Mon Mari Cocu : 5 Mai 2000 : Ca Y Est, Il L'Est -3

J’étais quand même sidérée par la rapidité de ce qui arrivait.
Mon cher mari ( que j’aime), cocu , humilié, enculé, giflé et tout ça pour la première fois et devant moi !!! en retirait du plaisir.
J’ai littéralement retiré David de mon mari et ai pris sa queue pour la diriger vers mon cul, je voulais absolument sentir mes fesses être pénétrées.
Ce n’était pas la première fois ,voir épisode 1 ( marc notre gode avait aussi servi pour moi et souvent)
Je n’ai pas été déçue par la brutalité de David qui avait, depuis un moment compris que sa domination et ses directives nous comblaient.
Il me tenait par les hanches et claquait mes globes ; tout en titillant mon clitoris
C’est sans ménagement qu’il m’a sodomisée ; je sentais ses bourses claquer contre mes fesses ; il me tirait les cheveux comme une jument à dompter. Sa grosse bite me défonçait en de longs mouvements amples. J’aimais le bruit quand il s’abutait contre moi. Je ragardais Noël ;visiblement au comble du bonheur ( si tu savais, mon pauvre le mien à ce moment-là !)
Je criais à David :
-Vas-y , bordel, au fond, au fond !! Regarde-le, ça le fait bander ce con.
En effet, Noël, se masturbait énergiquement ; fouetté aussi par mes paroles.
Il fut le premier à venir et aspergea le tapis. David le suivit de près et je m’allongeai près de lui, amoureusement. Je l’embrassai comme une femme aimante Quelques mots de David à mon oreille et j’ordonnai au cocu :
- Tu ne comptes pas laisser le tapis de notre hôte comme ça, non ? Lèche tout, ensuite, tu viendras nettoyer ma chatte, cocu. Aussitôt dit, aussitôt fait !!
J’étais submergée du plaisir de cette domination ; quand, tout à coup, David me rappela ma condition de femme docile et obéissante au maître du moment. J’aimais son regard dur et autoritaire.
- Allonge-toi, on ne parle pas comme ça à un homme ; même si c’est un PD comme ton cocu.
Me voilà les fesses en l’air, sur ses genoux, et recevoir une fessée comme je n’en avais plus eue depuis mes jeunes années.

J’ai crié, mais je pense que personne n’a été dupe. J’y prenais du plaisir. J’ai adoré ; je savais que mes fesses étaient rouges, oui mais rouge de plaisir ; un pantin soumis à la volonté d’un fesseur.
Il me reprit en levrette et me resodomisa (le correcteur d’orthographe me propose « désodorisa »LOL ; sous le regard énamouré de mon mari. J’ai vraiment joui de l’ensemble.
J’étais écartelée, comme l’impression que tout mon corps allait s’écouler par mon orifice ; en même temps remplie comme si de l’air s’engouffrait par le même orifice. Aussi curieusement que cela puisse paraître , en tout cas à cette époque –là , je mouillais et commençais réellement sentir un orgasme arriver.
David s’est retiré pour engouffrer son sexe dans la bouche de Noël et s’y déverser en ne manquant pas de l’insulter copieusement quant à la fiotte qu’il était. Noël a tout avalé…tout en me regardant, comme un bon cocu bien méritant.
J’étais un peu gênée des paroles, lorsque mon mari lui dit merci et qu’il adorait ça ; que c’était tout ce qu’il avait rêvé. Et donc moins de 30 minutes plus tard, mon Noël déchargea en se masturbant, lui aussi submergé par le plaisir d’être humilié et cocu. Il nettoya tout avec sa langue. Quelle soubrette !!!!
Nous avons repris une coupe de champagne. C’est à ce moment-là que David nous proposa de se revoir. Je n’étais pas contre, Noël , un peu plus réticent (la soudaineté de sa vraie nature, peut-être ). Je lui rappelai sa condition de cocu soumis dorénavant ; tout en lui caressant ses deux cornes sur son front et, bien-sûr, il accepta.
Nous nous revîmes deux fois, mais entre-temps, nous avons connu une autre expérience ; mois d’une semaine plus tard. En effet, pour mettre tous les atouts de notre côté, nous avions prévu un plan « B » ; au cas où le premier RV se serait avéré bidon.
Comme épilogue, je dirais que nous sommes rentrés chez nous et que nous avons fait l’amour « à la papa » en nous confirmant notre amour réciproque et toute notre tendresse, l’un pour l’autre.
Je lui ai quand même ordonné de lécher le sperme qu’il avait déposé dans mon sexe ; non mais !!