, mais je ne vais pas te jeter la pierre, car dans ma jeunesse, il m’est arrivé à peu près la même chose… Avec le conseiller d’orientation… Evidement, je ne vais pas te donner tous les détails ! Je vais essayer d’arrondir les angles avec le proviseur. Je ne te promets pas d’y arriver, mais, surtout, on ne dit rien à ton père avant de connaître la décision finale.
- D’accord maman, je m’en veux tu sais...
- Ne regrette rien, ça fait des souvenirs… Aaah, c’était le bon temps !... Êtes-vous allés plus loin ?
- Non…
- Alors c’est moins grave que moi avec le conseiller… Mon Dieu qu’il était beau… Et doué…

Je comptais bien user de mon charme sur ce vieux bourru qui ne s’est jamais privé de mater mon décolleté à chaque réunion de parents d’élèves. Il bave devant les femmes ; derrière ses lunettes rondes, ses yeux pervers parlent pour lui, s’il pouvait nous baiser toutes, il ne s’en priverait pas. Aussi, pour le rendez-vous, qui ne se fera pas en présence de ma fille, j’ "oublie" de mettre un soutien-gorge, il pourra apercevoir mes aréoles sous mon corsage opaque… J’espère le faire bander… Dès mon arrivée, il me bouffe des yeux.
- Bonjour, Madame F., entrez, asseyez-vous.


- Bonjour Monsieur le Proviseur…
Je m’assois en négligeant de tirer sur ma jupe, qui découvre largement mes cuisses.
- Vous êtes toujours aussi belle… Comme votre petite Laurène… C’est justement elle le cœur du problème…
- Oooh, ce n’est pas si grave ! Avec le professeur, ils n’ont pas beaucoup de différence d’âge, un baiser, ça n’a rien de sexuel…
- Un baiser ? Vous n’avez donc pas vu la photo ? Laurène ne vous a pas tout dit ?
- Expliquez-moi ?
- Eh bien… Ils se touchaient…
- Quel genre d’attouchements ?
- Comme deux amants…
- Ce n’est pas clair…
- Je vais appeler le professeur mis en cause, il vous expliquera mieux que moi.

Deux minutes plus tard, un jeune homme beau comme un dieu entre, la tête basse. Je comprends ma fille : qui résisterait à ce mec ?!
- Monsieur L., expliquez à Madame F. ce que vous faisiez avec Laurène, sa fille.
- Jeee... Je la touchais…
- Vous lui touchiez quoi ? Comment ? Et où ?
- Ça c’est passé dans les vestiaires du gymnaste, Laurène m’avait chauffé pendant tout le cours…
- Qu’appelez-vous « chauffer » ?
- Elle me montrait ses cuisses, et même plus, je savais que ce jour-là, elle portait une petite culotte blanche…
- Ça peut arriver par accident de montrer son slip…
- Non Madame, personne n’écarte ses cuisses furtivement en regardant un homme droit dans les yeux.
- Cela vous faisait de l’effet ?
- Je suis normalement constitué, vous devinez ma réaction…
- Vous aviez une érection ?
- Madame F., un peu de décence !
- C’est pour mieux comprendre la suite… Vous avez donc coincé ma fille dans un endroit discret ?
- C’est plutôt le contraire, c’est Laurène qui m’a attendu à l’entrée du vestiaire pour hommes, nous étions apparemment seuls, elle s’est pendue à mon cou… Elle sentait bon, elle sortait de la douche, ses cheveux encore humides bouclaient, je l’ai embrassée... Elle a répondu à mon baiser, sa jambe s’est enroulée très haut autour de la mienne, je sentais son pubis bombé sur ma…
- Sur votre verge ?
-Oui…
- Et alors ?
- C’était plus fort que ma volonté, ma main est passée sous sa jupe, la culotte était là, brûlante, humide, l’élastique ne collait pas bien à son aine, elle a ouvert encore plus son entrejambes, j’ai glissé deux doigts sous le tissu et caressée sa toison soyeuse…
- Nous n’avons pas besoin de tant de détails !
- Laissez-le s’expliquer, Monsieur le Proviseur, il s’agit de ma fille ! Et après ?
- Mes doigts ont été littéralement aspirés dans sa vulve trempée…
- Arrêtez voyons ! Moi aussi je suis un homme, et ce récit me fait de l’effet !
- Je crois qu’il nous fait de l’effet à tous… Même à moi qui suis une femme… Fermez la porte afin que nous ne soyons pas dérangés.

- Que voulez-vous faire ?
- Que le professeur reproduise les mêmes gestes sur moi, je veux une reconstitution parfaite afin que tout soit clair, qu’en dites-vous, Messieurs ?
- Ça ne regarde que vous après tout… Personne ne nous dérangera, faites ce qu’elle demande, Monsieur L.

Je parcours les deux mètres qui me séparent du jeune professeur et m’accroche à son cou. Il tremble de tous ses membres lorsqu’il m’enlace, et en me collant à lui, je remarque son érection. Nos bouches s’unissent, chastement au début, puis ma langue force le passage de ses lèvres. Il se décide à me faire goûter la sienne ; comme Laurène, j’enroule ma jambe très haut sur sa cuisse. Le proviseur assis derrière nous souffle comme un bœuf, il doit apercevoir mon string bleu clair… Le jeune homme hésite à passer sa main sous ma jupe, je frotte lascivement ma chatte sur la bosse énorme, ça y est ! Sa main caresse ma fesse avant de venir chercher la couture du sous-vêtement.
Il peine un peu, car contrairement à celui de ma fille, mon string prend juste. Après m’avoir arraché deux ou trois poils, il atteint enfin l’ "objet" du délit : deux doigts s’infiltrent en moi, je me pâme, mais soudain, deux mains forcent le passage entre le prof’ et moi, des doigts nerveux dépattent les boutons de mon corsage…
- Aaaaaaaaah… Depuis le temps que je rêvais de peloter ces beaux nichons….
- Huuummm… Monsieur le Proviseur, que faites-vous ?!
- Je vais faire ce dont j’ai envie de faire depuis longtemps avec ta fille qui nous excite tous… N’est-ce pas Monsieur L. ?
- C’est sûr ! Quelle petite aguicheuse !
- Eh bien nous allons voir si sa mère est aussi allumeuse !
- Jurez-moi que ma fille ne sera pas inquiétée pour son écart de conduite, et qu’elle ne saura rien de ce qui va se passer ici !
- Tout est oublié voyons ! Laissez-moi baisser votre culotte, continuez à lui caresser
la moule, Monsieur L…

Le corsage ouvert, le slip aux chevilles, je subis les attouchements des deux gars.
Le proviseur s’est baissé pour embrasser mes fesses, mais sa langue n’atteint pas mon trou. Contrarié, il décide de passer à la vitesse supérieure.

- Appuyez sur ses épaules, faites-lui avaler votre membre, ainsi, je vais pouvoir l’enfiler facilement…
Docile et consentante, je me plie en deux. La belle queue déjà sortie est à portée de ma bouche, je la saisie et me tapote les joues avec avant de la laisser entrer dans mon palais. Ma jupe est rabattue sur mes reins ; mes pieds sont à peine écartés que le proviseur cherche ma fente du bout de son gland mafflu. La bite n‘est pas longue mais très épaisse, je suis bien remplie par les deux bouts. Un court instant avant de trouver le bon rythme, et mes amants s’en donnent à cœur joie. L’un pousse des râles de bûcheron et claque mes fesses en bourrant ma chatte, et l’autre savoure ma fellation en grognant et en palpant mes seins. En venant, je ne pensais faire qu’un peu d’exhib’, mais finalement, je ne suis pas déçue de la tournure des événements…
- Oh putain, c’est si bon que je vais décharger !
- Allez- y, je vais prendre votre place, j’aurais l’impression de baiser Laurène, elles ont le même cul rebondi… Juste le temps de tout lui balancer dans la gorge et je change de trou… Aaaaaaaaaaaah ouiii…
- Huuuuuuuuum, oui… que c’est bon ! Elle est très serrée…
- Appuyez vous sur le bureau chère Madame… Huuum, vous avez mis le paquet, ça lui coule à l’intérieur des cuisses…
- Ne faites pas le difficile, à l’heure qu’il est, vous pourriez être au chômage !
- C’est vrai… Merci, Madame F., pour votre sacrifice… Courbez-vous davantage, quand je vois votre entrejambes souillé, j’ai bien envie d’essayer vos deux trous…
- Faites comme vous voulez, mais faites-moi jouir !

Bien campée sur mes jambes, j’attends qu’il me pénètre. Son membre entre facilement dans ma chatte restée entrebâillée, tandis que ses doigts assouplissent mon anus. Je sens le souffle du proviseur sur mes reins, ce vieux salaud se repaît de notre accouplement.

- Vous avez vu comme elle recrache du jus ?
- C’est sa mouille mélangé à votre foutre…
- C’est vrai que j’avais les couilles pleines… Vous allez l’enculer ?
- Oui…
- Allez-y maintenant, je regarde… Je vais maintenir ses fesses écartées…
Ce vieux porc tire sur mes lobes pour ouvrir mon anus, la queue quitte mon vagin qui se ressent du vide. Je n’ai pas le temps de me morfondre, le gland fait son passage entre mes reins, je n’ai pas refusé, car mon mari prend cette petite porte lorsque j’ai mes règles. Je me donne totalement au jeune homme ; de temps à autre, je serre mes sphincters, j’agis comme ça quand je veux faire décharger plus vite mon mari, et ça marche, car à chaque pression, la queue du prof’ réagit en se cabrant.
- Ça coulisse aussi bien que dans sa chatte !
- Elle doit être habituée, sa technique va me faire exploser… Ouiiiiiiiii aaaaaaaaah…
- Moi aussi je décharge… Tiens, je vais juter sur son cul ! Ooooooooooooh… !
Je suis restée courbée sur le bureau pour récupérer, tandis qu’ils échangent leurs impressions.
- La mère est super bonne, est-ce que la fille est aussi branchée cul ?
- Je ne sais pas… Pour le savoir, il faudrait la convoquer…
- Et faire une nouvelle reconstitution ?

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