Odette Et L'Autre

Je devrais avouer que j’aimerais faire l’amour avec une femme en particulier. Je la vois souvent au fond du magasin. Un magasin chez moi est une sorte de dépôt. Elle s’occupe de coordonner les commandes des clients, avant de les expédier, elle s’appelle Odette. C’est une femme dans les 30 ans, jolie, presque impertinente, effrontée, avec un regard bien droit. Quand je la rencontre je lui dis bonjour, elle répond par un léger signe de tête. Je pense que je ne l’intéresse pas du tout. Elle sort souvent avec une autre de ses amies, dans le même genre qu’elle ; Je me demande si par hasard, elles n’ont pas des relations intimes. Je les verrais bien dans le même lit, s’embrassant, se caressant des pieds à la tête.
Je tente mon coup en l’invitant à diner. D’après ce que je comprends, elle m’attendait. Le lundi, jour de fermeture est parfait. Je suis un peu en avance, juste ce qu’il faut pour la voir venir. Une robe vague l’habille bien mieux que ce qu’elle porte souvent. Son sourire ne la quitte pas un instant. J’avais envie d’elle : je la désire de plus en plus : elle ne fait rien pour éteindre le feu.
Elle fait tout pour m’allumer. Je prends sa main, je la caresse. Elle n’attendait que ça. Son autre main est sur la mienne. Nous nous caressons ainsi un trop long moment.
Je me penche en avant, mes lèvres frôlent les siennes. Elle répond au baiser plutôt bien. Nous finissons le repas en nous regardant au fond des yeux. Je sais qu’elle ne me refusera pas, qu’elle acceptera la suite que j’ai prévue.
Nous allons nous promener dans un jardin public. Nous sommes sur un bac pas très confortable. Je le prends dans mes bras : elle s’y blottie. Nos bouches ne se quittent pas un seul instant, même quand je passe ma main sur elle. Je vais à la recherche de sa poitrine que je caresse comme je peux, c'est-à-dire pas très bien. Je confirme mes désirs en posant ma main sur sa jambe. Je lève à peine le bas de sa robe : elle me laisse le libre accès.


Ma langue est au fond de sa bouche, ma main monte vers sa fourche. Il faudrait qu’elle descende d’une planète inconnue pour ne pas comprendre la suite. Si elle écarte ses jambes, une de ses main est sur ma braguette. Elle sait bien comment fonctionne un homme quand elle masse la queue bandée.
J’arrive sur son sexe. Odette pouvait facilement m’en empêcher. J’écarte les bords de la culotte pour accéder à sa chatte : les lèvres sont mouillées, le clitoris dardé. Je peux la caresser : elle me laisse faire. La surprise est de taille quand je le sens jouir.
Elle veut sortir ma queue, ce que je refuse. Je la veux elle dans un lit. Elle m’accueille chez elle.
Sans faire de complexe, elle se met nue rapidement. Je l’imite en montrant mon mat développé. Elle sait bien qu’il lui est destiné. Nous échangeons une foule de caresses intimes. Elle a prit ma bite dans sa main, elle me masturbe complaisamment. Sa main caresse toute la pine, monte et descend. Je suis sur le point de jouir.
Odette se donne enfin. Je me mets entre ses jambes. Je me guide seul vers son vagin. J’entre doucement : elle se tend vers ma bite. Je suis au fond d’elle. Je sens son corps tout autour de mon sexe. Elle serre des muscles intérieurs que je ne soupçonnais pas. Ca la fait gémir longtemps. C’est elle qui accélère notre allure. Elle tient à jouir encore. Je serre les dents pour me retenir. Nous arrêtons tout, nous sommes calmes pour profiter des sensations extraordinaires de sentir l’autre. Mais un léger mouvement involontaire nous envoie dans l’ailleurs du plaisir. Je sens ma semence aller en elle. Je sens ses spasmes en même temps que les miens : bons orgasmes de part est d’autre.
Je reste en elle tant qu’elle le veut. Sauf que je débande doucement : je suis flasque pour sortir.
Nous restons enlacés. Je commençais à bander à nouveau quand un événement inattendu se produit.
Elle vit en colocation avec une autre fille que je ne connais pas, et qui s’introduit dans la chambre sans prévenir.
Nous ne pouvons cacher ce que nous avons fait. Et cette nouvelle arrivée nous conseille tellement qu’elle s’installe à coté de nous. Ses mains sont baladeuses, elle nous caresse sans distinction. Une de ses mains passe sur mon bas ventre. Je me doute qu’elle doit en faire autant à Odette. En tout cas, elle la caresse tendrement. Tellement qu’elle se permet de bichonner la chatte. Elle caresse et se penche bien pour lécher. Elle a du passer sa langue dans le vagin pour y trouver ma semence. Elle montre sa langue pleine de nos deux secrétions. Elle la remet encore sur le sexe, la descend pour aller au seul endroit où j’ai omis d’aller.
Sa tête et tout en bas, Odette se tend quand la langue est dons son anus : relations courante entre les deux filles. Odette tient la tête comme pour qu’elle ne se relève pas.
Moi, je rebande. J’ai du coup envie non plus d’Odette, mais de son aimée. Je me lève, je vais vers le cul en l’air de la copine. La raie des fesses est bien ouverte. J’en profite pour y mettre ma bite. Elle ne proteste pas, elle fait plus qu’accepter la sodomie. Je m’enfonce facilement dans son cul. Je sens mes couilles battre contre ses lèvres, mon gland au fond de l’anus me fit jouir.
Dès que je peux je retrouve Odette, seule ou accompagnée.

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