Offerte Par Mon Maître 1

Intimity
J’avais été prêtée exceptionnellement par mon maître à une amie lesbienne à lui. Il trouvait que je n’avais pas été assez soumise, du coup il voulait me forcer à avoir une relation sexuelle e avec une femme. Je n’avais jamais été soumise à une autre femme et je n’avais jamais léché de chatte ni sucé des tétons. J’avais assez peur de ce que ça allait donner. Elle devait venir à la villa et me posséder tout le week-end. Mon maître devait nous laisser dans la chambre et il devait nous mater grâce aux caméras de la chambre branchées pour nous filmer touts les deux d’habitudes. Elles étaient reliées à l’écran plasma du salon. Je rougis en pensant qu’il allait bander et se branler en nous regardant.
Il m’avait parée pour l’accueillir comme il se doit. Il m’avait mis des boules de geisha dans le cul et s’amusant ce matin avec mon anus. Seule une petite ficelle avec une plume rouge dépassait de mon anus. En contractant mes fesses je sentais les boules en moi. Ensuite il m’avait fait enfiler un string en dentelle noire et des soutiens seins avec des voilettes en dentelles qui laissaient dépasser mes tétons pour remonter mes gros seins. Il avait accroché à mon cou un collier de dentelle, un peu comme les soubrettes et je portais une paire de bas. Pendant qu’il me préparait, il me touchait pour m’exciter. Je devais attendre dans notre chambre à mon maître et moi. Cette chambre était faite pour le sexe, le lit à baldaquin était immense, il y avait une baie vitrée avec des rideaux noirs pour obscurcir la chambre, avec des appliques au mur pour avoir de la lumière tamisée. Des jouets sexuels jonchés le sol. Tout autour du lit et sur le lit il y avait des couvertures et des peaux d’animaux bien chaudes et douillettes. Il y avait de jolis draps et couvertures sur le lit. La chambre avait une salle de bain grande avec douche italienne, baignoire. Mon maître me prenait souvent dans la douche. Là aussi il y avait des caméras.
J’étais sur le lit, quand j’entendis mon maître accueillir son amie.

Je ne pus m’empêcher de me toucher la chatte à travers le string, j’étais à genoux sur le lit. La porte s’ouvrit et mon maître apparut avec cette femme. Elle était plus grande que moi d’une tête mais plus petite que mon maître. Elle avait de gros seins apparemment, elle était mince et ses cheveux étaient mi-longs.
- Voilà ma soumise ! dit mon maître en me montrant de la main.
- Elle a l’air bonne, dit la femme. C’est toi qui l’a soumise ?
- Oh, oui ! Je l’ai achetée et épousée et c’est moi qui l’ai prise en premier. Elle était même vierge de l’anus. Mais elle savait déjà sucer ! Pas vrai ma soumise ?!
- Oui maître, dis-je timidement.
- Parfait ! Tu peux nous laisser… On va bien s’amuser ! s’exclama la femme.
- Bien, dit mon maître en refermant la porte derrière lui.
Je mouillais déjà. Mes tétons étaient mous, mais je savais que dès qu’elle m’aurait touchée, mes tétons allaient durcir. Elle s’approcha de moi et commença à se déshabiller, elle avait des seins bien ronds mais moins gros que les miens. Des fois la taille de mes seins me faisaient penser que j’étais vraiment faite pour être une petite cochonne, une femme à bite.
- A quatre pattes ! dit-elle.
Je me mis à quatre pates, je sentis le poids de mes seins basculer, ça me donnait des sensations, je couinais sous l’effet. Elle se mit derrière moi comme pour m’enculer mais elle se colla à moi et m’attrapa les seins.
- T’as des putains d’obus… J’adore !! me souffla-t-elle. Tes fesses sont bien rondes… huumm…
Elle me malaxait les nichons, je savais que les caméras étaient braquées sur nous, que mon maître nous voyait et aussi touts les gens, touts les hommes qui allaient sur le blog de mon maître. En ce moment-même, des hommes me regardaient en train de me faire dominer par une femme. J’avais honte et en même temps j’adorais ça, ma chatte était humide !
Elle malaxa mes seins, puis attrapa mes tétons et les fit rouler entre ses doigts. Ça tirait mais c’était bon.
Je commençais à onduler de la croupe. Ma maîtresse se décolla de moi, je restais à quatre pattes, elle était en train d’enfiler un god ceinture.
- Je te dis pas ce que tu vas te prendre ! s’exclama ma maîtresse en claquant mes fesses.
D’un coup elle écarta mes fesses avec ses mains en tirant fort de chaque côté. Je sentis ma rondelle s’ouvrir légèrement.
- Viens me ploter ! Ensuite tu suceras le god, et ma chatte ! Tu me fais mouiller putain de cochonne !
Je me dirigeais vers elle. On s’embrassait, je la câlinais, d’abord ses fesses, puis sa chatte humide et poilue, puis je malaxais ses seins. Je voulais la satisfaire, être une bonne esclave pour ne pas être punie par mon maître après.
- Qu’est-ce que t’en dis ?! T’aimes me faire plaisir ?... Tu aimes me lécher ?
- Oui maîtresse, dis-je doucement le feu aux joues.
Je couinais en suçant le pénis en plastique, je m’appliquais comme si c’était la bite de mon maître. Je voulais qu’il soit fier de moi. Soudain, elle me repoussa, je tombais en arrière contre les coussins. Instinctivement, je touchais mes seins ! Huumm… Haaa…
La maîtresse lesbienne se mit au-dessus de moi, je sentis son god ceinture à l’entrée de mon vagin, elle frotta contre mon sexe, mes lèvres étaient gonflées de désirs. Elle le sentit et elle s’enfonça doucement dans mon sexe.
- Cochonne ! Ma chatte coule en sentant mon god s’enfoncer dans ta chatte ! Tu es tellement chaude… c’est comme du beurre là-dedans, gémit-elle.
- Haa…maîtresse… huumm… , couinai-je.
- Quoi ? demanda-t-elle en me labourant le vagin.
- Je… J’aime… ça… haaan…
Je souffrais tellement c’était bon ! J’arrivais à sucer ses tétons, elle gémissait elle aussi.
- Je vais… te faire avoir… un putain d’orgasme, salope ! s’exclama ma maîtresse.
- Haaa…Aaah… maîtresse… je jouis… c’est… trop bon, gémis-je. Je sens… bien le gode… huumm… Pitié ! Arrêtez de me… faire jouir…
Elle me traitait de cochonne et de salope, je bavais sous l’extase, je sentais ma mouille couler à chaque coup de gode.
Je venais de jouir, mais elle continuait de me prendre et j’avais un autre orgasme encore plus puissant. Elle me fit jouir trois fois de suite. Après, elle sortit de mon vagin et elle m’ordonna de me mettre à quatre pattes pour que les hommes d’internet voient mon visage, mon corps.
- Dis-leur à tous que tu aimes ça ! Salope ! Esclave ! Dis-leur ! Touche-toi, esclave ! Ils aiment les salopes comme toi ! dit ma maîtresse en soupesant mes seins comme si elle montrait de la marchandise !
- Je suis… une salope ! Je me prends des coups de bites touts les jours… je… je suis une…esclave, dis-je en me touchant les seins et la chatte.
Je ne pus m’empêcher de finir en étalant de la mouille sur mes tétons et en léchant mes tétons pleins de mouilles.

La suite dans un autre épisode !

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