Comblée Par Le Fils, Le Père M'En Remet Une Couche ...

Je me prénomme Cécile, grande brune aux yeux bleus, j’ai quarante deux ans, divorcée depuis sept ans mais tiens à rester célibataire, ainsi je suis libre de mes mouvements, je passe mon temps à faire du bénévolat, si bien que dans le village on me surnomme gentiment ‘sainte Bernadette ‘
Ma vie sexuelle ? Bofff je me suis habituée à l’abstinence, lorsque ‘la soupape’ est trop en pression il me suffit de serrer les cuisses d’une certaine façon et je me déclenche, même en public, un orgasme quasi inaperçu, si quelqu’un s’aperçoit de mon émoi j’affirme les joues rosies que c’est un simple étourdissement

En ce moment je rends service a joseph, mon plus proche voisin, il n’a pas de chance, sa femme alitée depuis deux ans vient d’entrer a l’hôpital, en phase terminale, comme l’on dit pudiquement, ajouté a cela ils ont un fils de vingt deux ans, un peu simple d’esprit sous certains cotés et très intelligent pour d’autres, évidement il ne travaille pas et passe ses journées en robe de chambre, quasi obèse il grignote toute la journée
Très gentil, mais qui s’emporte vite et peut devenir très violent s’il est contrarié, depuis le temps que je le connais il ne me fait pas peur, heureusement car en ce moment je vais chez eux tous les deux jours pour préparer à manger et faire un peu de ménage, étant donné que le père passe a l’hôpital en quittant son travail
Ce soir, justement, je dois passer chez eux, Fabrice, le fils, toujours en robe de chambre ouverte sur un bermuda et un polo m’accueille avec un grand sourire et me fait la bise

- Te voilà Cécile ! Il était temps !y’a plus rien à manger !
- Je viens pour ça, entre parenthèses ça te ferais du bien de jeuner !
- Tu es méchante !

Je vaque à mes occupations, assis a la table de la cuisine il me regarde d’un air absent, un peu inquiétant, vient l’heure de faire un peu de vaisselle, j’enfile des gants de protection et commence la plonge, après deux minutes Fabrice rompt le silence ….



- T’es belle quand tu bouge Cécile, ton cul ne remue pas, il danse !

Sans me détourner je lui réponds sèchement

- Fabrice ! tu n’as rien d’autre à faire que de raconter des bêtises ?
- Ha si ! ….

J’entends sa chaise racler le carrelage, il va changer de pièce ça me fera des vacances ! Soudain je sens une présence dans mon dos, son imposante carrure me colle a l’évier, impossible de bouger sous cette masse, je mes souviens alors des avertissements : ne pas le contrarier car il peu devenir très violent …silencieuse, je ne tremble pas mais j’appréhende …ses grosses paluches entourent mon torse, il craque plus qu’il ne défait mes boutons de corsage avant de le faire glisser sur mes épaules, les bonnets de soutien-gorge sont remontés sous mon menton
Il souffle comme un phoque lorsqu’il enveloppe mes seins dont les tétons se tendent déjà, il joue à les faire rouler, sur le bas de mon dos pèse une bosse imposante …il mordille ma nuque, un frisson traverse tout mon corps, ma chatte affamée fait un bulle en se contractant, cette fois je tremble mais pas de peur ….


- Tu es belle Cécile tu sens bon, j’aime tes seins, ça me fait bander, Fabrice ne tient jamais de femme nue dans ses bras, tu me laisse faire ?
- Jure-moi que tu ne seras pas violent ?
- Si Cécile ne cherche pas à se sauver Fabrice sera doux comme un agneau
- Que veux-tu de moi ?
- Ôter cette maudite culotte qui cache ton beau cul, reste appuyée sur l’évier je m’en occupe …

Les deux mains accrochée à l’évier je le laisse retrousser ma jupe à la taille, ses doigts accrochent ma petite culotte qui git vite sur le carrelage, avant qu’il ne m’y oblige j’écarte les pieds, a genoux derrière moi il hume et lèche mon entrecuisses, il se redresse et se colle a nouveau a moi, cette fois c’est son membre a nu qui s’écrase sur mon cul, une main vient devant fourrager dans ma toison pubienne

- C’est là qu’ils fourrent leurs queues dans les films …mais ‘elles’ n’ont pas de poils ….

- Moi je préfère les garder …

Un doigt boudiné se fraie un passage entre mes lèvres suintantes, il fouille nerveusement ma vulve, je dois l’avouer, cette attouchement sommaire n’est pas pour me déplaire

- C’est chaud …. C’est bien mouillé, ça veux dire que tu as envie de te faire baiser ?
- Ont peut dire ça comme ça …
- Alors Fabrice va te fourrer sa grosse bite dans la chatte

Pour faciliter l’introduction, je me penche en avant, son membre très tendu, tel un taureau derrière une vache, cherche maladroitement ma fente, ce qui devait arriver arriva … trop excité, il décharge entre mes fesses, une grosse quantité de sperme glisse le long de mes cuisses pour former une flaque sur le sol, mais il ne se démoralise pas

- Fabrice est habitué, ça le fait à chaque fois que je me branle, mais après ça dure longtemps ! Très longtemps ! même plusieurs fois ! Aide-moi à trouver le trou ….
- Donne-moi ta verge, tu n’auras qu’à pousser quand je te le dirais

Ma main passée entre mes cuisses, j’att son manche, je n’en fais pas le tour …le gland ovale repousse mes lèvres tel un bélier, impatient il donne des coups de reins au hasard, ça frotte merveilleusement sur mon clitoris décapuchonné, du coup je fais durer le plaisir car c’est le seul préliminaire que j’aurais

- Alors ? tu l’ouvre ton trou à bite ?
- Pousse ….HAAAAAAAOOOOOOOUUUUUUUUUU !!! doucement Fabrice ! ont a dit calmement !
- Excuse-moi Cécile, c’est rentré d’un coup
- Va-y maintenant, fait bouger ta queue dans mon ventre

Les mains ancrées sur mes hanches il me pilonne la chatte de plus en plus puissamment, mes seins sont secoués en tous sens, de nouvelles fusées de foutre arrosent mon utérus, mais ce n’est pas pour cela qu’il cesse ses coups de bite, quelle santé ! Moi qui était au régime sec, je suis gavée, et ce n’est sans doute pas fini, en me pressant le nichons comme des citrons il marmonne des mots incompréhensibles, j’ai jouis en un quart d’heure autant de fois qu’en un an
Sa sueur dégouline de son ventre sur mes fesses, sa bave sur mon dos, son obésité ne l’empêche pas de se remuer pour me baiser, il me gratifie d’une troisième éjaculation toujours aussi abondante, sans arrêter de limer mon vagin qui ne va pas tarder à fumer, c’est une vrai machine à baiser ce mec, je n’ose pas lui dire d’arrêter par peur de l’irriter, je vais bientôt avoir des crampes dans les jambes, heureusement ses coups de queue me remontent constamment a hauteur de l’évier

- Hhhhaaaaaaaa Fabrice va jouir ….
.Je vais te péter la cramouille salope !
- Va-y, jouis mon petit Fabrice, remplie moi la chatte, ta queue est trop bonne !
- Je te baiserai encore quand tu reviendras ! … Hooooooooooo MERRRRDE ! le vieux arrive, je me barre !

Il est sorti de mon vagin aussi brutalement qu’il en est entré, je me vide sur le carrelage, son père va entrer je n’ai pas la force de bouger, accrochée au meuble je tarde à reprendre mes esprits

- CÉCILE ????? Mon dieu ! C’est ‘lui’ qui a fait ça ? Il vous a violée ? dans quel état il vous a mise le salaud, il va voir de quel bois je me chauffe !
- Oui … NON ! NE LE PUNISSEZ PAS ! c’est moi qui ai voulu …. J’étais trop en manque de sexe
- Vous ne pouvez pas rester aussi souillée
- Ça va aller Joseph, je vais rentrer chez moi …
- Vous ne tenez pas debout, venez, je vais vous aider à vous nettoyer…

Le père, bienveillant me soutient, m’entraine dans sa chambre et ouvre le lit

- Allongez-vous, je vais chercher un gant de toilette pour enlever tout cette saleté collée à vos poils et sur votre vulve
- Vous êtes très gentil ….

J’ai tout de suite remarquée la bosse qui déforme son pantalon …normal, le pauvre homme doit être depuis longtemps privé de sexe, mon cœur de sainte Thérèse ne peut résister a cet appel muet …je vais jouer la comédie pour l’amadouer, il arrive avec une cuvette fumante et un gant de toilette

- Excusez-moi de vous demander cela, mais vous devriez écarter vos cuisses afin que je puisse nettoyer plus facilement

Je remonte mes talons prés de mes fesses légèrement surélevées et écarte les genoux au maximum, il avale difficilement sa salive en voyant mon vagin meurtri par les pénétrations de son fils

- Il ne vous a pas ratée, je l’emmène régulièrement vois les filles de joies mais il les fait toutes , aucune ne veux de lui a présent…je vais enlever ce sperme séché
- AIIIIIIEEEE ! c’est trop sensible, le gant est trop rêche, essayer avec vos doigts ….

- Comme vous voulez Cécile … ça va mieux ?
- C’est encore trop rugueux …. essayer donc avec la langue ….
- Mais …..
- Faites ce que vous dit Joseph….
- Bien …elle sent fort ….

Il s’installe entre mes cuisses et colle sa langue a ma vulve rougie, il lape délicatement les sécrétions qui bordent ma fente avant de s’aventurer plus profondément, de plus en plus loin , les doigts aident a ouvrir ma moule encore très sensible, il ne me lèche plus , il fouille énergiquement mon vagin… si énergiquement que je jouis dans sa bouche

- Hé bien Cécile ? vous n’êtes pas rassasiée
- Baisez-moi joseph ….
- Qu’est-ce que vous dites ?
- Baisez moi vous aussi, approchez, je vais sortir votre bite de votre pantalon
- Je vais tout quitter ce sera plus simple

Je vais enfin sucer une queue, je vais avaler cette sauce divine par la bouche, elle se balance fièrement sous mes yeux, légèrement moins grosse que celle de Fabrice je m’en empare et tète avidement ce rouleau de chair qui frémit sous mes doigts, ma main branle énergiquement, je veux gouter ce foutre de mâle si longtemps privé, ma récompense ne se fait pas attendre, une salve copieuse percute ma langue, mes lèvres font joint afin de pas en perdre une goute

- Merci Cécile, je retrouve la douceur d’une bouche qui n’est pas celle dédaigneuse d’une professionnelle
- Vous alliez vois les putes vous aussi ?
- Que faire d’autre en attendant mon fils pendant deux heures ?
- Regardez ma moule accueillante, elle s’impatiente de sentir votre queue

Joseph vient entre mes cuisses en tenant son membre toujours raide à l’horizontale, je relève mes jambes, ma fatigue est miraculeusement passée, il m’embroche d’un seul coup de rein, puis s’allonge délicatement sur moi et prend un téton dans sa
Sa queue reste quasiment immobile en moi, surement pour ne pas irriter davantage mes muqueuses, il se contente de décrire des ronds avec son bassin, conjugués aux contractions naturelles de sa hampes suffisent à me faire a nouveau grimper aux rideaux
Ma chatte n’est pas tarie et lubrifie généreusement sa queue, joseph se met à trembler et se vide une deuxième fois dans un râle interminable, le fils a de qui tenir car il continue à bander comme si rien ne s’était passé, cette fois je veux ressentir ses coups de bite, alors c’est moi qui impose la cadence en soulevant mon dos

- Je n’osais pas bouger par peur de raviver l’irritation de votre vagin…. alors je vais te baiser salope !
- OUUUUUUIIIII !!!! c’est exactement ce que j’attendais de toi ! saute- moi, défonce- moi !

En appuis sur les mains joseph se libère, il me pilonne la moule a outrance, en nage, les jambes accrochées dans son dos, les bras noués a son cou, la moule béante, les yeux révulsés, je subie l’attaque en hurlant, les orgasmes succèdent aux orgasmes, je suis au bord de l’évanouissement lorsque joseph me gratifie de sa troisième dose de sperme …..
C’est la fraicheur du gant de toilette entre mes jambes qui m’a réveillée, deux visages attentionnés sont penchés vers moi …

- Haaaaaa ? Elle se réveille papa !
- Tu vois mon petit Fabrice ? plus besoin d’aller voir les prostituées, nous avons ce qu’il faut sous la main désormais …..

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