Carthage : Mon Esclave

Se marier, pourquoi faire. Si c’est pour une satisfaction sexuelle, j’ai ce qu’il faut : une jeune esclave achetée quand elle était jeune. J’ai attendu longtemps qu’elle soit formée par les leçons que lui ont données les autres esclaves. Son sort est connu depuis sa venue sous mon toit. Elle sera à mon service sexuel tout simplement. J’ai vu grandir une jeune femme blonde (elle vient de je ne sais quel pays conquit par Rome). Elle devait avoir une quinzaine d’année. La matrone de la maison l’a instruite, bien me dit-elle. A mon retour des légions, je retrouve mon chez moi en Afrique, juste au sud de Carthage. Mes instructions ont été suivies, elle m’attend dans la salle principale, presque nue, tremblante de connaitre son sort.
Elle s’est encore embellie : ses seins sont un peu gros, j’aime ça. Reste à savoir ce qu’elle vaut en baise. La matrone m’a assurée qu’elle avait perdu sa candeur avec elle. Je veux une femme, une vraie femme qui sache baiser comme Vénus et Éros réunis.
* Comment te nommes-tu ?
Elle me donne un nom imprononçable pour un romain.
• Je t’appellerais Claudia, c’est plus simple. Tu sais baiser, rendre un homme heureux ?
• On le dit.
• Tu as baisé qui ici ?
• Que ton ami Caius.
• Tu as jouis ?
• Non, maître.
• Pourquoi ?
• Il ne sait pas me la mettre.
• Avec qui tu jouis ?
• Avec mes main et …
• Et qui ?
• Avant qu’il meure avec le chef de la maison.
• Et depuis ?
• Personne.
• Montres toi nue, complètement nue.
Elle fait quelque difficulté avant de laisser tomber ce qu’elle tient devant son pubis. Enfin la beauté à l’état pure. J’ai une déesse comme esclave. Pour peu que sa sexualité soit égale à sa beauté je suis le maître le plus heureux.
Le soir tombe, je suis à table, couché sur le coude gauche. J’ai fais venir Claudia pour qu’elle danse devant moi. Elle a compris ce qu’il me faut. Elle mime l’amour avec tant de réalisme qu’elle me fait bander.

Je pourrais lui demander de me branler avant de continuer. Mais un vrai romain doit maîtriser ses envies. Je me touche simplement pendant qu’elle montrer ce qu’elle sait faire.
• Si le Maître le désire je peux venir contre lui, je peux le satisfaire.
• Et toi ?
• Je suis ton esclave, fais ce que tu veux de moi.
• Ce que je veux de toi. Voyons, voir.
Je tends mes mains vers elle. Je veux la toucher avant tout. Je veux sentir sa peau, sa douceur, celle de ses jambes, de ses fesses. J’espère qu’elle supporte la queue dans son cul. Et dans la bouche ?
• Tu sais sucer ?
• Oui, maître.
• Tu aime te faire enculer ?
• Pas tellement.
• Et lécher ?
• Oui, j’adore.
Elle est à deux pas. Je bande toujours, elle le voit bien. Ma queue sort de ma toge, comme si j’y avais un œil. Elle s’allonge encore au point de me décalotter : mon gland est seul devant. Je n’ai qu’à passer avec insistance un doigt dessus pour éjaculer et perdre ma semence pour une esclave. Pas question, qu’elle montre ce qu’elle sait faire avec sa bouche.
• Approches toi, lèches moi.
Je ne répète pas l’ordre. Elle s’est penchée sur ma bite, la prise dans une main, la regarde comme un objet précieux. Elle ouvre à peine la bouche, juste ce qu’il faut pour que le bout du gland soit entre ses lèvres mouillées. Elle prend avec sa bouche transformée en vagin. Par Jupiter qu’elle bouche ! Je me trouve avec la queue presque toute dans la bouche. Elle me fait sortir en partie pour recommencer. Cette fois je sens en plus sa langue. Sa main caresse les couilles avec adresse.
J’ai beau savoir qu’elle est esclave qu’elle me suce pour mon plaisir, je pense qu’elle est une femme normale, pas comme dans les lupanars à Rome.
Je lui demande de me montrer ses fesses sans s’arrêter. Elle se tourne en pivotant sur ma bite. Ses fesses vues de près sont splendides comme le reste. J’écarte sa raie. J’y aperçois le petit trou du cul. Je vais lui apprendre à aimer les caresses sur son anus.
Elle me le rendra aussi. Sa langue devient râpeuse sur la queue. Je passe ma main dans la raie de ses fesses. J’arrive doucement sur son cul. Je ne cherche pas à y entrer puisqu’elle n’aime pas ça.
Mon doigt caresse, s’en va, revient pour caresser et presser un peu. Je sens son muscle se détendre. J’essais de contraindre les muscles à s’ouvrir. J’y suis enfin, j’entre dans ce cul inviolé. Je la pistonne doucement. Elle réagit en mordillant la queue dans sa bouche. J’entre carrément le doigt en entier. Je sens son sphincter se détendre complètement : elle s’ouvre sur mon passage.
Sa bouche va de plus en plus vite sur ma bite. Je vais jouir. Je me retiens pour que mon doigt soit au fond de son cul. Instinctivement sa bouche et ses dents me mordent la pine : elle jouit du cul. J’ai gagné. Elle aussi gagne mon sperme dans la bouche. Elle m’avait caché qu’elle avalait toute la sauce.
Elle reste avec la queue dans la bouche, même si elle se détend. Sa langue continue les léchages. Elle arrive à me faire bander encore, ce que je ne demandais pas. Je comprends que si elle fait c’est pour son plaisir. Quand je suis dur, elle me lâche, vient se coucher sur moi. Elle prend ma pine dans une main, elle me branle un peu. Je suis dur comme elle veut. Elle vient avec son vagin prendre la queue. Elle me baise, elle se baise. Elle laisse parler son corps en ahanant. Je sens ses spasmes quand elle jouit. J’allais jouir une dernière fois quand elle me dépasse avec un orgasme venu des enfers avec un Éros survolté : elle me griffe le dos, le ventre les fesses. Ce n’est plus une esclave, c’est une vraie femme.

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