Leslie La69

Leslie LA69 - Laure, le journal intime - L’inconnu, suite

Dans l’après-midi, le dos appuyé au dossier du fauteuil, après avoir vérifié que personne ne me regardait, j’ai remonté ma jupe, haut sur mes cuisses, puis ma main s’est posée sur mon intimité nue et lisse. J’ai glissé discrètement ma main entre mes cuisses et mes doigts entre mes lèvres trempées, et je me suis fait jouir, en me mordant les lèvres pour mes gémissements.
Alors que la journée tirait à sa fin, son admirateur s’était une nouvelle fois manifesté. Un message constitué d’un seul et simple mot.
De : xiam@hotmail.com
Envoyé le : Jeu. 22 mars 2011, 16 h 45 min 56 s
Objet : Chère Laure,
Merci, trop top !

J’ai répondu avant de partir.
De : mignonne.laure@free.fr
Envoyé le : Jeu. 22 mars 2011, 18 h 50 min 28 s
Objet : Inconnu,
Je dois avouer que j’en éprouve un certain plaisir…
Laure

Je venais de cliquer sur l’icône, envoyé, et sauvais mes derniers dossiers encore ouverts, lorsqu’un nouveau message était arrivé.
De : xiam@hotmail.com
Envoyé le : Jeu. 22 mars 2011, 18 h 55 min 56 s
Objet : Chère Laure,
Le chemisier, deux boutons ouverts, ce serait beaucoup mieux !

Je n’ai pas pu s’empêcher d’éclater de rire avant d’éteindre son ordinateur et quitter mon bureau, non sans avoir déboutonné mon corsage comme mon admirateur anonyme me l’avait conseillé.
Ce soir-là, j’avais envie de me faire tirer, juste pour prendre mon pied et me soulager la chatte.
Arrivées dans l’appartement, j’ai téléphoné à un ami, en fait un ancien amant, qui fut trop heureux de venir me rejoindre pour un one-shoot.
Une fois chez moi, nous nous sommes déshabillés sauvagement avant de faire l’amour dans toutes les positions et dans toutes les pièces de l’appartement. J’étais comme une tigresse affamée de sexe, dévorant mon ancien amant et ne lui laissant à peine le temps de respirer entre deux moments d’extases partagées, mais visiblement pour sa plus grande satisfaction.


Lors de notre aventure, il ne m’avait jamais vu ainsi et cela apparemment avait l’air de lui plaire.
Surtout lorsqu’il a investi mon petit trou et que je lui avais toujours refusé, et j’ai hurlé de plaisir sa queue enfoncée entre mes reins.
Puis il est parti, tard dans la nuit, déçu de ne pouvoir terminer la nuit à mes côtés.

Cette fois, il n’était pas question de montrer à nouveau une trace de culotte, sur mes fesses, j’ai donc choisi une jupe à volants, qui retombait en corolle à mi-cuisse et une paire d’escarpins et un corsage entrouvert sur ma poitrine.
Et ce vendredi matin, lorsque j’avais allumé mon ordinateur un nouveau mail m’attendait.
De : xiam@hotmail.com
Envoyé le : Ven. 23 mars 2011, 8 h 05 min 18 s
Objet : Chère Laure,
Le sans culotte et votre chemisier ouvert, vous vont à ravir… Continuez !
Comme vous êtes surprenante…
Les cernes de vos yeux trahissent la soirée agréable d’hier, je me surprends de devenir jaloux…

Voilà qu’il me parlait de ma vie privée, alors j’ai répondu.
De : mignonne.laure@free.fr
Envoyé le : Ven. 23 mars 2011, 8 h 10 min 5 s
Objet : Inconnu,
Ma soirée a été des plus agréable en effet, mais un trio avec vous ne m’aurait pas déplut.
Nous pourrions passer du rêve à la réalité…
A vous de voir…
Laure

Réponse presque immédiate.
De : xiam@hotmail.com
Envoyé le : Ven. 23 mars 2011, 8 h 15 min 18 s
Objet : Chère Laure,
Ne soyez pas si impatiente… L’attente décuple le plaisir.
Bon week-end.

Bon, maintenant, Lundi je passerais à la vitesse supérieure, je viendrais au boulot nue sous un tee-shirt pour lui montrer mes seins. Une bouffée de chaleur m’a envahi le corps tout entier. Un frisson a parcouru mes cuisses dénudées et m’a chatouillé la chatte.
Si se balader le cul à l’air était probablement osé, cela restait plus discret, sans soutif, il me serait impossible de cacher les mouvements de mes seins, balançant librement sous le tissu distendu du tee-shirt et déformé par l’empreinte de mes tétons dressés.


Le lundi matin, Carole m’attendait au pied de l’immeuble, et me voyant elle me dit :
- T’es superbe ma chérie, c’est un Christian Lacroix non ?
- Oui, je l’ai acheté en solde cet été.
- En plus, tu le portes sans soutien, tu vas avoir du succès aujourd’hui ! Moi, si j’essayais, j’aurais les nibars qui m’arriveraient à la ceinture !
J’ai souri en demandant :
- Je ne suis pas sûre que ce ne soit pas un peu trop osé pour le boulot, qu’en penses-tu ?
- T’inquiètes, tu es superbe. A tout à l’heure…

Avant de rejoindre mon bureau, je suis passée par les toilettes et après m’être refait une beauté, dans un geste presque inconscient, j’ai passé mes mains sous ma jupe pour retirer mon string, et la glisser dans mon sac. Après tout, tant qu’à me balader les seins à l’air autant en faire autant avec sa petite chatte, cela me donnerait l’occasion de penser à autre chose qu’à tous ces hommes qui allaient inévitablement me mater les nibars.
En arrivant à mon bureau un message m’attendait.
De : xiam@hotmail.com
Envoyé le : Sam 24mars 2011, 13 h 55 min 6 s
Objet : Chère Laure,
Quarante-huit heures sans vous voir ! J’ai passé un week-end d’enfer.
Mais la semaine commence de la plus belle des façons…

Sans réfléchir je me suis mise à écrire ma vie depuis que j’avais reçu son premier message, j’ai raconté en détail le plaisir de me balader les fesses et le con à l’air, ma soirée avec mon ancien amant et aussi mes soirées de solitude, et je lui ai envoyé le tout…
Avant de rentrer à l’appartement, histoire de me changer les idées, j’ai fait un peu de shopping.
Je suis partie du boulot cul nu ayant oublié de remettre mon string, mais qu’importe on pourrait mater mon cul sur les remontées mécaniques et mon con, si je décidais d’essayer quelques paires de chaussures.
J’ai d’abord acheté un petit string noir en dentelle, fendu sur le devant, dans un magasin de lingerie, puis une paire d’escarpins, laissant la vendeuse toute rouge après mes différents essais.


En rentrant, j’avais un message.
De : xiam@hotmail.com
Envoyé le : lun. 26 mars 2011, 17 h 30 min 22 s
Objet : Chère Laure,
Merci pour votre récit, je vous sens affamée de sexe votre corps tout entier réclame du sexe, alors osée…
Promenez-vous nue sous votre trench-coat en gabardine, noir, sentez les délicieux frissons que l’on ressent en se baladant à demi nue au milieu d’inconnus.
Et racontez-6moi…

A suivre…

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